Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

sandrine rousseau

  • Quand Sandrine Rousseau vole au secours des encagoulés-barre-de-ferisés !

    Publié par Guy de Laferrière le 28 septembre 2023

    synthesenationale

    1497978801.jpg

    Le coup d’œil de Philippe Randa

    Samedi 23 septembre à Paris, une voiture de policiers appelés pour une intervention totalement étrangère à une manifestation contre « les violences policières », est caillassée et attaquée par des énergumènes encagoulés et armés de barres de fer ; pour se dégager, un policier sort du véhicule en brandissant son arme : le tact dans l’agression étant d’estimer jusqu’où la « bravitude » devient dangereuse, les fiers guerriers de l’ultragauche (comme on dit désormais) font illico presto un sage rétropédalage. La voiture des forces de l’ordre peut donc poursuivre son chemin sans que le moindre coup de feu ait été tiré… pas même en l’air !

    Tout est donc bien qui finit bien pour cette agression, sauf peut-être pour certains manifestants qui auraient pu préférer que le sang coule afin d’en tirer des bénéfices médiatiques.

    Faute de sang médiatique, reste néanmoins l’exploitation politique : Sandrine Rousseau, députée écologiste de la capitale, a immédiatement, via un tweet indigné, volé au secours des encagoulés-barre-de-ferisés !

    Les malheureux ayant été, très probablement, comme on l’imagine, traumatisés d’avoir été braqué par un policier – inadmissible intimidation policière, s’il en est – elle dénonce aussitôt : « Un geste inadmissible ! »

    Entraver la mobilité de forces de police en caillassant leur véhicule, puis en le frappant n’étant certes aucunement une « attitude inadmissible », elle ! Qui plus avec des barres de fer qui, rappelons-le, sont, selon la législation des « armes par destination, c’est-à-dire un objet dont la fonction initiale est détournée afin de blesser ou tuer »…

    Toute considération sans objet pour la passionaria écologiste qui n’aura donc pas jugé utile de manifester, ne serait-ce que pour la forme, sa désapprobation, son indignation, sa condamnation et réclamé avec force trémolo dans la voix la damnation (au moins morale)… des agresseurs des forces de l’ordre ! Bien au contraire !

    Certes, la dame es-dingueries est coutumière des déclarations outrancières, inappropriées, scandaleuses ou simplement farfelues, au choix… et Satan sait que la palette de ses imprécations politiques est copieusement fournie.

    Est-il nécessaire de répéter qu’elle n’aura sans doute été motivée, une fois de plus, que par l’obsession de faire parler d’elle ? Encore et toujours. Pour tout et n’importe quoi pourvu que « ça buzz », toujours plus haut, toujours plus fort !

    Et toujours plus odieux, hélas !

  • Pseudo-réchauffement climatique : Sandrine Rousseau invente l’effet entrecôte !

    Publié par Guy de Laferrière le 27 juillet 2023

    27 Juillet 2023, 11:02am | Publié par Thomas Joly

    On connaissait l'effet papillon, avec ce battement d'ailes qui, par ricochet, peut provoquer un cyclone à l'autre bout du monde. Voici venir l'effet entrecôte, ou bifteck, bref, l'effet viande, à la fois plus proche de sa conséquence supposée, et plus déconnectée, à tout le moins. En effet, Sandrine Rousseau, infatigable pourfendeuse de la viande en général et du barbecue viriliste en particulier, a sa petite idée sur la cause des chaleurs intenses et des incendies qu'elles provoquent partout dans le monde. Et, comme il est juste que le monde n'en perde pas une miette, c'est sur Twitter que la pythie du réchauffement par le gril a rendu son implacable oracle : « La consommation de viande est une des causes de ce qui se passe en Algérie, Espagne, Grèce, Chine, Arizona et partout. Se prendre en photo, tout sourire, avec un morceau de viande, aujourd’hui, c’est cracher à la figure de celles et ceux qui fuient, brûlent, meurent de chaleur. » De celles et ceux qui aurions la gorge qui grattions et les yeux qui brûlions, pourrait-on ajouter avec un peu de malice, en hommage à sa syntaxe si particulière entendue lors de l'affaire de Sainte-Soline.

    On peut essayer de trouver des explications rationnelles à une telle sortie, bien que la députée de Paris elle-même ne goûte pas les explications logiques plus que de raison et préfère, de son propre aveu, « les femmes qui font de la sorcellerie aux hommes qui fabriquent des EPR ». Certes, la production de viande coûte cher, consomme de l'énergie et de l'eau, a un impact sur certaines ressources... d'accord. Est-ce pour autant un comportement qui accélère le réchauffement climatique ? Peut-être. Faudrait-il manger autre chose pour obtenir des protéines ? Des œufs, des insectes ?

    En réalité, ce n'est pas parce que l'on arrêtera de manger de la viande que les incendies s'éteindront. Ce n'est pas à cause des carnivores qu'il y a une vague de chaleur. Si l'activité humaine est responsable du réchauffement climatique, c'est plutôt du côté de l'industrie qu'il faut chercher - peut-être. Ce genre de raccourci est typiquement ce qui discrédite les écologistes et les confine du côté de la gauche la plus bornée, alors que la majorité des électeurs conviennent du fait qu'il s'agit d'un vrai sujet, complètement transverse du point de vue politique.

    Sandrine Rousseau ne s'arrêtera jamais. Elle détient un joker : la contredire, c'est essayer de la faire taire parce qu'elle est une femme (et certainement pas, évidemment, parce qu'elle pourrait raconter n'importe quoi...). La semaine dernière, elle a prouvé, en estimant la température en Espagne à soixante degrés (sans savoir que c'était au sol), qu'elle ne savait pas lire un thermomètre. Elle vient désormais de montrer, pour la énième fois, qu'elle était incapable d'autre chose que d'une hargne coercitive à l'égard des gens qui ne vivent pas comme elle. Pas un mot sur l'impossible recyclage d'éoliennes qui ne servent à rien, par exemple : ce serait de trop bonne foi. Il faut que l'écologie rousseauiste passe. Comme disait son homonyme Jean-Jacques, dans le Discours sur les origines de l'inégalité parmi les hommes : « Écartons d'abord les faits, car ils ne touchent point à la question. » La gauche ne changera pas.

    Arnaud Florac

    Source : http://bvoltaire.fr

  • c (EELV) : “La seule chose dont vous avez été capables, c’est de nous parler de natalité, mais de natalité de femmes blanches”.

    Publié par Guy de Laferrière le 18 février 2023

  • Hilarité en commission Retraites à l’Assemblée nationale quand Sandrine Rousseau s’inquiète du sort de Kilian M’bappé après 50 ans… (VIDÉO)

    Publié par Guy de Laferrière le 10 février 2023

    Posté par Eric Martin 

    Hilarité en commission Retraites à l’Assemblée nationale quand Sandrine Rousseau s’inquiète du sort de Kilian M’bappé après 50 ans… (VIDÉO)

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1620389071574151174

     

     

  • Sandrine Rousseau sur l’aspect écologique du droit à la paresse : “plus on travaille, plus on émet du carbone”

    Publié par Guy de Laferrière le 17 janvier 2023

     
    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1615256872113545216