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  • Calais (62) : l’association des chalets de la ville déplore une vingtaine d’effractions en moins d’un mois ; en cause, des migrants qui squattent avant d’embarquer sur un bateau-taxi

    Publié par Guy de Laferrière le 12 avril 2023

    Depuis environ trois semaines, l’association des chalets de Calais déplore une vingtaine d’effractions recensées. En cause : les migrants qui attendent d’embarquer sur un bateau-taxi.

    Le propriétaire du chalet numéro 199, situé en première rangée le long de la digue Gaston-Berthe à Calais, a eu une mauvaise surprise ce week-end : son chalet a été fracturé. Une nouvelle dégradation de chalet qui s’ajoute à celles déjà recensées par l’association des propriétaires calaisiens.

    « Lors des trois dernières semaines, nous avons eu une vingtaine de chalets fracturés. Tous entre le parking de Blériot et la placette événementielle », indique le président de l’association, Jean-Pierre Pruvot. Ce dernier explique que les chalets ont été squattés par « des migrants. Ils viennent y dormir avant de tenter leur chance en embarquant dans un bateau. Il n’y a pas eu d’autres problèmes. Souvent, ils sont partis avant qu’un propriétaire arrive ou s’en vont quand il les retrouve ».

    […] La Voix du Nord via fdesouche

  • Calais : des associations installent des boîtes aux lettres pour lutter contre les expulsions des camps de migrants

    Publié par Guy Jovelin le 02 avril 2022

    Des associations ont installé des boîtes aux lettres à l’entrée de campements de Calais portant les noms et numéros de téléphone  de migrants, afin de rappeler aux autorités qu’elles doivent leur permettre de défendre leurs droits avant de les expulser, ont-elles annoncé vendredi.

    Ces associations, parmi lesquelles l’Auberge des migrants, Utopia56, Salam et le Secours catholique, entendent ainsi lutter « contre les expulsions violentes avec mise à l’abri forcée et sans diagnostic social », expliquent-elles dans un communiqué. Elles lancent cette action alors que le préfet du Pas-de-Calais a été condamné, le 24 mars, pour avoir démantelé un campement de migrants à Calais en septembre 2020 sans cadre juridique adéquat.

     « Depuis que les personnes sont installées sur ces terrains, ceux-ci constituent leur domicile. Un domicile est protégé par la loi. Toute mesure d’expulsion doit donc faire l’objet d’une procédure juste et équitable devant un tribunal : les habitants du terrain doivent être convoqués au tribunal et pouvoir se défendre avec l’assistance d’un avocat », selon les associations.

    Les boîtes aux lettres ne portent pas les noms et numéros de la totalité des migrants du campement mais « si ne serait-ce qu’une personne se déclare comme habitant de ce lieu, le procureur est obligé d’organiser une procédure contradictoire avec cet habitant le propriétaire », alors que « le procureur (de Boulogne-sur-Mer) se dédouane à chaque fois en disant que les personnes sont non-nommables et non-identifiables », insiste Marguerite Combes, coordinatrice d’Utopia56 Calais. […]

    20 minutes via fdesouche

  • Calais : un chauffeur de camion meurt après une altercation avec des migrants

    Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2021

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    Un chauffeur routier, portugais de 48 ans, a été retrouvé en arrêt cardio-respiratoire sur l’aire d’autoroute de l’Épître, à hauteur de Beuvrequen, sur l’autoroute A16. Il est décédé.

    La raison de l’alerte ? « Une altercation entre un chauffeur de poids lourd et plusieurs migrants », indique le service départemental d’incendie et de secours du Pas-de-Calais (SDIS 62).

    La Voix du Nord

    Le chauffeur de camion a voulu faire descendre trois migrants de son poids-lourd. Il a alors reçu un coup de poing par l’un des migrants, au niveau de l’arcade. Il est ensuite remonté dans sa cabine et il a fait un malaise cardiaque 5 minutes plus tard. Il a alors perdu connaissance et est décédé sur place. Selon les premiers éléments, le chauffeur prenait un traitement pour le cœur, il était en surpoids et également fumeur. L’enquête a été confiée à la brigade des recherches de Calais. Selon une source proche du dossier, le chauffeur avait “signalé par téléphone la présence de migrants dans sa remorque.” 

    (..) France Bleu

  • 120M€ est le coût net en 2020 supporté par la France du fait de la présence de migrants à Calais, cela inclut les contributions britanniques

    Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2021

     

     

  • Calais : près de 1400 migrants ont déjà été accueillis en une semaine dans le “centre d’accueil temporaire”

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2021

    Près de 1400 migrants ont déjà été accueillis en une semaine dans un «centre d’accueil temporaire» – 300 lits de camp répartis dans deux hangars – ouvert chaque nuit par l’État à Calais, a indiqué mercredi 10 novembre la préfecture à l’AFP.

    De grandes tentes blanches ont été installées dans ces deux hangars chauffés, situés dans la zone industrielle de Calais, à environ quatre kilomètres du centre-ville, déjà ouverts ponctuellement en hiver ces dernières années, en fonction des conditions climatiques. Les migrants y sont acheminés par bus. Sur place, ils disposent d’une collation, de prises électriques pour recharger leur téléphone, de sanitaires, d’une brosse à dents ou encore d’une paire de tongs. Sur les murs, des affiches rappellent les dangers liés à la traversée de la Manche en bateau.

    L’ouverture de ce «sas» avait été annoncée le 3 novembre par le patron de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii), Didier Leschi, envoyé en médiation à Calais par le gouvernement pour négocier avec plusieurs associatifs en grève de la faim. Les migrants peuvent y passer une nuit, mais doivent quitter les lieux à 8H30. En moyenne, 197 personnes sont accueillies chaque nuit, selon la préfecture. 1380 y ont été accueillies en une semaine, selon la même source.

    «Ça ne suffit pas», estime Ludivine Colas, coordinatrice d’Utopia 56. «300 places ne peuvent pas combler les besoins de 1500 personnes présentes sur le Calaisis. On souhaiterait aussi un dispositif (…) qui permette (aux migrants) de se reposer sur plusieurs jours», affirme-t-elle. «C’est toujours ça de pris, mais c’est vraiment insuffisant», tance Pierre Roques, coordinateur de l’Auberge des Migrants. De son côté, la maire de Calais, Natacha Bouchart, craignant la reconstitution d’une nouvelle «Jungle» dans sa ville, a demandé la «suppression» de ce sas, un dispositif «voué à l’échec».

    Le Figaro via fdesouche