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séparatisme

  • Erdogan demande aux autorités françaises le retrait du projet de loi “séparatisme” : «Il est évident qu’un tel projet de loi provoquera des troubles au sein de la communauté turque et des millions de musulmans»

    Publié par Guy Jovelin le 13 mai 2021

    Le président turc s’attaque une nouvelle fois à la politique française. Recep Tayyip Erdogan a qualifié mercredi soir le projet de loi contre le « séparatisme » en France de « coup de guillotine infligé à la démocratie française ». Ces déclarations viennent alors que députés et sénateurs réunis mercredi en commission mixte ne sont pas parvenus à se mettre d’accord sur le texte.

    L’adoption de cette loi « est ouvertement en contradiction avec les droits de l’homme, la liberté de religion et les valeurs européennes », a affirmé le chef de l’Etat turc lors d’un discours à Ankara. Estimant que la version actuelle du texte « servirait l’extrémisme », Recep Tayyip Erdogan lui a aussi reproché de « mettre les ONG sous pression » et de « forcer les jeunes à choisir entre leurs croyances et leur éducation ».

     « Il est évident qu’un tel projet de loi provoquera des troubles au sein de la communauté turque et des millions de musulmans. (…) Nous appelons les autorités françaises, en premier lieu le président Macron​, à agir avec bon sens. Nous attendons un retrait au plus vite de ce projet de loi », a-t-il annoncé. Le président turc a aussi déclaré que la Turquie était prête à « travailler avec la France » dans les domaines de la lutte antiterroriste et de « l’intégration ».  […]

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    “L’Europe, où vivent aujourd’hui 35 millions de musulmans, dont 6 millions de Turcs, se transforme de plus en plus en un prison à ciel ouvert pour nos frères et sœurs”, a martelé le chef de l’Etat turc, Erdogan

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  • La vraie loi contre le séparatisme serait la loi "Immigration zéro".

    Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2020

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    Présenté en Conseil des ministres ce mercredi 9 décembre, journée nationale de célébration de la laïcité, le projet de loi "confortant les principes républicains", anciennement intitulé fort piteusement "loi sur le séparatisme" pour ne pas stigmatiser l'islam — ce qui semblait encore trop agressif et devait donc être rebaptisé — est la énième tentative de régulation d'un culte venu d'ailleurs dont l'application relève tout autant de la politique que de la religion.
    Comme toutes celles qui les ont précédées, les mesures contenues dans ce projet resteront bien sûr lettres mortes pour ce qui concerne leur supposé objet premier: la volonté de lutter pcontre les formes les plus radicales de la présence musulmane en France, telle que plus ou moins affichée par le gouvernement sous la pression émotive de l'opinion publique au lendemain de tueries djihadistes. Elle aura, en revanche trois effets pervers: l'institutionnalisation de l'islam sur notre territoire au sein de la République, sa banalisation, et un effet ricochet sur l'ensemble des Français.
    Institutionnalisation puisque le but recherché depuis trente ans par tous les ministres de l'Intérieur — Joxe, Chevènement, Sarkozy et tous les autres — reste le même : créer les conditions de l'organisation d'un fumeux "islam des lumières" sans voir qu'il ne pourrait être autre chose que le paravent légal de l'islam des ténèbres.
    Banalisation des règles, principes et coutumes inhérentes à une communauté dont les pratiques et les habitudes impactent déjà fortement le mode de vie des Français, banalisation opérée selon la technique du "prestidigitateur chinois" qui consiste à substituer un objet à un autre en habitant petit a petit l'oeil à sa disparition.
    Effet ricochet enfin par l'application de plusieurs dispositions de la loi à l'ensemble des Français dans une méthode de généralisation punitive. Ainsi l'article 18 rendra quasiment impossible l'enseignement "à la maison" et l'article 20 permettra une lutte accrue contre les "contenus haineux sur internet" dont on devine l'usage qui en sera fait contre les libertés d'expression françaises.
    Étant de ceux qui portent un regard dubitatif sur les vertus de la laïcité, nous respectons le droit de chacun à sa foi et ne doutons pas de l'existence d'une spiritualité musulmane telle qu'incarnée par exemple dans le soufisme.
    Une spiritualité qui selon nous à vocation à s'exercer seulement sur les terres où elle est née.
    Contre le séparatisme, il existe donc bien des lois à promulguer. Elles sont au nombre de deux: loi "immigration zéro"; loi "remigration générale".
    Jean-François Touzé.
     
  • LUTTE CONTRE LE SÉPARATISME OU CONTRE NOS LIBERTÉS?

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2020

    POSTÉ LE OCTOBRE 06, 2020, 11:01
     
    Les 4 Vérités Hebdo - La publication anti bourrage de crâne

    Le 2 octobre, M.Macron a prononcé aux Mureaux (quartier emblématique du merveilleux «vivre-ensemble» chanté sur tous les tons par nos chers dirigeants) un important discours sur le «séparatisme».

    J’ai déjà dit que le mot «séparatisme» me semblait particulièrement inadéquat pour définir le problème que l’islam pose à la France: l’objectif ultime des islamistes n’est pas de régner sur des quartiers où la loi française ne s’appliquerait plus (c’est déjà le cas dans plusieurs centaines de quartiers «sensibles»), mais de soumettre tout le territoire français à la charia.

    Cela fait maintenant plusieurs décennies que la France a un problème islamique, mais les dirigeants font mine de ne pas comprendre.

    Ainsi, dès le début de son discours, le chef de l’État dénonce le projet politico-religieux du «séparatisme islamique», sans sembler s’apercevoir que c’est le Coran lui-même qui porte un projet politico-religieux.

    On notera avec amusement l’évolution du discours. Voici quelques années, nous étions de dangereux complotistes quand nous dénoncions les horaires de piscine réservés aux femmes. Eh bien, désormais, Emmanuel Macron nous emboîte le pas.

    Encore quelques années, et il va peut-être «découvrir» que le projet islamiste a quelque chose à voir avec l’islam!

    L’aveuglement volontaire de ces prétendues élites devrait radicalement les disqualifier pour conduire la nation. Mais, manifestement, la mémoire courte des Français permet toutes les manipulations. Jusqu’à tenter de faire du successeur de François Hollande un chef d’État capable de lutter sans faiblesse contre « l’islam politique » (comme s’il en existait un autre).

    Mais, en dehors de ce spectacle absurde et familier, où les responsables de l’ouverture des frontières et du désarmement de la France osent jouer aux hommes d’État, ce discours est inquiétant.

    Car, en ne ciblant pas nommément les incompatibilités entre certains points de l’islam et certaines de nos mœurs et de nos lois, M. Macron envisage d’un cœur serein de mettre toute la société française en prison.

    Je ne prendrai dans son discours que deux exemples de ces mesures liberticides, évidemment inefficaces contre l’islamisme, mais ravageuses contre les libertés des vieux Français.

    Il est annoncé que la loi interdira désormais l’instruction à la maison, pour que l’école redevienne «un creuset républicain». Pour ma part, je ne crois pas du tout que l’école doive être une officine de propagande robespierriste ou mélanchoniste. Et je crois que les parents doivent être les premiers éducateurs de leurs enfants. C’est ce que dit le droit naturel. C’est aussi ce que dit la déclaration universelle des droits de l’homme. Très consciemment, je scolarise mes enfants hors du « creuset républicain » où l’on n’apprend plus à lire, écrire, ni compter, mais où, dès la maternelle, on chante les merveilles de cette «diversité» qui fracasse notre patrie.

    Deuxième exemple: l’État réclame désormais le droit de dissoudre les associations pour des motifs indéfinis.

    Faute de savoir résister à la conquête islamique, M. Macron restera – comme ses prédécesseurs – dans l’histoire comme un fossoyeur des droits naturels des êtres humains et des libertés des Français.

     

    Source : les4verites

     

  • Séparatisme : “Ce qui est visé, c’est l’islam”, Mélenchon ne veut pas ranimer “trois siècles de guerre de religion” en France

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2020

    20/09/2020 à 16h03

    Interrogé ce dimanche sur BFM Politique au sujet de la loi contre les séparatismes, qui devrait être présentée d’ici la fin de l’année, le chef de file de La France Insoumise Jean-Luc Mélenchon demande au gouvernement de ne pas toucher à la loi de 1905, sur la séparation des églises et de l’État, mais également d’arrêter de pointer du doigt l’Islam.

    Pour le député des Bouches-du-Rhône, avec cette loi, “ce qui est visé, c’est l’islam, ce n’est pas autre chose“. Une affirmation que le gouvernement avait déjà démentie: le séparatisme, “ce n’est pas que l’islam radical, mais c’est aussi et principalement l’islam radical parce que c’est la principale menace à l’heure actuelle en France“, a déclaré vendredi dernier la ministre déléguée à l’Intérieur Marlène Schiappa.

    “Je veux bien admettre que dans l’esprit [d’Emmanuel Macron, NDLR] c’est l’islam intégriste ou politique. Dans ce cas je suis d’accord pour dire que, que ce soit l’islam, le catholicisme ou le judaisme, la religion n’a rien à faire dans la politique“, estime-t-il sur notre plateau. Rappelant les principes de la loi de 1905, il ajoute également que “la politique n’a rien à faire dans les religions. Ce n’est pas au gouvernement de dire aux gens comment ils doivent prier (…) ni comment, ni pourquoi“. […]

    Le risque avec ce nouveau texte, qui n’aura pas réellement d’impact selon Jean-Luc Mélenchon, c’est avant tout de mettre le doigt dans un engrenage qui va créer “une ambiance épouvantable” dans la société française. […]

    news.yahoo via fdesouche