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barbarie

  • CULTURE DE L’EXCUSE

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2020

    POSTÉ LE SEPTEMBRE 01, 2020, 10:47

    Un individu de 45 ans a été arrêté le 27 août à Nantes. Il a reconnu avoir, une semaine plus tôt, assassiné une jeune fille de 15 ans.
    Encore un fait divers, tristement révélateur de la barbarie qui monte dans notre « dissociété », direz-vous.
    Certes. Mais il y a plus grave.
    L’individu a été arrêté aussi vite parce que son ADN, relevé sur le corps de la malheureuse, figurait dans les fichiers de la police judiciaire.
    Pourquoi ? « Tout simplement » parce que l’homme avait déjà été condamné à 18 ans de prison (pour la bagatelle de 12 viols et tentatives de viol) en 2004.
    Un calcul rapide vous permet de constater qu’il doit y avoir erreur dans la phrase qui précède (2004 + 18 = 2022 et nous sommes encore en 2020).
    Hélas non, il n’y a pas d’erreur. L’homme a été libéré en 2016.
    En principe, un viol est punissable de 15 ans de réclusion criminelle (ce qui, entre nous, n’est déjà pas cher payé pour avoir ruiné la vie d’une innocente). Là, l’intéressé a fait baisser le « tarif » à un an par viol !
    La vie et l’intégrité de nos jeunes femmes ne valent décidément pas bien cher sous Marianne V. C’était bien la peine de faire tout ce cinéma féministe à l’occasion de #Metoo, n’est-ce pas Marlène Schiappa !
    Mais le plus incroyable, c’est que la chose a été « théorisée ».
    L’avocat (membre de la Ligue des droits de l’homme) Arié Alimi a commenté : « Il n’y a pas de société sans risque, il y a malheureusement des choses qu’on ne pourra jamais éviter. »
    Plus fort encore, le juge (oui, le juge : vous savez, cet homme dont la fonction est de punir les criminels, de rendre justice aux victimes et de protéger la société en mettant les agresseurs hors d’état de nuire !) Jean-Pierre Rosenczveig a, quant à lui, précisé doctement : « Il n’existe aucune certitude d’empêcher quelqu’un de passer à l’acte. » Circulez, il n’y a rien à voir !
    Il est certain que, si on remet les violeurs dans la nature, cela augmente nettement le risque de viol. Mais ce n’est pas la « faute à pas de chance ». C’est la faute du laxisme judiciaire.
    Le syndicat de police Synergie-Officiers ajoute à propos de ce juge : « Il y a 15 ans ce magistrat était surnommé “le père Noël” sur le 93. Patron du tribunal pour enfants, il n’a eu de cesse d’écumer les plateaux en apôtre de la culture de l’excuse. »
    On avait compris. Des crimes sont commis, c’est bien regrettable, ma pauv’ dame, mais personne n’y peut rien. D’ailleurs, dans cette histoire, il n’y a que des victimes, n’est-ce pas ?
    Au fait, si on rendait enfin les magistrats responsables de leurs décisions, aurait-on toujours le même laxisme judiciaire ?

     

    Source : les4verites

  • Loi éthique, loi de la barbarie.

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2020

    Loi éthique, loi de la barbarie.

    Ce lundi 27 juillet, la loi éthique, mise entre parenthèses pendant plusieurs mois du fait de la crise sanitaire, revient à l'Assemblée nationale en seconde lecture.

    Alors que le Sénat les avait supprimés, trois articles particulièrement scandaleux ont été réintroduits par les députés de la Commission spéciale chargée de la finalisation du projet.

    1- Le remboursement par la sécurité sociale de la procréation assistée pour toutes, femmes seules et couples homosexuelles compris même si la démonstration de leur infertilité naturelle n'a pas été faite. Le coût pour les contribuables en sera très important. Le coût moral pour la Nation, incalculable.

    2- L'autorisation de la PMA post-mortem, ignominie éthique née dans on ne sait quel arcane ténébreuse.

    3- La privatisation possible du stockage des gamètes, fruit de l'action intense de lobbying des laboratoires.

    D'autres abominations se préparent qui, n'en doutons pas, surgiront du débat par la voie des amendements. Mais, au delà de ces articles qui ne sont que des points de détails d'un tout, c'est l'essence même de cette loi qui doit être combattue. Si la procréation assistée peut être un recours vitaliste pour un couple homme-femme qui ne peut avoir d'enfant, l'ordre naturel autant que l'exigence nationale et la conscience supérieure de ce qu'est l'humanité vraie condamnent ces pratiques monstrueuses qui, après la banalisation de l'avortement, le mariage homosexuel, les manipulations génétiques sur l'embryon et la promotion de l'euthanasie, ouvrent la voie à un changement total de civilisation.

    D'autant que se profile à l'horizon la GPA, cette infernale gestation pour autrui à laquelle n'ont pas renoncé les apprentis-sorciers du progressisme comme le montre l'amendement introduit en octobre par un député LREM qui en évoque la reconnaissance, sans pour le moment la faire figurer dans la loi.

    Notre civilisation a, pour le moment encore mais plus pour très longtemps, le choix. Bientôt il sera trop tard. Ce choix, c'est celui de la Vie, ou de la mort.

    Jean-François Touzé.

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