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cobayes

  • Jeunes trans’ : “On a été des cobayes”

    Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2022

    Jeunes trans’ : “On a été des cobayes”
    Jeunes trans’ : “On a été des cobayes”En 1972, la Suède a été le premier pays au monde à reconnaître les transgenres. Constatant les conséquences délirantes de cette idéologie, elle a décidé cette année de ne plus accorder de traitements hormonaux à des adolescents, sauf à titre exceptionnel…

    Angela Sämfjord, pédopsychiatre qui a créé l’une des cliniques pour enfants transgenres de Suède, a démissionné après avoir pris conscience :

    “Quand j’y travaillais, on a bloqué la puberté d’adolescentes dès l’âge de 12 ans avec des médicaments, alors que c’est un diagnostic complexe. J’ai rencontré beaucoup de patients venus consulter pour une transition de genre qui avaient d’autres problèmes psychiques”.

    “Un grand nombre étaient autistes, soit 25%. Je pense que la Suède s’est perdue. On a été plus vite que la science. Même si l’intention était de faire du bien à nos patients, on a donné des traitements médicaux sans suffisamment de preuves.”

    Un adolescent témoigne :

    “On a été des cobayes. Ils ont mené des expériences sans base scientifique. Qui fait ça en médecine ?”

    Oui, quelle autre idéologie a utilisé les enfants comme des cobayes de laboratoire ?

    “De nombreux parents qui s’opposaient à un traitement pour leur enfant et demandaient d’attendre, se sont vu traiter de transphobes. Les cliniques pour adolescents transgenres ont été jusqu’à signaler des parents aux services sociaux en leur disant : ‘Attention, nous avons un enfant transgenre dans cette famille et des parents transphobes.’ Et cela, juste parce que les parents voulaient qu’on prenne le temps avant de donner des hormones ou qu’on fasse une chirurgie à leur enfant.”

     

    Source : lesalonbeige

  • Les Africains utilisés comme cobayes par la Fondation Gates pour tester l’injection de nanoparticules marquant les vaccinés

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2021

    L’information pourra difficilement être qualifiée de “complotiste” puisqu’elle fait l’objet d’une dépêche de l’Agence France Presse (AFP) relayée par le journal Le Monde autoproclamé boussole de la Vérité sur le Covid et tout ce qui l’entoure.

    Des ingénieurs du Massachusetts Institute of technology (MIT) ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l’œil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée.

    La Fondation Gates, qui finance le projet, a aussi lancé des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination.

    L’idée est d’inscrire sur le corps lui-même la preuve du vaccin (….)

    Le système, décrit mercredi dans la revue Science Translational Medicine, n’a pour l’instant été testé que sur des rats mais les chercheurs, financés par la Fondation Bill et Melinda Gates (partenaire du Monde Afrique), espèrent les tester sur des humains en Afrique dans les deux prochaines années, dit à l’AFP la coautrice Ana Jaklenec, ingénieure biomédicale de MIT.

    (…) La recette finale est composée de nanocristaux à base de cuivre, appelées des boîtes quantiques (« quantum dots » en anglais), de 3,7 nanomètres (nm) de diamètre, et encapsulés dans des microparticules de 16 micromètres (μm, 1 μm égale un millionième de mètre, et 1 nm égale un milliardième). Le tout est injecté par un patch de microaiguilles de 1,5 mm de longueur.

    Après avoir été appliquées sur la peau pendant deux minutes, les microaiguilles se dissolvent et laissent sous la peau les petits points, répartis par exemple en forme de cercle ou bien d’une croix. Ces petits points sont excités par une partie du spectre lumineux invisible pour nous, proche de l’infrarouge.

    Un smartphone modifié, pointé sur la peau, permet de faire apparaître, fluorescent sur l’écran, le cercle ou la croix. Les chercheurs voudraient qu’on puisse injecter le vaccin contre la rougeole en même temps que ces petits points. Un médecin pourrait des années plus tard pointer un smartphone pour vérifier si la personne a été vaccinée.

    (…) En outre, les gens accepteront-ils de multiples marquages sous la peau pour chaque vaccin? Et qu’adviendra-t-il des points quand le corps des enfants grandira ?

    La Fondation Gates poursuit le projet et finance des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination.

    Tout commentaire serait superflu. L’AFP et le journal Le Monde viennent simplement de confirmer ce que les médias alternatifs, traités de complotistes, annonçaient depuis au moins un an.

     

    Source : medias-presse.info

  • Le lapsus révélateur de Dupond-Moretti par rapport à la vaccination : les détenus ne sont pas des cobayes

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2021

    Sur France Info, récemment, le garde des Sceaux Dupond-Moretti a eu un lapsus révélateur qu’il a bien essayé de travestir tout de suite après l’avoir prononcé… mais ce qu’il a dit a été dit et restera gravé dans le marbre virtuel d’Internet.

    A la question de la journaliste « Est-ce que les détenus ont le droit de refuser de se faire vacciner à l’AstraZeneca ? » cri du cœur de l’avocat devenu ministre de la Justice : « Mais madame, les détenus ne sont pas des cobayes ! »

    Eberluée, la journaliste, après un temps de silence surpris, lui rétorque : « « Donc tous ceux qui se font vacciner à l’AstraZeneca sont des cobayes ? »…

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1382229812492828673

    A partir de là, bien maître de lui il faut le lui reconnaître, Dupond-Moretti d’évoquer, pour rattraper sa « bourde » véridique, la dignité des détenus, etc., etc., qui donne le droit aux détenus de refuser : « « Non mais Madame, vous me demandez si les détenus ont le droit de refuser. Bien sûr que oui. C’est une question de dignité, non ? » Question de dignité à géométrie variable : ce droit de refus, faut-il le rappeler au ministre, les résidents d’Epad n’en ont pas bénéficié, obligés de recevoir l’injection décidée par les autorités sanitaires.

    En sus de ce lapsus révélateur concernant le vaccin AstraZeneca en phase d’expérimentation, les Français servant de cobayes, ce dialogue témoigne bien de « l’anarcho-tyrannie » qui règne au sein du gouvernement macronien, faible avec les forts, fort avec les faibles, les malhonnêtes, délinquants, prisonniers, étant mieux traités et plus considérés que les honnêtes gens.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info