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bobigny

  • Bobigny (93) : Un client mécontent casse et incendie le bureau de son avocate spécialisée dans le droit des étrangers

    Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2022

    Seine-Saint-Denis : la solidarité s’organise autour de l’avocate après qu’un client a incendié son bureau

    « Abasourdie », Me Catherine Herrero dit tenir grâce au soutien de ses confrères. L’avocate, qui plaide à Bobigny depuis janvier 1993, a tout perdu lorsqu’un client mécontent a mis le feu à son bureau, situé avenue Pierre-Sémard à Bobigny, mardi midi.

    « Il m’a écrit parce qu’il voulait récupérer un document et je lui ai répondu que j’étais en vacances, explique-t-elle. Il est venu et a cassé la porte d’entrée à coups de masse, puis il a tout cassé dans mon bureau et l’a incendié. 50 % de mes dossiers ont brûlé, ainsi que tout le mobilier. Et l’autre partie est noyée. »

     

    (…)

    « Heureusement que j’ai ce soutien car ça donne envie de lâcher prise », confie celle qui s’est spécialisée il y a près de trente ans dans « les contentieux humains, le droit de la famille, le droit des étrangers… « Ça fait d’autant plus mal. »

    www.leparisien.fr via fdesouche

  • Bobigny (93): un homme tué de trois balles, l’assassin a ensuite pris en otage trois femmes qui ont été libérées grâce aux policiers du RAID

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2022

    Un homme a pris en otage trois femmes dans un appartement de Bobigny (Seine-Saint-Denis), avant d’être interpellé. Il est accusé d’avoir tué un homme peu avant, et d’en avoir blessé un second.

    Longue soirée d’intervention pour les policiers et les secours de la Seine-Saint-Denis. Un homme a été tué par balles à Bobigny (Seine-Saint-Denis) ce vendredi soir vers 20 heures. La victime a été retrouvée dans la rue du Chemin-Vert mais aurait été attaquée à quelques centaines de mètres de là, alors qu’elle se trouvait à proximité d’un établissement de restauration rapide situé sur le boulevard de l’Hôtel-de-ville. L’homme était co-gérant de cet établissement. Évacué à l’hôpital Avicenne, il est décédé des suites de ses blessures peu après. Il aurait été touché par trois balles. Le défunt était connu des services de police précise une source proche du dossier. […]

    “L’homme qui s’est introduit dans l’appartement est manifestement celui qui a ouvert le feu dans le restaurant une heure plus tôt”, confie cette même source. “Il s’est réfugié dans l’appartement de son ex-compagne pour des raisons qui restent à éclaircir. Trois femmes se trouvaient à l’intérieur”. […]

    Actu17 via fdesouche

  • Bobigny. Torture, drogue… un juré “connu de la mosquée” jugé pour avoir fait fuiter le verdict sur Snapchat

    Publié par Guy Jovelin le 13 mai 2021

    Un juré de cour d’assises encourt un an de prison pour avoir divulgué le verdict d’un procès à Bobigny en 2019, avant même qu’il soit rendu. Il sera jugé en juin avec deux proches d’un accusé, qui avait été acquitté. Retour sur une enquête qui a secoué l’institution judiciaire.

    C’était un coup de tonnerre dans le ciel judiciaire. Le verdict avait fuité. La cour d’assises n’a pas encore rendu officiellement sa décision que ce message s’était répandu comme une traînée de poudre. Des avocats restaient sans voix. Ils ne le savaient pas encore, mais l’un des jurés l’a communiqué via Snapchat. Même les plus anciens, trente ans de robe, n’avaient jamais rien vécu de tel. Pendant deux semaines, on y avait jugé sept hommes et une femme pour des tortures et actes de barbarie.

    Si le verdict avait transpiré, c’est bien qu’il y avait un contact entre la cour et l’extérieur, malgré le secret imposé par la loi. Avait-on forcé les jurés à voter tous ces acquittements ? Les trafiquants étaient-ils si puissants qu’ils pouvaient mettre la justice au pas ?

    (…) Les jours suivants, il était question de quelques accusés, « Afo » et « le docteur », contre lesquels des peines de 8 à 18 ans avaient été requises. « Des peines de malade », « ça va être chaud », commentaient encore les écoutes, avec mention d’un «petit juré, un mec du 13». «On l’a chopé moi et Butch» semblait se vanter celui que la justice a identifié comme étant Razmo. Le lendemain, « Afo » et « le docteur » étaient acquittés.

    Razmo et Butch : le duo qui a approché le juré. L’un est garagiste, l’autre sans profession, tous deux habitués des box judiciaires. Ces trentenaires connaissent Afo depuis l’adolescence. Et c’est en se rendant au procès que Butch aurait reconnu Djo, « le petit du 13 », parmi les jurés. Il le connaissait de la mosquée. Le 13, c’est en référence à la rue d’un point de deal, rue où vivait ce juré aussi.

    Le Parisien via fdesouche

  • Un policier de la BAC plaque violemment un homme au sol lors d’un opération antidrogue à Bobigny (93) : six mois de prison ferme et interdiction définitive d’exercice de la profession

    Publié par Guy Jovelin le 10 mai 2021

    Seine-Saint-Denis. Un policier de la BAC plaque violement un homme au sol : six mois de prison ferme

    Un policier de la BAC a été condamné à 12 mois de prison dont six mois ferme, jeudi 6 mai 2021, par le tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour violences volontaires.

    actu.fr via fdesouche