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discrimination positive

  • HEC : discrimination positive, matraquage sur le sexisme et le racisme…

    Publié par Guy Jovelin le 15 mai 2021

    La prestigieuse école de commerce HEC s’enfonce dans le . Discrimination positive, cours obligatoires sur le  en lien avec , « diversité » : dans une interview aux Échos, le directeur général de l’école, Éloïc Peyrache, annonce les nouvelles dispositions d’HEC.

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    Au programme : « l’accélération des enjeux de diversité et d’ouverture sociale ». Pour ce faire, Éloïc Peyrache, qui souhaite atteindre 20 % d’étudiants boursiers d’ici deux à trois ans, et 25 % dans quelques années, propose une discrimination par points de bonification. Tous les étudiants qui passaient le concours pour la première fois avaient d’ores et déjà des points de bonification. Dorénavant, les étudiants boursiers disposeront encore de ces points de bonification pour leur deuxième présentation au concours. Il s’agit aussi d’« augmenter la part des femmes » et « la diversité territoriale », annonce-t-il, sans pour autant s’expliquer ni donner plus d’informations sur les avantages qu’auront femmes et personnes issues de la « diversité territoriale » au concours face à d’autres candidats.

    Matraquage féministe

    Désormais, le groupe Egae prendra en charge l’accueil des victimes. Le groupe se décrit comme une « agence de conseil, formation et communication experte de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la lutte contre les discriminations, de la diversité et de la prévention des violences sexistes et sexuelles ». Une expertise dont on peut douter lorsque l’on sait que le groupe Egae a été fondé par Caroline De Haas, selon qui « un homme sur trois est un agresseur ». Les élèves, le comité de direction et les professeurs seront tous formés par Egae sur le harcèlement, le racisme – le rapport avec les luttes hommes-femmes ? – et les violences sexuelles. La formation sera obligatoire sur toute l’année. Alors que la prestigieuse Sciences Po tente de sortir la tête de l’eau face aux accusations multiples qui se sont syncrétisées dans le hashtag #SciencesPorcs, on croirait presque qu’HEC s’achète une caution, si un scandale venait à poindre. En attendant, ces nouvelles avancées laissent à désirer sur nos élites de demain.

     

    Emma Kerhervé

    Journaliste
     
  • De la discrimination positive à la préference allogène.

    Publié par Guy Jovelin le 12 février 2021

    discrimination positive,préférence allogène

     

    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    Après l'annonce, fin janvier, par le Premier ministre, Jean Castex, du versement de 3,3 milliards d'euros en faveur des "quartiers défavorisés" inscrivant ainsi ses pas dans ceux de tous ses prédécesseurs engagés au service de la ruineuse et folle "politique de la ville" qui, en trente ans a coûté au contribuable français - en pure perte - plus de 50 milliards, c'est au tour du Président de la République de se lancer dans la course républicaine à l'échalote du meilleur défenseur des droits des minorités et du plus ferme partisan de la lutte contre la "discrimination". À moins de quinze mois de la Présidentielle, il s'agit pour la macronie de soigner son flanc gauche.
     
    En déplacement à Nantes ce jeudi, Emmanuel Macron devant les étudiants de l'Institut régional d'administration (IRA) a donc annoncé plusieurs mesures pour promouvoir plus de diversité sociale et culturelle dans la haute fonction publique. Le nombre de places destinées aux étudiants des quartiers défavorisés ou ruraux va être augmenté de 1.000 pour passer à 1.700 et des accès leur seront réservés dans cinq grandes écoles publiques, dans la limite de 15 % du nombre de reçus via le concours externe. 
     
    Au moment où une grande école comme Sciences Po sombre dans le chaos après son ouverture idéologique aux "minorités" et son adhésion aux pires courants de la déviation sociétale, on peut craindre le pire pour une administration qui fut jadis une fierté nationale et qui devient petit a petit une des principales forces de sapement de l'Etat et de l'ensemble de la société française.
     
    Sarkozy avait déjà rêvé d'installer la discrimination positive comme principe d'action et avait entamé un processus largement développé par Hollande. Macron, lui,  fait de la préférence allogène une urgence sociale et la place au centre même de nos Institutions.

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    Source : synthesenationale