Publié par Guy de Laferrière le 13 octobre 2023
arras
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Attaque au couteau dans un lycée à Arras (62)
Attaque au couteau dans un lycée à Arras (62) : un enseignant tué et plusieurs blessés. Reste à déterminer si c'est en rapport avec le conflit israélo-palestinien ou s'il s'agit d'un acte supplémentaire de criminalité allogène habituelle comme les Français en subissent quotidiennement... -
“Sale curé” : un prêtre agressé dans une station service par un individu se réclamant “fier d’être fils de fellagha” entre Arras et Lens
Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2022
Alors qu’il attendait à une station-service de se fournir en carburant, notre ami le très dévoué père Jean-Paul Argouarc’h a été d’abord l’objet, en raison de son habit, de graves injures racistes, proférées par un individu de type maghrébin hurlant sa fierté d’être un fils de fellagha.
Après quoi, ce forcené s’en est pris physiquement au père, lui portant notamment un très violent coup de poing au bras gauche.
Après cela, le père Argouarc’h a fait l’objet d’un constat médical et a déposé plainte dans le commissariat de police le plus proche.
Naturellement l’AGRIF, saisie par le père en la personne de son avocat, se constitue partie civile pour que la plainte aboutisse.
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Arras : un centre d’interprétation sur Robespierre dans sa maison
Publié par Guy Jovelin le 22 août 2022
Auteur : Alain de TINTENIACPorté par la municipalité, le projet tient aussi à coeur aux frères locaux… et ne semble pas pâtir des problèmes des restrictions sur les financements publics. Rappellera-t-on les massacres qu’il a engendré partout en France, l’hubris satanique du culte de l’être suprême, et la destruction à Arras même de la cathédrale, sur l’emplacement de laquelle se dresse désormais l’église Saint-Nicolas de la Cité, l’abbatiale saint Vaast, monumentale, étant devenue la nouvelle cathédrale du diocèse millénaire.
« À travers la Maison Robespierre (louée par Robespierre de 1787 à 1789), pas à pas, la Ville d’Arras souhaite appréhender l’histoire autour de Robespierre, et rien que l’histoire. Un centre d’interprétation sur ce personnage de l’Histoire va voir le jour« , écrit l’Observateur.
La Ville considère Robespierre comme un enfant d’Arras qui doit être reconnu comme tel et positionné dans l’histoire de la ville. C’est un personnage complexe, clivant, idolâtré par les uns, abhorré par les autres. Pour cette raison, depuis de nombreuses années, il apparaît légitime pour la Ville d’Arras de considérer son histoire, de permettre aux habitants et visiteurs d’appréhender le personnage avec toutes ses contradictions, sans glorification, ni diabolisation à travers un projet construit, distancié et critique.
Ainsi, dès 1991, Léon Fatous, alors Maire d’Arras, avait fait rentrer la Maison » Robespierre » dans le patrimoine communal. En 2016, Frédéric Leturque a confié à Gérard Barbier, Président de l’Université pour Tous, la présidence d’un Comité scientifique chargé de définir le parcours et le propos scientifique de la Maison Robespierre. Composé d’universitaires spécialistes de la Révolution française, ce comité a proposé la création d’un centre d’interprétation au coeur de cette Maison Robespierre.
Dans ce cadre, la Ville a fait l’acquisition de plusieurs manuscrits de Maximilien de Robespierre au cours de ces dernières années. Elle poursuivra cette politique d’acquisition. Des outils numériques seront développés pour permettre aux visiteurs d’apprécier l’histoire de Robespierre et le contexte de l’époque« .
Source : medias-presse.info
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Arras : un Algérien pédo-criminel objet de la mansuétude du tribunal
Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2021
À Arras, un Algérien de 45 ans est jugé pour exhibition, port d’arme et agression sexuelle sur mineurs de moins de quinze ans. Il « écumait les parcs » où il offrait des bonbons à des fillettes pour les convaincre de monter chez lui.Au moment des faits, Abdenour Mezzai était alcoolisé et portait deux couteaux sur lui.Le Code pénal annonce 10 ans de prison pour ces faits.L’Algérien a obtenu 18 mois.
Qu’il ne fera logiquement pas, ou qu’en partie.
Et il restera en France pour continuer à l’« enrichir culturellement », selon l’expression fameuse des immigrationnistes.