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conseil municipal

  • Une municipalité en lien avec l’islamisme

    Publié par Guy de Laferrière le 08 avril 2023

    Une municipalité en lien avec l’islamisme

    Le lundi 3 avril, Jean-Eudes Gannat est passé devant le Tribunal judiciaire d’Angers pour diffamation. Il lui est reproché d’avoir affirmé dans une vidéo datant de novembre 2021 :

    « Il y a des gens, au conseil municipal de Trélazé, qui sont des chevaux de Troie de l’islamisme. »

    Izzet Albayrak, adjoint au maire de la commune (située dans le Maine-et-Loire) et président de l’Union des entrepreneurs franco-turcs a décidé de porter plainte.

    Pourtant, les accusations adressées à l’encontre de M. Albayrak et de plusieurs membres du conseil municipal ne sont pas sans fondement. Le conseil municipal de Trélazé a par exemple voté une subvention de 40 000 € à l’Association Culturelle des Musulmans de Trélazé (ACMT), association qui a soutenu Hassan Iquioussen, l’imam frériste expulsé pour avoir fait l’apologie d’Oussama Ben Laden.

    Radouane Frikache, un autre conseiller municipal de Trélazé, organisait en 2013 une conférence sur l’islam avec Marwan Muhammad, président du CCIF, organisation dissoute pour ses liens avec la mouvance islamiste, et Hassan Iquioussen.

    En première instance, le procureur de la République a rappelé que Monsieur Gannat risquait jusqu’à 45 000 € d’amende. L’Association de Soutien aux Lanceurs d’Alerte soutient ce lanceur d’alerte jusqu’au délibéré, le 24 avril et au-delà s’il souhaite faire appel. Il est possible de les aider à financer les frais de justice.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le maire utilise l’église pour tenir son conseil municipal, au mépris de l’affectataire

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2020

    Le maire utilise l’église pour tenir son conseil municipal, au mépris de l’affectataire

    Après Marlène Schiappa qui se mêle de la nomination du prochain archevêque de Lyon, voici un maire qui utilise l’église communale pour tenir son premier conseil municipal. Sans l’avis du diocèse, affectataire de l’église, Stéphane Amilcar, le maire d’Émiéville, petite commune à l’est de Caen, a été élu lundi 25 mai dans l’église du village. Ceci afin de respecter la distanciation physique. Décidément, le COVID justifie tout.

    Urne au bout de la nef, isoloir dans le transept, élus à la place des fidèles… L’évêché a réagi :

    « Dans l’après-midi (lundi), j’ai reçu un coup de fil du curé de Troarn qui n’était pas content qu’on fasse le conseil ici, puis de la préfecture du Calvados. L’Évêché s’est plaint et le préfet m’a prévenu que l’élection risque d’être annulée. » « Le vote de ce soir risque d’être annulé. L’Eglise a pleuré auprès de la préfecture. Mais pas question de renoncer, ce sont nos impôts qui paient l’entretien de l’église. C’est chez nous ! »

    Si les impôts payent l’entretien des lieux de culte, c’est en raison de l’accaparement par l’Etat des propriétés de l’Eglise…

    Nouvelle spoliation des biens du clergé. Après avoir volé l’Eglise sous la Révolution puis en 1905, l’Etat compte spolier l’affectataire de ses droits.

    Voici les coordonnées de la mairie : 02 31 39 07 12 contact@emieville.fr

     

    Source : lesalonbeige