Publié par Guy de Laferrière le 15 mai 2024
balles réelles
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Emeutes en Nouvelle-Calédonie
Thomas Joly, Président du Parti de la France : « Un gendarme mobile a été tué par balle en Nouvelle-Calédonie, deux autres personnes également cette nuit, ainsi que des centaines de blessés. Il faut siffler la fin de la partie et réprimer les émeutiers en tirant à balles réelles. C'est juste une question de volonté politique. » -
Violences en Martinique : des journalistes de BFMTV visés par des tirs à balles réelles, cinq policiers blessés par balles (MàJ : David Guiraud évoque « un incident »)
Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2021
David Guiraud (Porte-parole LFI) évoque « un incident » :
Cinq policiers blessés par balles
Dix policiers ont été blessés en Martinique dans la nuit de jeudi à vendredi, dont cinq par balles et cinq autres par des projectiles, selon un nouveau bilan de la police communiqué à l’AFP.
Des tirs à balles réelles en direction des journalistes de BFMTV
Les quatre journalistes n’ont pas été blessés et ont eu juste le temps de monter à bord de leur véhicule et de quitter précipitamment les lieux.
Quatre journalistes, dont un photographe de l’AFP, ont été visés par des coups de feu dans la nuit de jeudi 25 à vendredi 26 novembre dans un quartier de Fort-de-France alors qu’ils couvraient les violences urbaines nocturnes en Martinique. Les journalistes ont essuyé trois tirs dans une rue désertée en raison du couvre-feu strict décrété jeudi soir. Des hommes sur deux motos ont tiré sur les journalistes qui étaient en train de filmer et prendre des photos à bonne distance d’un barrage en feu.
(…)
“On est sortis de la voiture pour filmer le barrage de loin. On était près du canal Levassor, tout proche du port de plaisance, un endroit plutôt calme ces derniers jours. On était seuls. J’ai vu deux motos s’arrêter. J’ai crié : ‘Putain y a les motos !'” a raconté Loïc Venance. Les journalistes avaient eu écho que des hommes à moto armés venaient provoquer les forces de l’ordre lors des violences nocturnes.
“Au moment de monter dans la voiture, il y a eu un premier tir. Puis deux autres tirs avant qu’on file”, a détaillé Julien Taureau. “Ça faisait une heure et demie qu’on tournait dans la ville pour témoigner des violences. On a croisé énormément de policiers qui nous disaient de rentrer. Ils étaient hyper tendus. On s’est dit : ‘c’est hyper calme, c’est pas normal'”, a rapporté le photographe de l’AFP.
Une équipe de tournage de BFMTV, ainsi qu’un photographe de l’AFP et un photojournaliste de l’agence Abaca Press, ont essuyé des tirs à balles réelles près du centre-ville de Fort-de-France. Ils tournaient une séquence et photographiaient dans une rue, à proximité d’un barrage.