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immigration zéro

  • La vraie loi contre le séparatisme serait la loi "Immigration zéro".

    Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2020

    L’image contient peut-être : 1 personne, debout et costume

     
    Présenté en Conseil des ministres ce mercredi 9 décembre, journée nationale de célébration de la laïcité, le projet de loi "confortant les principes républicains", anciennement intitulé fort piteusement "loi sur le séparatisme" pour ne pas stigmatiser l'islam — ce qui semblait encore trop agressif et devait donc être rebaptisé — est la énième tentative de régulation d'un culte venu d'ailleurs dont l'application relève tout autant de la politique que de la religion.
    Comme toutes celles qui les ont précédées, les mesures contenues dans ce projet resteront bien sûr lettres mortes pour ce qui concerne leur supposé objet premier: la volonté de lutter pcontre les formes les plus radicales de la présence musulmane en France, telle que plus ou moins affichée par le gouvernement sous la pression émotive de l'opinion publique au lendemain de tueries djihadistes. Elle aura, en revanche trois effets pervers: l'institutionnalisation de l'islam sur notre territoire au sein de la République, sa banalisation, et un effet ricochet sur l'ensemble des Français.
    Institutionnalisation puisque le but recherché depuis trente ans par tous les ministres de l'Intérieur — Joxe, Chevènement, Sarkozy et tous les autres — reste le même : créer les conditions de l'organisation d'un fumeux "islam des lumières" sans voir qu'il ne pourrait être autre chose que le paravent légal de l'islam des ténèbres.
    Banalisation des règles, principes et coutumes inhérentes à une communauté dont les pratiques et les habitudes impactent déjà fortement le mode de vie des Français, banalisation opérée selon la technique du "prestidigitateur chinois" qui consiste à substituer un objet à un autre en habitant petit a petit l'oeil à sa disparition.
    Effet ricochet enfin par l'application de plusieurs dispositions de la loi à l'ensemble des Français dans une méthode de généralisation punitive. Ainsi l'article 18 rendra quasiment impossible l'enseignement "à la maison" et l'article 20 permettra une lutte accrue contre les "contenus haineux sur internet" dont on devine l'usage qui en sera fait contre les libertés d'expression françaises.
    Étant de ceux qui portent un regard dubitatif sur les vertus de la laïcité, nous respectons le droit de chacun à sa foi et ne doutons pas de l'existence d'une spiritualité musulmane telle qu'incarnée par exemple dans le soufisme.
    Une spiritualité qui selon nous à vocation à s'exercer seulement sur les terres où elle est née.
    Contre le séparatisme, il existe donc bien des lois à promulguer. Elles sont au nombre de deux: loi "immigration zéro"; loi "remigration générale".
    Jean-François Touzé.
     
  • Pas de sauvetage des hôpitaux sans immigration zéro

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2019

    Alors que l'hôpital public, dans son fonctionnement global — ce qui impacte le moral du personnel, la qualité des soins et la sécurité sanitaire, parfois même la sécurité tout court — est au bord de la rupture, le Premier ministre, Édouard Philippe, vient d'annoncer un certain nombre de mesures qui, toutes cumulées, relèvent du simple rafistolage.

    La reprise par l'Etat du tiers de la dette des hôpitaux (plus de 30 milliards) n'est qu'un artifice comptable puisque, au bout du compte c'est toujours le contribuable qui paye, que ce soit par ses cotisations sociales ou par l'impôt.

    Le coup de pouce budgétaire de 1,5 milliards sur trois ans est dérisoire comparé au milliard annuel du coût de l'Aide médicale d'Etat (AME) accordée aux étrangers clandestins dont la supression constitue une exigence économique, morale et nationale.

    La prime de 800 euros par an est une insulte pour les personnels soignants dont la qualité et le dévouement vont bien au delà de ce que propose la mesquinerie comptable du gouvernement.

    Les promesses, enfin, du ministère de la Santé de créations de lits ne connaissent quant à elles, pas le moindre début de commencement de concrétisation.

    L'hôpital public, asphyxié depuis vingt ans, par les réductions budgétaires, les fermetures de services, le malthusianisme des embauches et les conséquences de l'application des 35 heures, est en voie de tiers-mondisation.

    Tiers-mondisation de ses infrastructures, mais tiers-mondisation aussi par la nature même des patients qui y affluent. Tant que la question des flux migratoires ne sera pas traitée et résolue dans le sens national, aucune mesure en faveur des hôpitaux français et de ses services d'urgences ne sera viable.

    On l'aura compris: pour nous, un plan d'urgence pour l'hôpital ne peut être qu'englobé dans un plan d'urgence pour la France.
    JFT.