Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

afp

  • Contrôle des médias : 140 millions d’euros d’argent public pour l’AFP

    Publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2022

    Auteur : 

    Les détails du projet de loi des finances pour 2022-2023 permettent de constater que l’Etat augmente encore son effort en faveur de l’AFP, comme l’indique un document du Sénat.

    « L’Agence France Presse (AFP) devrait bénéficier en 2022 d’une dotation équivalente à celle accordée en loi de finances pour 2021, soit 139,48 millions d’euros (AE = CP). Celle-ci intègre le paiement des abonnements commerciaux de l’État, soit 21 655 380 euros et la subvention accordée à l’agence, au titre de la compensation de ses missions d’intérêt général (MIG), soit 117,82 millions d’euros ».

    Il convient de rappeler à ce stade que le montant des crédits de paiement versés à l’AFP au titre de ses missions d’intérêt général a progressé de près de 8 % entre 2015 et 2021. Cette augmentation des crédits s’est accompagnée, en outre, d’une modification du calendrier de versement : la subvention est désormais versée en une fois, en début d’année ». 

    Cependant le périmètre de l’agence va continuer à se réduire – elle emploie aujourd’hui 2600 personnes dont 1700 journalistes, en 2023, ce sera 95 de moins, dont 23 journalistes, principalement au siège parisien. La doxa libérale du toujours plus avec moins est respectée.

    Le confort des dirigeants aussi, motivé par de vagues économies déjà absorbées par l’inflation : « le regroupement des équipes parisiennes sur le seul site de la Place de la Bourse pourrait générer, à terme, des économies de l’ordre de 2,5 millions d’euros, via notamment la fin du bail rue Vivienne. Reste que le préalable à celui-ci passait par des travaux dans le siège historique de l’agence estimés fin 2019 à 8 millions d’euros. Le coût a été réévalué depuis pour atteindre 8,8 millions d’euros, afin de prendre en compte le coût de travaux de désamiantage« .

    L’on remarquera au passage que l’AFP a des biais idéologiques toujours plus présents… mais réussit à se maintenir en Afghanistan malgré le régime taliban : « le changement de pratiques – articles plus longs et plus fouillés, axe mis sur les incidences du changement climatique, utilisation des plateformes comme Facebook – et le maintien d’une présence dans certains pays, à l’image de l’Afghanistan ont également permis à l’Agence de renouveler son modèle et de conserver, en large partie, la fidélité de ses abonnés. Ce faisant, l’AFP reste moins dépendante des revenus publicitaires que ses concurrentes« .

     

    Source : medias-presse.info

  • L’AFP : la plus grande fabrique française de fausses nouvelles

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2022

    lesmoutonsrebelles

    L’AFP, c’est 8 « Fake News » [Fausses nouvelles] en une seule dépêche1 contre le Pr Perronne.

    Jadis, les agences de presse rapportaient les faits sans prendre parti, laissant les commentaires aux éditorialistes et autres commentateurs. Mais depuis le Covid-19 la plupart d’entre elles, rémunérées par Bill Gates, sa fondation et ses extensions, se sont transformées en organes de propagande provax et émettent sans arrêt des désinformations qu’elles surnomment pompeusement « checknews » [vérification de nouvelles].

    Actuellement l’AFP, financée largement par l’État met à la disposition de tous l’information disponible facilement utilisable et qui devient la référence facile pour tous les petits journaux qui n’ont pas de subsides pour envoyer des journalistes dans le monde. « Fact check » [Vérification des faits] à disposition !

    Parmi celles-ci, l’AFP se signale par son agressivité malveillante envers les donneurs d’alerte comme récemment envers le professeur Perronne.

    Nous reprendrons quelques-uns des mensonges de l’AFP les plus éhontés utilisés pour discréditer le professeur Perronne qui ne peut pas être qualifié d’antivax : expert vaccins de l’OMS pour l’Europe, il a établi pendant plus de dix ans le calendrier vaccinal français.

    1°) Les injections Covid actuelles seraient des vaccins ! L’AFP ment en le prétendant

    Pasteur a défini un vaccin comme contenant des antigènes provenant d’un virus tué ou inactivé. Les injections anticovid actuelles ne contiennent aucun antigène, mais ont pour principe actif un ARN messager. Ce sont donc des médicaments génétiques à visée préventive et non pas des vaccins.

    Affirmer le contraire comme le fait l’AFP témoigne de l’ignorance de ce qu’est un vaccin ou d’une mauvaise foi marchande. D’ailleurs le Pr Delfraissy lui-même a récemment admis qu’il s’agissait en réalité d’« une forme, un peu, de vaccin médicament… Disons un vaxicament” ». L’AFP va-t-elle bientôt le traiter lui aussi de complotiste ?

    2°) Ces injections sont bien expérimentales. L’AFP ment en prétendant : « les vaccins autorisés en France ne sont plus au stade expérimental »

    Pour tenter de démentir ce fait établi et vérifiable, l’AFP utilise des déclarations trompeuses de responsables des vaccinations ou de médecins très liés aux lobbys pharmaceutiques, mais ne montre aucun fait probant.

    Il est pourtant très facile de savoir si un médicament est encore en expérimentation : il suffit de consulter le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais médicamenteux en cours, leur état d’achèvement et éventuellement leurs résultats publiés.

    Si l’AFP l’avait fait, elle aurait constaté qu’aucun pseudovaccin actuel n’a terminé ses essais phase 3 dont la fin est espérée pour janvier 2023.

    L’essai le plus avancé, celui de Pfizer ne sera terminé que dans un an !

    Mais peut-être que les « fact checkers » de l’AFP ne savent pas consulter le site « clinicaltrials.gov » ou ont du mal à lire l’anglais.

    3°) Les vrais vaccins sont destinés à empêcher les contaminations. L’AFP ment en prétendant le contraire

    Le succès des vaccinations contre les viroses telles que la variole, la fièvre jaune, l’hépatite B, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite repose sur cette capacité à empêcher d’attraper et de transmettre la maladie. Cette propriété première des vaccins à prévenir toute transmission virale constitue même l’argument fétiche pour imposer les obligations vaccinales :

    « Il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles ».

    Certes, certains vaccins n’y parviennent qu’à 90-95% (vaccin contre la rougeole) et les vaccins antigrippaux sont les moins efficaces (10 à 50%), car le virus mute chaque année et la formule vaccinale retenue ne constitue qu’un pari sur le mutant le plus probable et c’est pour cette raison qu’ils ne sont obligatoires dans aucun pays.

    Un vaccin incapable d’empêcher les transmissions risque, d’un point de vue sociétal, de se révéler plus dangereux qu’utile, car il risque d’inciter les injectés qui se croient protégés à adopter des comportements à risques. Cela a été constaté lors des essais de vaccins antisida et aussi lors de la mise en œuvre du passe sanitaire en Autriche.

    4°) Il faut au moins dix ans pour qu’un vaccin normal soit autorisé. L’AFP ment en prétendant le contraire

    Vaccination info service, organe de promotion des vaccins, précise sur son site2 :

    « Compte tenu des études et des tests exigés par les autorités, le développement d’un vaccin est très long, d’une durée pouvant aller de neuf à quatorze ans, voire plus (exemple du VIH/SIDA) ».

    Le dernier vaccin de Sanofi, le vaccin Dengvaxia a nécessité 20 ans de recherche d’après Dr Olivier Brandicourt, Directeur Général de Sanofi3.

    Le dernier vaccin contre l’hépatite a de même nécessité plus de dix ans de recherche.

    Le vaccin Mosquirix développé pour lutter contre le paludisme à partir de 1996 n’a été accepté en Europe qu’en 2015 (19 ans après le début des recherches).

    Mais l’AFP fait semblant d’ignorer ces informations indiscutables.

    5°) L’AFP prétend imprudemment : « la technologie de l’ARN messager, élaborée depuis près de 30 ans et qui s’est révélée très efficace contre le Covid ». C’est trompeur et mensonger

    Certes cette technologie d’injection génique a été développée depuis longtemps, mais avec des échecs graves (leucémies après traitement des enfants bulles), mais elle n’avait jamais été utilisée en pathologie infectieuse. Pour un « vaccin », il s’agit donc d’une technologie expérimentale qui justifie les plus grandes précautions.

    Surtout, les résultats avérés de ces pseudo vaccins en population réelle sont franchement mauvais : incapables d’éviter la maladie et les contaminations.

    L’évolution sanitaire des pays les plus vaccinés le démontre, comme celle d’Israël désormais dans le peloton de tête mondial du nombre de personnes contaminées par nombre d’habitants.

    D’après les chiffres du ministère israélien de la Santé publiés le 30 janvier 2022, beaucoup de personnes testées positives avaient déjà contracté le Covid-19 ou bien avaient été vaccinées, et parfois même avaient reçu une quatrième dose.

    De quelle efficacité l’AFP glorifie-t-elle les pseudo vaccins ? De faciliter l’infection ?

    6° Les vaccins n’empêchent pas de faire des formes graves ni de mourir du covid. L’AFP ment en le niant

    Toutes les agences gouvernementales françaises sont mobilisées pour faire croire cette fable comme à l’époque de Tchernobyl pour prétendre que le nuage s’était arrêté à la frontière. Mais dans les autres pays, les agences sanitaires sont moins dépendantes de l’État et permettent une appréciation plus objective.

    Ainsi en Israël, en janvier 2022 le nombre de patients développant des symptômes sévères n’a pas cessé d’augmenter. Ce chiffre devrait dépasser le record de 1200 cas graves atteint il y a un an, alors que la première campagne de vaccination n’avait pas encore produit ses effets. D’après le ministère de la Santé, au 30 janvier 2022, sur les 1099 cas graves recensés dans le pays, 47% sont à jour de leur vaccination anti-Covid.

    La mortalité quotidienne actuelle dépasse déjà les records de la vague précédente.

    Grande-Bretagne

    Le 29/12/2021 UK Health Security Agency (UKHSA) a recensé 815 malades hospitalisés en soins intensifs pour Omicron.

    25% (206) d’entre eux n’avaient reçu aucune injection, 6% (49) une dose, 43% (352) deux doses et 23% (189) 3 doses, ce qui reproduit à peu près le statut vaccinal de la population générale et montre l’absence de protection des formes graves par les injections.

    7°) Oui, il existait des traitements efficaces au moment de l’homologation des vaccins. L’AFP ment en prétendant le contraire

    Pour s’en convaincre, il suffit de comparer l’évolution de l’épidémie en Algérie (qui a utilisé le protocole Raoult) à celle des pays voisins, Tunisie, Italie, France dont les populations sont proches par le pourcentage de plus de 60 ans et leurs comorbidités, mais qui ont interdit l’utilisation de l’hydroxychloroquine.

    Fin janvier 2022 l’Algérie compte 13 à 15 fois moins de morts de Covid par millions de personnes que les pays qui ont interdit les traitements précoces.

    Mais l’AFP croit peut-être qu’il y a eu un miracle en Algérie.

    8°) L’AFP se comporte en révisionniste des procès de Nuremberg et défend ainsi la position nazie de la primauté de la société sur l’individu, pourtant clairement condamnée lors de ces procès

    Rappelons les faits historiques.

    Après la 2ème Guerre mondiale, les alliés voulant punir les responsables des crimes contre l’humanité ont organisé deux procès, l’un contre les responsables politiques, l’autre contre les médecins responsables des expériences médicales faites dans les camps de concentration4,5. La moitié de ces essais thérapeutiques concernait des vaccins et en particulier contre le typhus, l’hépatite virale, le typhus, la typhoïde, la fièvre jaune, la dysenterie, la tuberculose, la gangrène gazeuse.

    Pour réfuter l’argumentation de défense des accusés, les experts du tribunal ont approfondi les questions éthiques et juridiques, jusque-là peu explorées qu’ils ont résumées en Code de Nuremberg6,7.

    Ce code que les entreprises pharmaceutiques et leurs mercenaires voudraient abolir constitue le fondement des règles éthiques de la recherche médicale rappelées dans la déclaration d’Helsinki8 de l’Association médicale mondiale9 et de la convention d’Oviedo10,11. Les accords signés par la France à Oviedo en 1997 proclament entre autres :

    Article 1 : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

    Article 2 : Primauté de l’être humain L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science.

    Article 5 : Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »

    Le jugement rendu les 20 et 21 août 1947 a acquitté 7 des 23 accusés. 9 ont été condamnés à de longues peines de prison, et 7 condamnés à mort ont été exécutés par pendaison le 2 juin 1948 pour n’avoir pas respecté le consentement volontaire du sujet humain.

    La convention d’Oviedo, signée par la France en 1997 a été transposée dans le droit national par le Décret no 2012-855 du 5 juillet 201212.

    D’un point de vue légal, ce n’est pas le code de Nuremberg, mais la convention d’Oviedo qui interdit donc d’imposer une obligation d’injecter des substances expérimentales comme le sont actuellement les pseudo vaccins Covid.

    En affirmant le contraire, l’AFP reprend l’argumentaire de défense des médecins nazis.

    Globalement dans ce réquisitoire mensonger contre le Professeur Perronne, l’AFP ne s’est pas comportée en journaliste, mais plutôt comme un tribunal de l’Inquisition n’interrogeant même pas l’accusé, ne citant aucun fait avéré, diffusant sans précaution des mensonges d’État et n’hésitant pas à faire du révisionnisme historique.

    Y a-t-il encore des journalistes respectueux de l’éthique à l’AFP ?

    Mais il est vrai qu’un chien ne mord pas la main qui le nourrit et l’État nourrit généreusement l’AFP à qui elle fournit environ la moitié de son budget.

    source : Mondialisation

  • Manifestation contre la tyrannie sanitaire à Amsterdam. L’AFP prise en flagrant délit de fake news

    Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2022

    « L’AFP, l’Agence France Presse, qui détermine majoritairement ce qui va sortir dans toutes les rédactions mainstream de France en matière d’information, a été prise, ce n’est pas la première fois, en flagrant délit de fake news, dimanche 2 janvier 2022.

    Evoquant une manifestation contre la tyrannie sanitaire à Amsterdam, l’AFP évoque ainsi, dans une vidéo Youtube « quelques dizaines » de personnes qui manifestent contre les restrictions sanitaires à #Amsterdam.

    Problème : les images diffusées en direct sur les réseaux sociaux montrent plusieurs milliers de manifestants, et une répression impressionnante par les forces de l’ordre, qui n’ont pas hésité à lâcher des chiens sur les manifestants, frappés à coups de matraques. Des scènes qui auraient fait couiner les rédactions françaises si elles s’étaient déroulées sur d’autres sujets en Pologne ou en Hongrie….


    C’est le média en ligne Anonyme Citoyen qui a repéré la fake news de l’AFP.


    Quelques heures après, l’AFP a corrigé son titre et sa dépêche, sous la pression des réseaux sociaux qui ne supportent plus de voir certaines agences, certains médias, atténuer systématiquement les chiffres lorsque des manifestations d’opposants aux systèmes dans l’Ouest de l’Europe se déroulent.


    Pour voir ce qu’il s’est passé à Amsterdam hier, c’est ci-dessous :

    Déjà, à l’époque des Gilets jaunes, l’AFP avait minoré largement, durant plusieurs semaines, les mobilisations, comme si derrière « l’indépendance de la presse », il y avait surtout quelques comptes à rendre aux puissants… »

    Source Breizh-Info

  • L’AFP et le CSA lancent une « bourse Michèle Léridon » pour promouvoir la diversité dans les médias

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2021

    L’AFP et le CSA sont heureux d’annoncer le lancement d’une bourse destinée à contribuer à la diversité dans les médias, et qui portera le nom de Michèle Léridon, ancienne directrice de l’Information de l’AFP puis membre du CSA, disparue brutalement en mai dernier.

    «Michèle tenait à ce que la profession de journaliste représente davantage la société. Nous lui devons les deux bourses de recrutement de l’AFP, toujours d’actualité à ce jour, et auxquelles s’ajoute désormais cette nouvelle porte d’entrée dans notre maison», a déclaré le PDG de l’AFP Fabrice Fries.

    « Les équipes et le collège du CSA sont très heureux de poursuivre, par cette bourse, l’engagement de Michèle en faveur de l’égalité des chances, dans la continuité de l’action du Conseil pour promouvoir la diversité dans les médias audiovisuels », a déclaré Roch-Olivier Maistre, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel.

    En partenariat avec le CSA, l’AFP va désormais accueillir chaque année, pour un CDD de 3 mois, un jeune boursier souhaitant faire carrière dans le journalisme.

    L’AFP et le CSA travailleront pour cela avec l’association La Chance pour la diversité dans les médias, dont les 350 journalistes bénévoles préparent chaque année environ 80 jeunes aux concours des écoles de journalisme.

    Un jury composé de représentants de l’AFP et du CSA aura pour mission de choisir un lauréat parmi les jeunes ayant suivi récemment la formation de La Chance sans avoir pour autant intégré une école de journalisme reconnue par la profession.

    Le nom du premier lauréat de la « bourse Michèle Léridon » sera annoncé en mai 2022.

    CSA via fdesouche

  • Mails de Fauci : l’AFP savait-elle pour l’origine du virus ?

    Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2021

    juin 4, 2021

    Dans les emails des FauciLeaks récemment dévoilés, une découverte de taille page 3123 : on y apprend que l’AFP était au courant de la fabrication du virus depuis le 31 janvier 2020. A-t-elle enterré l’affaire ?

    Depuis le 31 janvier 2020

    L’AFP, par le biais du journaliste Issam Ahmed, écrivait au Dr Barney Graham du NIH (National Health Institute) au sujet d’une demande assez urgente un vendredi soir. Le journaliste demandait un avis sur une étude scientifique qui venait juste d’être publiée sur le serveur Biorxiv.org. L’article affirmait que le nouveau coronavirus comprenait quatre insertions similaires au VIH-1, et que ce n’est pas une coïncidence.

    Le journaliste demandait des informations sur cet article écrit par des chercheurs indiens, qui sera plus tard rétracté sous la pression, nous a déclaré le mathématicien Jean-Claude Perez.

    Sur le site du NIAID (Institut national des allergies et des maladies infectieuses), on peut lire que Dr Barney Graham est le directeur adjoint du centre de recherche sur les vaccins, chef du laboratoire de pathogenèse virale et noyau de science translationnelle. Ses principaux domaines de recherche sont le développement de vaccins et d’anticorps monoclonaux pour COVID-19, RSV, grippe, EV-D68, Nipah, Zika, VIH, Ebola et d’autres agents pathogènes émergents viraux, la conception de vaccin basée sur la structure et base structurelle pour la neutralisation du virus à médiation par les anticorps et l’approche pathogène prototype pour la préparation et la riposte à une pandémie. Le Dr Graham est donc un expert et ne pouvait pas ne pas savoir puisque cette étude était publiée.

    Quel rôle pour l’AFP ?

    Ce qui semble étonnant, c’est que l’AFP n’ait pas fait écho de cette étude. Cette même AFP a attaqué le Pr Luc Montagnier et le mathématicien Jean-Claude Perez lors de leurs déclarations de mai 2020, puis lors d’un « AFP factuel » de Julie Charpentrat en août 2020.

    Le rôle d’une agence de presse est de vérifier, de valider et d’informer en respect de la charte de Munich. L’AFP aurait-elle manqué à son devoir en jouant ainsi un rôle de désinformation important dans l’identification de l’origine du virus alors que l’information était disponible ? L’information s’est-elle perdue en route ou a-t-elle été enterrée ?

    Source : France Soir via lesmoutonsrebelles