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détenus

  • Bonneville (74) : avec le parapente, ils échappent au quotidien de la prison

    Publié par Guy de Laferrière le 05 décembre 2022

    Rêves d’en haut est une association basée à Mieussy qui emmène des détenus de la prison de Bonneville pour faire du parapente. Loin d’être un simple loisir, l’opération fait partie de leur processus de réinsertion.

    Fondée en 2015, l’association Rêves d’en haut a un but : faciliter la réinsertion de détenus de la prison de Bonneville et de jeunes sous la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). Pour ce faire, la structure utilise un moyen peu banal, le parapente. En effet son président est pratiquant et les intervenants, Franck Grelot et Jérôme Blanc-Gras en plus de ceux cités plus bas, sont moniteurs de ce sport aérien.

    […]

    Le Messager via fdesouche

  • Nîmes : Sonia, une jeune policière adjointe échangeait des messages sur Snapchat avec des détenus, elle est interdite d’exercer

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Une jeune policière adjointe en poste au commissariat de Nïmes échangeait des messages avec deux détenus qui avaient des téléphones portables en prison. La jeune femme est condamnée à six mois de prison assorti d’un sursis. Le tribunal a prononcé une interdiction d’exercer la fonction de policier ou de gendarme pendant cinq ans.

    Sonia (le prénom a été modifié), jeune policière adjointe à Nîmes n’a pas su ou pas voulu couper les ponts avec ses amis du Chemin-Bas-d’Avignon. Des téléphones appartenant à des amis du quartier en détention et connus pour leurs antécédents judiciaires ont été saisis en septembre 2021 lors d’une fouille en prison. 

    Un officier de police judiciaire a découvert que l’une des personnes contactées avec ces téléphones portables était une jeune policière adjointe en poste au commissariat de Nîmes. L’un des détenus lui annonçait qu’il allait être placé en garde à vue. “T’es sûr ? C’est bon. T’inquiètes. Tu as besoin de quoi ? J’y serai à 6 heures (NDLR : au commissariat) “, lui répond la jeune femme après avoir vérifié l’information sur le registre des gardés à vue.

    […]

     

    Midi-Libre via fdesouche

  • Une « prime Macron » de 100 euros pour certains détenus qui travaillent provoque la colère des surveillants de prison, qui se sentent moins bien traités

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2022

    Le syndicat UFAP-Unsa justice des Pyrénées-Orientales, à l’instar de toutes les autres délégations de France, s’insurge également contre la revalorisation de certaines prestations accordées aux prisonniers.

    “Nous apprenons avec colère que certains détenus qui travaillent ont touché la prime d’inflation de 100 euros  promise par le gouvernement en faveur de ceux qui galèrent quotidiennement face à la montée en puissance du coût de la vie !”. La nouvelle a suscité ce vendredi l’ulcération de l’UFAP-Unsa justice. 

    “Il est vrai que les personnes incarcérées subissent de plein fouet la hausse du prix de l’essence, du gaz et de l’électricité ! La bonne blague…, ironise le syndicat. Non content d’offrir à la population pénale un niveau de prestations, par ailleurs revalorisé par la dernière circulaire du 7 mars 2020, que beaucoup d’entre nous n’ont pas les moyens de se payer, le gouvernement distribue l’argent public à ceux qui ont décidé de ne pas respecter les lois de la République. Bien que nous ne militions pas pour que ces détenus cassent des cailloux et soient entassés les uns sur les autres, nous ne pouvons qu’être écœurés par ces mesures. Et nous n’oublions pas les 50 millions d’euros débloqués au budget justice 2022 pour déployer le droit du travail à tous les détenus ainsi que les droits sociaux inhérents (Assedic, retraite, congés maladie, etc.…), sous couvert de la réinsertion. Et ce, en regard des 30 millions d’euros attribués à une réforme honteuse du CEA (Corps d’encadrement et d’application)”. La  comparaison n’est certes pas très heureuse, reconnaît l’UFAP-Unsa justice, mais “elle est plus que légitime”, martèle-t-il. “C’est une insulte et du mépris !”.

    (…) L’Indépendant via fdesouche

  • Le lapsus révélateur de Dupond-Moretti par rapport à la vaccination : les détenus ne sont pas des cobayes

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2021

    Sur France Info, récemment, le garde des Sceaux Dupond-Moretti a eu un lapsus révélateur qu’il a bien essayé de travestir tout de suite après l’avoir prononcé… mais ce qu’il a dit a été dit et restera gravé dans le marbre virtuel d’Internet.

    A la question de la journaliste « Est-ce que les détenus ont le droit de refuser de se faire vacciner à l’AstraZeneca ? » cri du cœur de l’avocat devenu ministre de la Justice : « Mais madame, les détenus ne sont pas des cobayes ! »

    Eberluée, la journaliste, après un temps de silence surpris, lui rétorque : « « Donc tous ceux qui se font vacciner à l’AstraZeneca sont des cobayes ? »…

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1382229812492828673

    A partir de là, bien maître de lui il faut le lui reconnaître, Dupond-Moretti d’évoquer, pour rattraper sa « bourde » véridique, la dignité des détenus, etc., etc., qui donne le droit aux détenus de refuser : « « Non mais Madame, vous me demandez si les détenus ont le droit de refuser. Bien sûr que oui. C’est une question de dignité, non ? » Question de dignité à géométrie variable : ce droit de refus, faut-il le rappeler au ministre, les résidents d’Epad n’en ont pas bénéficié, obligés de recevoir l’injection décidée par les autorités sanitaires.

    En sus de ce lapsus révélateur concernant le vaccin AstraZeneca en phase d’expérimentation, les Français servant de cobayes, ce dialogue témoigne bien de « l’anarcho-tyrannie » qui règne au sein du gouvernement macronien, faible avec les forts, fort avec les faibles, les malhonnêtes, délinquants, prisonniers, étant mieux traités et plus considérés que les honnêtes gens.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Prison de Fleury-Mérogis (91) : un festival de musique pour faire danser les détenus

    Publié par Guy Jovelin le 28 août 2020

    Par  le 28/08/2020

    Jusqu’au 2 septembre, sept artistes vont se produire sur l’un des terrains de la prison. À chaque fois, près de 600 détenus, en très grande partie installés dans leur cellule, vont pouvoir y assister.

     

    M ‘IMPROvise annulé. Essonne en scène annulé. Le Mennecy metal fes t annulé. Alors que tous les festivals en Essonne ne peuvent se tenir en raison de la crise sanitaire, la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis réalise le tour de force de créer le sien.

    En seulement deux mois, le pôle culture du service pénitentiaire d’insertion et de probation de l’Essonne a mis sur pied un événement unique en son genre, le festival Fleury Days. Jusqu’au 2 septembre, sept artistes vont se produire sur l’un des terrains de football de la prison.

    […]

    Le Parisien via fdesouche