Publié par Guy de Laferrière le 08 mai 2024
Au mois de mars, Jeanne et Amélie, étudiantes à Toulouse, ont été surprises par une équipe de policiers, alors qu’elles étaient en train en train de coller un message contre l’avortement.
Elles ont été convoqués il y a 3 semaines et ont été auditionnées au commissariat. La mairie a porté plainte. Et elles doivent participer à une session de formation citoyenne afin de se réformer aux idées de la république…
Deux nuits plus tard, leur message a été recouvert par les militants pro avortement, qui eux n’ont évidemment pas connu le même sort.
Une cagnotte a été ouverte pour soutenir la défense les étudiantes poursuivies.
Réaction de Laissez les Vivre SOS Futures Mères :
Venant d’apprendre par la lecture du Salon Beige la condamnation à un stage de formation citoyenne de ces deux étudiantes toulousaines, l’association s’insurge contre des méthodes de lavage de cerveau dignes du Goulag et bien incompatibles avec ce qu’il reste de dits droits de l’homme dans notre pays. Si le fait de coller des affiches pro-vie expose à une condamnation c’est l’ensemble des manifestants des Marche pour la Vie qui pourrait être raflé. Dictature, dictature quand tu nous tiens.
Source : lesalonbeige