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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 442

  • La violence accoucheuse… de tempêtes stériles !

    Publié par Guy de Laferrière le 02 avril 2023

    les4verites

    Le grand écrivain catholique anglais Chesterton disait naguère : « Le monde s’est divisé entre conservateurs et progressistes. L’affaire des progressistes est de continuer à commettre des erreurs. L’affaire des conservateurs est d’éviter que les erreurs ne soient corrigées. »

    C’est cette citation qui me revenait à l’esprit en assistant au numéro de duettistes que se livrent d’un côté le « parti de l’ordre », emmené par notre sémillant président, et de l’autre le parti du désordre dont le dirigeant (pour l’heure) incontesté demeure Jean-Luc Mélenchon.

    Naturellement, en regardant avec consternation l’actualité politique et sociale, la première idée qui vient à l’esprit de tout Français est de condamner sans équivoque la violence.

    Cela vaut bien sûr pour la violence des « black blocks » en marge des manifestations contre la réforme des retraites. Cela vaut aussi pour ce qui vient de se passer à Sainte-Soline – où, samedi dernier, 200 manifestants ont été blessés (dont 40 sont dans un état grave et l’un se trouve même entre la vie et la mort), ainsi que 47 gendarmes.

    Depuis le début de la nouvelle mandature, on entendait de temps à autre des commentateurs se féliciter que les débats « toniques » à l’Assemblée permettent à toutes les tendances politiques de s’exprimer et donc diminuent d’autant la violence dans la société.

    Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette analyse se révèle, à l’usage, fort défaillante.

    Au contraire, tout se passe comme si nous revenions aux temps « glorieux » de la Convention montagnarde où les députés d’extrême gauche, sous la pression de « la rue » ou de « l’opinion publique » (je mets les deux expressions entre guillemets car aucun de nous, bien qu’homme de la rue et participant de l’opinion publique, ne peut se sentir solidaire de ces excités), devenaient de plus en plus violents verbalement, légitimant ainsi en retour la violence physique hors de l’Assemblée.

    Ce que je décris là est bien connu pour l’extrême gauche. Mais la plupart des commentateurs s’arrêtent là.

    Or, la violence contemporaine, comme la violence révolutionnaire, s’exerce, comme diraient les marxistes, de manière dialectique.

    Pour le dire autrement, LFI a besoin de Renaissance, comme naguère les jacobins avaient besoin des girondins ou la Commune de Thiers.

    Pour nourrir la violence révolutionnaire, il faut le parti de l’ordre (« idéalement » violent lui aussi) – et la peur que ce dernier inspire à ses opposants. En sens inverse, le parti de l’ordre se nourrit de la violence du parti révolutionnaire.

    Mais le plus navrant dans tout cela, c’est que nous savons désormais par expérience, qu’aucune de ces deux alternatives ne peut rien apporter de bon à la société et aux personnes concrètes.

    Je ne le dis pas seulement en songeant – ce qui est l’évidence même – que la violence ne peut rien apporter de bon et que tous les slogans révolutionnaires sur la nécessité de cette violence (« on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs », « la violence accoucheuse de l’histoire », etc.) ont abouti à des situations plus dures encore pour les malheureux que la Révolution prétendait servir.

    Je le dis surtout en constatant que « conservateurs » et « progressistes » – ici LFI et Renaissance – partagent une commune méconnaissance (pire, une commune indifférence) pour la nature humaine.

    LFI nous voit comme simple cellule du Léviathan collectiviste ; Renaissance comme de simples consommateurs. Comment diable peut-on bâtir une réforme politique tant soit peu durable sur la base d’une anthropologie aussi sommaire ?

     
  • l'élection de Sophie Binet à la place de Philippe Martinez

    Publié par Guy de Laferrière le 02 avril 2023

    Thomas Joly

    Avec l'élection de Sophie Binet à la place de Philippe Martinez, même chez les fossiles communistes de la CGT, la vaginocratie s'installe. On ne pouvait pas rêver mieux pour que ce syndicat se consume de l'intérieur. Il n'y a plus qu'à savourer tranquillement la lente agonie de cette organisation parasitaire et nocive.
     
    Peut être une image de 4 personnes, personnes debout et intérieur
     
     
     
     
     
     
     
  • Saint-Jean-le-Vieux (01) : des migrants bientôt hébergés dans le château de Varey, annonce la préfecture

    Publié par Guy de Laferrière le 02 avril 2023

    Le château de Varey, situé à Saint-Jean-le-Vieux, s’apprête à accueillir en ses murs des personnes dans le besoin d’ici à quelques semaines. L’association Alfa3A, propriétaire des lieux, réfléchit encore au dispositif d’accompagnement tandis que dans la commune, personne n’est au courant du projet.

    Le château de Varey trône au plus haut du hameau éponyme. Au-dessus des vignes, de l’Oiselon et des 350 habitants des vieilles bâtisses en pierre. Inoccupé depuis 2019 (lire par ailleurs), le château médiéval s’apprête à reprendre vie. Pas comme certains l’aurait imaginé.

    Alfa3A, association loi 1901 – dont le siège social se situe à 11 km à Ambérieu-en-Bugey – propriétaire du château depuis 2021, y installe prochainement des « personnes sans-abri ».

    « Une offre d’hébergement sera effectivement proposée au château de Varey par Alfa3a, en raison des besoins, pour les services de l’État, de places pour l’accueil de migrants », confirme la préfecture de l’Ain.

    Des personnes qui « gênent » pour les JO ?

    Le profil des futures personnes accueillies n’est, à ce jour, pas connu. Des familles ? Le château dispose de chambres et de cuisines aménagées et en fonctionnement.

    (…)

    Le Progrès via fdesouche

  • L’Allemagne ouvre ses portes à l’immigration face à la pénurie de main-d’œuvre

    Publié par Guy de Laferrière le 02 avril 2023

    Face à la pénurie de main-d’œuvre, le gouvernement d’Olaf Scholz a présenté mercredi un projet de loi visant à assouplir les règles d’obtention de visa et permis de travail pour les ressortissants de pays hors-UE.

    Arrivé de la Réunion, Steven Maillot, 23 ans, a rejoint l’usine d’ArcelorMittal à Eisenhüttenstadt en Allemagne pour un apprentissage chez ce géant de la sidérurgie. Ce secteur est l’un des plus touchés par les pénuries de travailleurs qualifiés qui frappent la première économie européenne et deviennent une hypothèque majeure pour son avenir.

    Il ne sera par exemple bientôt plus nécessaire de présenter un contrat de travail pour s’installer dans le pays, ceci devant être remplacé par un système de points mesurant le “potentiel” d’intégration des candidats, sur le modèle de ce que pratique déjà le Canada.

    L’objectif est d’attirer davantage de salariés. Berlin va ainsi à rebours de la tendance générale en Europe d’une fermeture des frontières à l’immigration.  “Nous veillerons à faire entrer dans le pays les travailleurs qualifiés dont notre économie a un besoin urgent depuis des années“, a déclaré la ministre de l’Intérieur Nancy Faeser en présentant le projet de loi qui doit encore être adopté par les parlementaires.

    Le nouveau système “supprimera les obstacles bureaucratiques” et “permettra aux travailleurs qualifiés de venir rapidement en Allemagne et de pouvoir commencer” à travailler, a-t-elle assuré.

    Pour Steven c’est un meilleur salaire et de meilleures perspectives de carrière qui l’ont décidé à quitter son île pour cette ville proche de la frontière avec la Pologne, aux confins orientaux de l’Allemagne.

    Un soulagement pour ArcelorMittal, dont le responsable pour l’Allemagne, Reiner Blaschek, reconnaît qu’il est “de plus en plus difficile” d’attirer de jeunes stagiaires comme lui.

    La pénurie de travailleurs qualifiés est devenue un véritable casse-tête. Deux millions de postes sont actuellement vacants en Allemagne alors que la génération des baby-boomers part massivement en retraite.

    A cause du vieillissement de la population, le marché du travail devrait perdre sept millions de personnes d’ici 2035 si le gouvernement ne fait rien, selon une étude de l’Institut de recherche sur le marché du travail (IAB).   […]

    msn/AFP via fdesouche

  • « Économie de guerre » : un député préconise de mobiliser l’épargne des Français

    Publié par Guy de Laferrière le 02 avril 2023

     

    Utiliser l’épargne des Français pour financer l’industrie de défense : c’est ce que propose un rapport parlementaire présenté mercredi.

    Le financement d’une « économie de guerre » visant à l’augmentation des capacités de production de l’industrie de défense française passe par une « mobilisation de l’épargne des Français », préconise un rapport parlementaire publié mercredi 29 mars. Il s’agit de mettre un coup d’accélérateur à notre industrie de l’armement, notamment en trouvant les fonds nécessaires à ces investissements lourds avec cette idée : de la même façon que l’argent du livret A sert à financer la construction de logements sociaux, il pourrait, étant donné le contexte de guerre en Ukraine, être investi, orienté, fléché vers des programmes de défense.

    […]

    La France doit se tenir prête en cas de conflit majeur

    Ces propositions qui vont peut-être être adoptées, car elles sont portées par le groupe Horizons, allié de la majorité. Elles pourraient être intégrées dans la loi de programmation militaire qui doit normalement être présentée la semaine prochaine en conseil des ministres. Cette loi fixe un cap de dépenses de 413 milliards d’euros pour 2024-2030, soit un tiers de plus qu’aujourd’hui.

    Lire l’intégralité de l’article sur francetvinfo.fr