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  • c (EELV) : “La seule chose dont vous avez été capables, c’est de nous parler de natalité, mais de natalité de femmes blanches”.

    Publié par Guy de Laferrière le 18 février 2023

  • Quand Dominique Voynet, ministre EELV de l’Environnement (1997-2001), explique « fièrement » comment elle a sabordé le nucléaire français à Bruxelles…

    Publié par Guy de Laferrière le 08 décembre 2022

  • Ecoféminisme, mixité choisie, multiculturalisme… : une rentrée sous le signe de la lutte “intersectionnelle” pour EELV

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2021

    En cette fin de semaine, Europe Écologie-Les Verts réunit ses figures pour ouvrir une saison présidentielle ancrée dans le néoprogressisme. Comme l’année précédente, le parti s’associe à d’autres formations pour ses « journées d’été » (JDE) du 19 au 21 août, notamment Génération.s. Le lieu de la rencontre est stratégique, à Poitiers, ville remportée en 2020 par une coalition incluant EELV et conduite par Léonore Moncond’huy.

    Le programme publié sur le site du parti est sans équivoque. Ce jeudi est ainsi proposé un « boot camp écoféministe » consacré à « l’empouvoirement » des femmes. Il est précisé que l’activité se déroulera en « mixité choisie », solution que Slate présentait dans un article en mai comme la garantie d’une « liberté de parole dans un espace sécurisant » pour les « minorités concernées ». Plus tard, un atelier intitulé « Le temps des nouvelles stigmatisations » s’alarme de la facilité des procès en « islamogauchisme, séparatisme, racialisme, indigénisme, décolonialisme et autres féminismes anti-hommes ». Si la lutte contre les anathèmes est louable, on peut regretter qu’une seconde conférence organisée le soir même, « L’écologie politique face aux extrêmes droites », promette de livrer les « leviers de résistance […] face aux dynamiques démagos, nationalistes, antieuropéennes, racistes, islamophobes, antisémites » ou encore « virilistes »… […]

    Jeudi soir, une conférence intitulée « changement de discours sur l’immigration pour 2022 » explique que « l’histoire de l’immigration en France a révélé l’échec des politiques d’assimilation et de ghettoïsation ». C’est un point de rupture entre EELV et la gauche restée fidèle à une tradition universaliste : le divorce avec le modèle français pour épouser la logique anglo-américaine multiculturaliste.

    La plus symptomatique de ces conférences, organisée samedi, s’intitule « Déconstruire la colonisation patriarcale des imaginaires ».  […] Il s’agit du dépassement de la simple question sociale dans le marxisme pour mettre en exergue les rapports de domination qui peuvent toucher des minorités (« raciales », « de genre », etc.). Le programme des JDE invite d’ailleurs à former « ce que pourrait être un premier réseau d’élus LGBT + écolos ». […]

    Le Point via fdesouche

  • Europe Écologie Les Verts (EELV) : derniers dinosaures de l’écologisme radical ?

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2021

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    Alors que certains écologistes européens commencent à modifier leur approche du nucléaire ou des OGM, EELV semble s’arque-bouter sur des positions caricaturales et désastreuses pour l’avenir de la France. Extrait d’une tribune de Nathalie MP Meyer :

    « (…) nos élus Europe Écologie Les Verts sont en bonne voie de devenir les derniers dinosaures d’un écologisme ridicule et radical dont d’autres partis verts européens commencent à s’éloigner, notamment sur les questions fondamentales du nucléaire et des OGM.

    Tout ragaillardis d’avoir fait déferler l’apparence d’une vague verte historique sur les élections européennes de 2019 et municipales de 2020, nos écologistes français ont brillamment réussi à installer l’écologie nationale dans tout ce qu’elle a de plus bouffonnement dogmatique, à grand renfort de mesures d’affichage plus navrantes les unes que les autres sur la fin de « l’arbre mort » de Noël à Bordeaux ou l’instauration d’un « budget genré » à Lyon. Il va sans dire que derrière ces distrayantes galéjades municipales, les grandes luttes de l’écologisme radical qui donnent des raisons de vivre à José Bové, Nicolas Hulot et Barbara Pompili sont plus que jamais d’actualité.

    Pour nos écologistes de combat, c’est-à-dire pour tous ceux qui répètent en boucle et en substance : « le climat est en danger, les abeilles sont en danger, la fin du monde est proche et il faut d’urgence sauver ce qui peut encore l’être »rien n’est pire que le nucléaire, les OGM, le glyphosate et, naturellement le terrible CO2 qui détermine le non moins effroyable réchauffement qui va tous nous engloutir à brève échéance dans les eaux tumultueuses des océans ou la fournaise accablante de terres en désertification croissante.

    Petit problème de cohérence cependant, qui trahit la nature essentiellement idéologique de ce combat : il se trouve que l’électricité nucléaire est justement une énergie idéalement décarbonée et pilotable qui devrait intéresser quiconque aurait le projet sérieux de faire baisser la part des énergies fossiles dans le mix énergétique sans compromettre la sécurité de l’approvisionnement électrique des entreprises et des ménages. De plus, les catastrophes nucléaires sont rares, même si Greenpeace France persiste à citer faussement comme tel le tsunami de Fukushima, et le traitement des déchets est de mieux en mieux appréhendé, même si le même Greenpeace et EELV s’opposent furieusement à la technique de l’enfouissement des plus radioactifs d’entre eux en couche géologique profonde.

    Quant aux OGM, il se pourrait bien qu’ils soient tout indiqués dans une optique d’améliorations génétiques des plantes afin de leur permettre de résister à la chaleur et à la sécheresse annoncées, sans compter leurs multiples avantages pour le développement humain, par exemple le riz doré pour combattre les carences graves en vitamine A (…)

    Il apparaît aujourd’hui que le nucléaire comme les OGM sont jugés dignes d’être reconsidérés à l’aune des vrais objectifs poursuivis par deux partis écologistes européens de premier plan – l’allemand pour les OGM et le finlandais pour le nucléaire. Donc en juin 2020, plusieurs élus de premier plan du parti Vert allemand ont publié une tribune commentée par la Süddeutsche Zeitung demandant à leur parti de repenser son attitude trop bloquée vis-à-vis du génie génétique et aussi en ce qui concerne l’interprétation du principe de précaution. Faute de quoi, ont-ils écrit, « l’avenir sera discuté sans nous. » (…) Puis en novembre 2020, ce sont les Verts finlandais qui ont fait part de leur intérêt pour l’énergie nucléaire. L’idée serait de sortir du charbon à l’horizon 2030 en faisant passer le nucléaire de 30 % à 50 % de la production d’électricité.

    S’ils restent opposés aux installations les plus vastes telles que l’EPR en cours de construction par Areva, ils ont expliqué qu’ils « n’étaient pas catégoriquement contre la construction de petits réacteurs nucléaires comme moyen de lutter contre le changement climatique ». Plusieurs candidats verts aux élections municipales d’avril prochain encouragent même le remplacement du chauffage urbain au charbon ou au fuel par des mini-centrales nucléaires modulaires. Quant aux déchets hautement radioactifs, pas de problème, ils sont d’accord pour qu’ils soient enterrés en couche géologique profonde sur le site d’Onkalo (à proximité de l’EPR d’Areva) dont la construction devrait démarrer sous peu.

    Pendant ce temps, en France, l’influence des écologistes a abouti à la situation inverse :

    • Fermeture définitive des deux réacteurs de la centrale de Fessenheim, équipement financièrement amorti et en parfait état de marche, quitte à avoir dû rallumer cet automne nos quatre centrales à charbon pour compenser ce manque, ainsi que l’absence de vent ayant réduit nos éoliennes à l’inactivité.
    • Réduction du nucléaire de 75 % à 50 % de l’électricité à l’horizon 2035, soit 14 réacteurs au total, au profit du solaire et de l’éolien, énergies très intermittentes, non pilotables et pas si écologiques que ça.
    • Enlisement du projet Cigéo d’enfouissement des déchets nucléaires qui a tourné en outre à la catastrophe budgétaire étatique.
    • Et, comble de la démagogie, mise sur pied d’une Convention prétendument citoyenne sur le climat qui recrache bien gentiment tous les poncifs écolos les plus rétrogrades dans des effusions d’autoritarisme des plus inquiétantes.

    Le constat final est tristement évident : la France et ses Verts vont finir par prendre un retard considérable par rapport à des pays qui sont en train d’inscrire leur préoccupation écologique dans une perspective de développement compatible avec les évolutions scientifiques et technologiques les plus avancées. Ça promet.

     

    Source : lesalonbeige

  • Un ex-candidat EELV-LFI mis en examen pour tentative d’assassinat

    Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2021

    Un ex-candidat EELV-LFI mis en examen pour tentative d’assassinat

    Le mardi 12 janvier, un homme était blessé par balles à Saint-Priest, ville de la métropole lyonnaise. Mohammed Djeffalet son frère sont soupçonnés d’être les auteurs des tirs.

    En mars 2020, Mohammed Djeffal était candidat pour Saint-Priest sur la liste ACTES (Alliance Citoyenne pour la Transition Ecologique et Sociale), soutenue par la fédération Europe Ecologie-Les Verts du Rhône. Parallèlement, Mohammed Djeffal était également candidat aux élections métropolitaines lyonnaises, cette fois-ci sous les couleurs de La France insoumise.

    A quand la dissolution de LFI et d’EELV ?

     

    Source : lesalonbeige