Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lfi

  • Le député LFI Carlos Martens Bilongo visé par une enquête pour fraude fiscale, blanchiment d’argent et abus de biens sociaux

    Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023

    INFO BFMTV – Le député LFI du Val-d’Oise est soupçonné d’avoir dissimulé aux autorités une somme estimée à un peu moins de 200.000 euros. Il aurait notamment minoré la déclaration de chiffres d’affaires d’une de ses entreprises pendant plusieurs années.

    Le parquet de Pontoise (Val-d’Oise) a ouvert, mi-avril, une enquête préliminaire pour des faits de fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale, abus de biens sociaux et manquement aux obligations de déclaration auprès de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) susceptibles d’être reprochés au député LFI Carlos Martens Bilongo, selon les informations de BFMTV.

    Tout est parti d’un signalement de Tracfin, la cellule anti-blanchiment de Bercy. Celle-ci a repéré des flux bancaires qui semblent irréguliers et sans rapport avec ses déclarations auprès des impôts, d’une part, et de la HATVP, d’autre part. L’analyse de Tracfin porte sur la période allant de 2018 à 2022.

    Près de 200.000 euros dissimulés

    Les enquêteurs ont découvert plusieurs opérations suspectes. Alors qu’il a déclaré ne toucher aucune rémunération de la part de ses sociétés auprès de la HATVP, Carlos Martens Bilongo aurait pourtant, selon Tracfin, reçu divers virements sur ses comptes bancaires. Ainsi que des encaissements en espèces pour plusieurs dizaines de milliers d’euros.

    Au total, selon les premiers éléments de l’enquête, le député LFI aurait dissimulé aux autorités une somme estimée à un petit peu moins de 200.000 euros.

    Dans son signalement à la justice, Tracfin précise également que le député est titulaire d’un compte non-déclaré à l’étranger, visiblement dans un pays d’Europe de l’Est.

    BFMTV via fdesouche

  • Clémentine Torquemada et ses « ex » !

    Publié par Guy de Laferrière le 21 décembre 2022

    2945488721.jpeg

    La chronique de Philippe Randa

    Il y a tout de même des moments où l’on peut à l’évidence se prendre de compassion pour des gens dont on ne partage guère de valeurs ; voire même que l’on peut avoir combattu – politiquement s’entend – et toujours combattre… La passion politique, comme la valeur des âmes bien nées, ne craignant point le nombre des années pour cent fois sur la place publique combattre hier le dinosaure communiste, aujourd’hui ses héritiers.

    Ainsi de Clémentine Autain, toute chamboulée à propos de la nouvelle direction de son parti La France Insoumise : « Nous avons un problème de démocratie dans la vie du mouvement », se plaint-elle.

    Qui l’eût cru ? Pas de chance pour cette députée de Seine-Saint-Denis et ses plus tout à fait « amis », tous néanmoins autoproclamés propriétaires de la démocratie et bien peu enclins à en partager ne serait-ce que des miettes avec quiconque… même et surtout s’ils sont membres de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES), certes utile électoralement, mais bien encombrante le reste du temps.

    Les contrariétés politiques sont comme les emmerdements, comme le disait l’ancien président Jacques Chirac, fin connaisseur de la question : elles volent en escadrille !

    En effet, la nomination de son « ex » (ex-kamarad, cela va de soi ; on ose imaginer, même par taquineries, plus si affinités) Manuel Bompard à la direction de LFI n’est pas la seule contrariété de cette blonde descendante du sémillant Torquemada…

    C’est le retour annoncé au sein du groupe LFI à l’Assemblée nationale d’un autre « ex » (ex-kamarad encore une fois, précisons-le) Adrien Quattenens qui la chagrine… Rappelons qu’il fut en quelque sorte « mis au coin » – soit prié d’aller se faire oublier quelque temps loin de l’hémicycle parlementaire – pour avoir eu la main un peu trop lourde sur la joue de son « ex »… épouse (quant à elle, plus du tout kamarad de son mari) !

    Ce rouquin mâle n’aurait pas su, d’après Clémentine Autain, faire suffisamment « profil bas », allant même jusqu’à accuser sa future ex-moitié de développer un « sentiment de pleine puissance et de plein pouvoir, qu’elle serait incohérente » (une femme incohérente ? Allons bon !), qu’elle en aurait été menaçante… et qu’elle agirait pour de l’argent !

    Pauvre Clémentine, obligée de le recadrer pour cette « communication (qui) sonne comme une provocation. Il a récusé méthodiquement tous les principes féministes. Il n’a tenu aucun compte du point d’équilibre trouvé démocratiquement au sein de notre groupe et des mots que nous avons posés. »

    On conçoit le désarroi de cette moderne gorgone passée es-dominante maîtresse dans la dénonciation tous azimuts du machisme, du patriarcat et de la mâle domination qu’elle sait comme à nulle autre pareille déceler dans la simple intonation d’une déclaration…

    Et pauvres Insoumis – d’une France bien éloignée de celle mère des arts, des armes et des lois, comme la louait jadis Joachim Du Bellay – qui se déchirent les uns les autres, sans doute victimes d’un Jupiter facétieux qui n’a pas grand mal à rendre zinzins ceux qui n’en finissent décidément pas de distraire la galerie politique souvent pour le pire… et parfois le rire !

     

    Source : synthesenationale

  • "Affaire Quattenens" et autres : on ne sait vraiment plus où on en est à LFI, où l'on navigue à vue entre "le feu au lac" et l'éruption du piton de la Fournaise... :

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2022

    lafautearousseau

     

    "Affaire Quattenens" et autres : on ne sait vraiment plus où on en est à LFI, où l'on navigue à vue entre "le feu au lac" et l'éruption du piton de la Fournaise... :

    • On a d'abord eu droit - sur BFM - à une Obono "agitée" (comme disait Giscard de Chirac), à la limite de l'hystérie, agressive et très, très vulgaire - la vulgarité étant la marque de fabrique de LFI... - refusant d'expliquer ce qu'elle avait voulu dire par "mangez vos morts". Il a fallu que les deux journalistes - Truchot et Marschall - fassent leur boulot sur ce coup, et lisent, en direct, ce qu'ils trouvaient sur Google puisque la vulgarité incarnée qu'est Obono (mais elle n'est pas la seule, à LFI) refusait d'assumer son langage et sa pensée également orduriers ! On laissera cette excitée ordurière à son triste état d'hystérique, prise la main dans le sac : ni son langage ni sa "pensée" (?) ne méritent qu'on passe plus de temps à s'occuper de ses éructations...

    1A.jpg

     

    • Puis il y a eu "l'erreur 404" en direct de Mathilde Panot - présidente du groupe LFI, tout de même... - sur le cas Adrien Quatennens (que vous pouvez écouter ci-dessous) : un "loupé" qui venait juste après le scandaleux "dire à un français d'origine italienne "sale macaroni" n'est pas une injure raciste", de l'inénarrable Manon Aubry :

    (extrait vidéo 1'29)

    https://twitter.com/Samuel_Lafont/status/1577044959295049729?s=20&t=Xsb6_GhSD0JpVxvySd04TA

    Oui, décidémment, on devient fou, à LFI !... Ou, plus précisément, on l'était déjà, mais on réalise le conseil de Pindare, repris par Nietzsche (entre autres...) : deviens ce que tu es !

    1 animé 6.gif

  • La députée LFI Danièle Obono aux personnes qui « instrumentalisent la lutte des femmes en Iran contre l’oppression pour insulter et disqualifier la lutte des femmes en France » : « Mangez vos morts »

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2022

    • « Mange tes morts » est une insulte utilisée dans les langues manouche, yéniche et gitane (Wikipedia)
  • LFI et le féminisme

    Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2022

    Adrien Quatennens, député LFI, vit, paraît-il, un divorce difficile et, dans ce contexte, a reconnu avoir giflé violemment sa femme.

    La chose est évidemment navrante à bien des points de vue, mais elle est surtout politiquement très significative – et la vie privée de M. Quatennens ne me regardant pas, j’en resterai à cet aspect politique.

    La première chose qui frappe l’observateur, c’est que l’extrême gauche est décidément familière de ce genre de problèmes, du harcèlement sexuel chez les Verts à la violence conjugale chez LFI.

    Cela peut s’interpréter d’au moins deux manières. Soit les meneurs d’extrême gauche, cohérents avec leurs principes, mènent une vie personnelle débridée : ces harcèlements et ces violences seraient alors une conséquence logique de cette morale, disons relâchée.

    Cette hypothèse est loin d’être absurde. On constate d’ailleurs le même genre de « problèmes » dans le monde de la pornographie qui a, lui aussi, une relation assez problématique avec la morale traditionnelle.

    L’autre interprétation est que les partis étant des paniers de crabes, et l’extrême gauche se gargarisant de son féminisme, l’une des solutions les plus simples pour faire tomber son « camarade » est de porter ce genre d’accusations.

    Les deux interprétations ne sont d’ailleurs pas incompatibles.

    On a entendu assez rapidement l’inénarrable Sandrine Rousseau exiger d’Adrien Quatennens, qui a démissionné du poste de coordinateur pour LFI, de « se mettre en retrait de toute parole publique » (oh, ce savoureux jargon !).

    Mais ce qui m’intrigue surtout, sur le plan politique, c’est la logique qui prévaut actuellement à l’extrême gauche.

    Si je comprends bien, LFI, comme le reste de la Nupes, est à la fois un parangon de féminisme (LFI comprend même une commission chargée de lutter contre les « violences sexistes et sexuelles » et chacun sait qu’une commission est, en politique, un gage d’action efficace !) et soutien actif de l’islamisme.

    Mais j’avoue que je ne vois pas bien comment rendre ces deux axes compatibles.

    Oh, certes, j’ai lu, comme tout le monde, les apologies du voile comme signe de l’émancipation des femmes – sans être tout à fait convaincu, je dois le confesser !

    Mais je serais curieux que l’on m’explique comment on peut sanctionner M. Quatennens pour sa gifle et considérer que les délicates paroles du Coran sur la façon de « corriger » sa femme sont le signe du « vivre-enensemble » dans la « diversité ».

    Le salafisme avenir du féminisme, ça, c’est un bon slogan !