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  • Covid : un prétexte pour nous museler

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2020

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    Covid : un prétexte pour nous museler

    Le premier ministre a déploré la dégradation de la situation sanitaire et dévoilé des mesures, dont la prolongation jusqu’au 30 octobre de l’interdiction des évènements de plus de 5 000 personnes. Exit les manifestations de rentrée. Jean Castex a aussi donné l’instruction aux préfets « de se rapprocher des élus locaux pour étendre le plus possible l’obligation du port du masque dans les espaces publics ».

    Alors même que 10.000 à 15.000 personnes se sont rassemblées, samedi 8 août, pou rune rave party sauvage en Lozère. Il en restait, lundi, plus de 5.000. Des milliers de fêtards avaient envahi, en toute illégalité et faisant fi de l’interdiction des rassemblements de plus de 5.000 personnes, en plein parc national des Cévennes, un terrain agricole privé. Que font les autorités ? Elles encadrent, elles soignent, elles distribuent, elles laissent faire.

    Voici la courbe des décès du coronavirus en Suède. Il n’y a eu ni confinement ni masques. Seulement une épidémie plus sévère que la grippe habituelle.

    Cela permet au gouvernement d’éviter de traiter les vrais sujets, à commencer par l’ensauvagement de la France. Il va falloir que les Français se défendent seuls contre les hordes de racailles qui imposent leur loi. Y compris  désormais dans les coins les plus calmes, comme cette mère et son fils agressés chez eux, à Chateaubriant, par une horde de turco-voyous. Comme l’écrivait Renaud Camus :

    On nous dit qu’il n’y a pas colonisation car il n’y a pas conquête militaire, pas de soldats défilant dans nos rues. On se trompe. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français

    Vendredi 7 août dans la soirée, une femme enceinte a été violemment agressée en pleine rue, à Vichy (Allier), par un groupe de six mineurs, rapporte le quotidien régional La Montagne. Ses agresseurs l’ont frappée, traînée au sol en la tirant par les cheveux, et menacé « de la faire avorter ».  Fort heureusement, une équipe de la BAC est rapidement arrivée sur les lieux pour stopper les agresseurs. Mais ces derniers ont opposé une farouche résistance. L’auteur des coups a été difficilement maîtrisé par les policiers qu’il a également frappés. Le reste de la bande a insulté les fonctionnaires et leur a craché au visage. Ils ont également filmé l’intervention et diffusé les images sur Internet en se faisant passer pour des victimes de violences policières. Deux jeunes garçons ont finalement été placés en garde à vue, d’après La Montagne. Déjà connus des services de police, ils ont été remis à leurs parents dès le lendemain des faits.

     

    Source : lesalonbeige