Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

antiracisme

  • Antiracisme contre véganisme : le gauchisme idéologique en panique !

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2021

    Rififi chez les gauchos.

    Un article récent du Daily Mail repris par Valeurs actuelles fait état d’une querelle idéologique qui ébranle le petit monde du  : la Vegan Society britannique est secouée par des démissions en masse de plusieurs de ses administrateurs qui accusent l’antique organisation de pratiquer… l’appropriation culturelle et le racisme institutionnel.

    antiracisme,gauchisme idéologique,véganismeLe tofu, le blé chinois, le houmous, mets abondamment utilisés dans la cuisine végane, auraient été volés à la cuisine de l’Asie et du Moyen-Orient. Le concept d’appropriation culturelle – dont personne, soit dit en passant, ne voit la contradiction avec le projet  de métissage et de  -, fort en vogue chez les militants antiracistes les plus radicaux, interdit que des « Blancs » (entendez les dominants) osent s’emparer des  culinaires orientales ou africaines au prétexte que ce serait une forme détournée de néo-colonialisme. Un péché mortel, moral et social.

    Certes, il est difficile de suivre les méandres tortueux de cerveaux ramollis par des années d’épidémie gauchiste.

    Essayons d’y voir un peu clair.

    La Vegan Society a été fondée dans les années quarante par Donald Watson : inventeur du terme « végan », il expose la finalité du mouvement en 1944 dans The Vegan News : « Notre civilisation actuelle est construite sur l’exploitation des animaux, tout comme les civilisations passées ont été construites sur l’exploitation des esclaves, et nous croyons que le destin spirituel de l’homme est tel qu’avec le temps, il verra avec horreur l’idée que les hommes se sont nourris autrefois des produits du corps des animaux. Même si les preuves scientifiques peuvent manquer, nous soupçonnons astucieusement que le grand obstacle au développement moral de l’homme peut être qu’il est un parasite des formes inférieures de la vie animale. »

    80 ans plus tard, Eshe Kiama Zuri, activiste de 25 ans, démissionne avec fracas du conseil d’administration de l’antique Vegan Society : « La Vegan Society n’est pas un endroit sûr pour les jeunes, pour les Noirs, pour les personnes queer ou pour toute autre personne marginalisée. »

    D’un projet à l’autre, il n’y a pas, on le voit, de différence essentielle : l’un est la suite logique de l’autre, projet politique fondé sur le rejet de tout ce qui ressort de l’ordre naturel des choses. On ne parle pas ici, évidemment, de l’ mais du rapport de l’homme à l’animal considéré comme tel. Or, comme l’écrit fort justement Mathieu Bock-Côté, dans le FigaroVox« il y a dans le véganisme un rapport abstrait à l’animal, qui le coupe de son inscription dans l’ humaine et qui l’arrache à la longue histoire de la civilisation. C’est au nom de cette dernière qu’il faut s’opposer à lui et du rapport fécond qu’ont noué les hommes avec les animaux, infiniment plus riche que celui proposé par ceux qui instrumentalisent la cause animale pour maudire l’humanité. »

    Maudire l’humanité : le trait commun de l’antiracisme dans ce qu’il a de plus radical et de plus absurde, de plus incohérent, car il n’est qu’une forme de racisme inversé, et le monde du véganisme, dernière lubie d’une gauche bobo, celle des centres-villes et des rabat-joie.

    Naufrage des idéologies folles : l’antiracisme comme le véganisme, l’ ou le « wokisme » signent le naufrage de la gauche. Comme l’explique Pascal Bruckner dans le FigaroVox : « Plutôt que de défendre les classes populaires et les conquêtes sociales, elle préfère brandir le thème de la race comme bouée de secours, mais cette bouée va surtout la couler. En reprenant une rhétorique délétère, cette gauche-là dresse le décor de son propre suicide. »

     

    Marie d'Armagnac

    Journaliste
    Journaliste et auteur
  • Lucratif “antiracisme” : des femmes blanches ethno-masochistes payent 2.500 dollars pour participer à un dîner de repentance organisé par des femmes de couleur

    Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2020

    Auteur : 

    Sur le continent américain comme sur le continent européen, les médias du système relaient avec complaisance une interprétation de faits divers – comme la mort de George Floyd ou d’Adama Traoré – qui alimente le racisme anti-blancs parmi les populations de couleur.

    Des activistes communautaristes – principalement des femmes – en ont fait un véritable fond de commerce. Aux Etats-Unis, c’est notamment le cas de Regina Jackson et Saira Rao qui ont ficelé leur petite affaire de façon très lucrative.

    Saira Rao est née aux Etats-Unis de parents originaires d’Inde. Sur Twitter, tous les deux ou trois jours, Saira Rao s’en prend à sa cible préférée, les «femmes blanches». «Les femmes blanches sont les fantassins du suprémacisme blanc», a-t-elle notamment tweeté.

    La rengaine est paradoxale : les femmes blanches de gauche et féministes n’en feront jamais assez pour satisfaire aux ambitions de Saira Rao, de Regina Jackson et de leurs amies. Exemple avec cet autre tweet : «Les femmes blanches adorent Nancy Pelosi. Nancy Pelosi est le féminisme blanc. Le féminisme blanc est le suprémacisme blanc.»

    Saira Rao est une championne dans l’art de culpabiliser les femmes blanches de gauche. «Petit rappel que les messages de soutien privés sont une forme de suprémacisme blanc. Faites-les en public ou gardez-les pour vous.», écrit-elle sur les réseaux sociaux.

    Saira Rao a également développé une dialectique qui met fin à toute objection : «Si vous avez un problème avec la façon dont une personne racisée parle de racisme, c’est vous le problème.»

    Bien sûr, Saira Rao flirte en permanence avec les formules à caractère raciste : «Joyeuse Saint-Valentin aux filles et aux femmes noires et indigènes. Vous êtes belles à l’intérieur et à l’extérieur, et profondément aimées et chéries.»

    Ne croyez pas que Saira Rao est une excentrique sans influence. Elle a été candidate aux élections du Colorado en 2018 et a tout de même obtenu 32% des voix contre son opposante lors de la primaire démocrate.

    Et, comme nous l’écrivions plus haut, elle a parfaitement compris comment rendre son discours lucratif. Elle a donc fondé une entreprise… d’éducation des femmes blanches à l’antiracisme.

    Ayant bien perçu à quel point certaines femmes blanches sont ethno-masochistes, Saira Rao propose aux femmes blanches gauchistes et financièrement aisées de réserver leur place à des diners de repentance. Pour 2.500 dollars, une femme blanche ethno-masochiste aura le droit de s’installer à la même table que Saira Rao et sa collègue afro-américaine Regina Jackson. La formule s’intitule “Race to Dinner”. Les deux femmes de couleur devenues professionnelles de la rééducation des femmes blanches daignent alors dîner avec un groupe de femmes blanches et leur signifier à quel point tous les détails de leur existence reposent sur des réflexes qualifiés de “racistes”. Sur le site internet officiel de Race to Dinner, il est notamment écrit : «Aux femmes blanches: nous allons parler de la façon dont vous êtes complices du suprémacisme blanc et de l’oppression des femmes racisées. Notre but est de révéler ce que les femmes racisées ont toujours su: votre privilège blanc, votre pouvoir, votre contrôle et votre complicité.»

    A ce tarif quelque peu audacieux de 2.500 dollars par inscription, Saira Rao et sa copine Regina Jackson ont déjà trouvé, depuis la création du projet en 2019, suffisamment de femmes blanches ethno-masochistes et riches pour organiser une quinzaine de ces dîners de dingues. Le tout avec une très inquiétante complaisance de journalistes qui vantent cette folie.Dans le Toronto Star, la journaliste Shree Paradkar trouve ainsi bien naturel de faire payer chèrement de tels dîners, car «éduquer les gens sur la manière dont ils sont des instruments d’oppression ne devrait pas être gratuit».

    Et comme Saira Rao et Regina Jackson s’y entendent en marketing, elles recommandent aux dindes qui vont s’assoir à leur table d’avoir acheté et lu avant le dîner, le livre La Fragilité blanche de leur copine Robin DiAngelo. “Spécialiste” des formations “diversité en entreprise”, Robin DiAngelo y développe sa théorie : en tant que femme blanche élevée dans la société occidentale, elle affirme avoir profité d’un système raciste qui lui a inculqué une vision raciste du monde.

    Saira Rao, Regina Jackson et Robin DiAngelo sont également disponibles pour donner des conférences sur base d’une grille tarifaire très étudiée. Les affaires sont les affaires…

     

    Source : medias-presse.info