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libération anticipée

  • Anne-Lise, 17 ans, violée par un homme « d’origine africaine » qui a bénéficié d’une libération anticipée en raison du Covid, les parents attaquent l’État en justice (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2021

    13/04/2021

    Les parents d’une jeune fille de 17 ans, violée le 24 octobre 2020, vont attaquer l’État pour «faute lourde». Selon l’avocat des parents, Me Fabien Rajon, l’agresseur de cette jeune fille aurait en effet été libéré prématurément de prison, le 5 mai 2020, pour un motif lié à la crise sanitaire.

    (…) «L’intéressé, libérable le 20 novembre 2021, se trouvait dans les conditions légales d’attribution d’une libération conditionnelle depuis le 6 janvier 2020», précise le parquet de Lyon.

    (…) L’agression de la jeune fille a eu lieu le 24 octobre 2020, à La Tour-du-Pin, dans l’Isère. Ce jour-là, Anne-Lise* est invitée par un ami : elle se retrouve alors dans un appartement avec plusieurs personnes, dont son futur agresseur, qu’elle ne connaît pas. L’homme, d’origine africaine, se montre rapidement menaçant. «Cet individu, particulièrement impressionnant de par son physique, va la contraindre à rester dans appartement, va la mettre sous emprise. Il va par ailleurs la droguer, l’inciter à boire et, ensuite, il va la violer», a détaillé Me Fabien Rajon. Dans la foulée, la jeune fille porte plainte à la gendarmerie en compagnie de ses parents. Selon eux, un gendarme leur apprend alors que l’individu en question a bénéficié d’une «libération anticipée Covid-19».

    (…) Le casier judiciaire de l’agresseur porte trace de six autres condamnations

    (…) La libération anticipée de l’individu scandalise les parents de la victime. «Comment peut-on remettre en liberté un individu avec un parcours aussi violent ? Combien sont-ils à avoir commis des faits similaires en libération Covid-19 ?», s’est indigné le père de la jeune fille lors la conférence de presse. «Nous sommes meurtris, profondément marqués, fatigués et en colère. Nous ne pouvons passer sous silence ce crime», a-t-il poursuivi. «La justice a relâché un individu dangereux et notre fille en a subi les conséquences. La justice n’a pas accompli son devoir. Cette affaire est un véritable scandale», a quant à elle déclaré la mère de la victime.

    Lire l’intégralité de l’article sur LeFigaro.fr



    Une jeune fille de 17 ans a été violée le 24 octobre 2020 par un homme qui avait bénéficié d’une libération anticipée « Covid », alors qu’il purgeait 4 ans de prison pour violences, séquestration et agression sexuelle. Avec leur avocat Me Fabien Rajon, ses parents ont décidé d’attaquer l’État.

    À la prison de Lyon-Corbas, où est incarcéré le suspect qui purge une condamnation pour des faits d’agressions sexuelles, le taux d’occupation est de 130%. Il faut qu’il soit réduit «afin de limiter les conséquences d’une éventuelle propagation du virus au sein de l’établissement pénitentiaire».

    […]

    Depuis le viol de cette jeune fille en octobre dernier, l’homme est placé en détention provisoire et mis en examen pour «viol sur mineur de plus de quinze ans» et «menaces de mort avec ordre de remplir une condition.»

    CNews


    12/04/2021

    Anne-Lise*, 17 ans, a été violée le 24 octobre 2020 par un homme qui avait bénéficié d’une libération anticipée « Covid », alors qu’il purgeait 4 ans de prison pour violences, séquestration et agression sexuelle. Avec leur avocat Me Fabien Rajon, ses parents ont décidé d’attaquer l’État. […]

    Le Dauphiné

  • Un autre effet du Coronavirus

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2020

    Un autre effet du Coronavirus

    On se souvient qu’à l’occasion du confinement, le ministre de l’injustice Nicole Belloubet avait décidé de faire libérer un certain nombre de détenus. Les conséquences ne se sont pas faites attendre très longtemps.

    Le premier détenu à avoir bénéficié d’une libération anticipée grâce au Coronavirus vient d’être condamné pour un coup de couteau. Alors qu’il a une douzaine de mentions à son casier judiciaire, il était à nouveau devant la justice mardi 23 juin, en comparution immédiate, pour des violences aggravées par arme, un couteau, et en état d’ivresse manifeste. Le tout en état de récidive.

    C’est aussi le ministre qui devrait faire l’objet de poursuites judiciaires.

    FDesouche dresse une liste non exhaustive de ceslibérés « grâce au Covid » qui sont retournés en prison :

    Les députés ont voté, dans la nuit du lundi 22 au mardi 23 juin, la proposition de loi « instaurant des mesures de sûreté à l’encontre des auteurs d’infractions terroristes à l’issue de leur peine ». Selon les chiffres dévoilés lundi par le ministre de la justice, 31 détenus condamnés pour des infractions terroristes sortiront de prison en 2020 après avoir purgé l’intégralité de leur peine, 62 autres en 2021 et 50 en 2022.

    La disposition la plus débattue concernait la possibilité de placer sous une surveillance électronique mobile ces personnes. Le ministre était contre, mais les députés ont voté pour. Nicole Belloubet a estimé que cette mesure est disproportionnée :

    « Il faut veiller à ce que les mesures que nous élaborons ne les enferment pas davantage encore dans leur misanthropie ».« Assurer un suivi électronique permanent d’une personne constitue une mesure particulièrement restrictive de liberté, disproportionnée pour une personne qui a déjà purgé sa peine ».

    Rappelant que l’auteur de l’attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray était sous bracelet électronique, le ministre a affirmé que « c’est un leurre que de le considérer comme une solution de prévention idéale ». Certes. Autant les laisser en prison.

     

    Source : lesalonbeige  le 

  • Le premier détenu à avoir bénéficié d’une libération anticipée grâce au Coronavirus vient d’être condamné pour un coup de couteau

    Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2020

    Par  le 24/06/2020

    Gap : deux ans de prison ferme pour un coup de couteau

    […]

    37 ans, Angelo Golfieri est bien connu de la justice. Il est d’ailleurs le premier détenu à avoir bénéficié d’une libération anticipée pour raisons sanitaires. C’était en mars.

    Alors qu’il a une douzaine de mentions à son casier judiciaire, il est à nouveau dans le box mardi 23 juin, en comparution immédiate, pour des violences aggravées par arme, un couteau, et en état d’ivresse manifeste. Le tout en récidive et malgré l’interdiction de porter une arme.

    […]

    La Dauphiné via fdesouche