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  • Un prétexte pour prolonger la guerre

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2025

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    Depuis trois ans, les chancelleries occidentales et leurs médias aux ordres répètent inlassablement le même mantra : si la Russie n’est pas arrêtée en Ukraine, elle envahira l’Europe. Ce narratif, digne d’une propagande de guerre, n’a qu’un objectif : justifier la poursuite d’un conflit absurde qui ravage l’Ukraine et angoisser les peuples européens. Pourtant, un examen sérieux des faits et de l’Histoire démontre que cette thèse relève du fantasme pur et simple.
    Une puissance régionale, pas un empire expansionniste
    L’argument selon lequel la Russie ambitionnerait d’envahir l’Europe repose sur une ignorance crasse de la réalité stratégique. La Russie n’est pas l’Union soviétique. Son PIB est celui de l’Espagne, son armée est loin d’être la machine de guerre invincible qu’on nous décrit, et son économie repose principalement sur les exportations de matières premières. À quel moment une telle puissance aurait-elle les moyens – et l’intérêt – de partir à la conquête de l’Europe ?
    Même en Ukraine, la Russie n’a pas mené une guerre d’annexion totale. Ses objectifs ont toujours été limités : sécuriser le Donbass russophone et garantir que l’Ukraine ne devienne pas un avant-poste de l’OTAN. Loin d’une marche triomphale vers l’Atlantique, la guerre a démontré que l’armée russe rencontre déjà des difficultés face à une Ukraine surarmée par l’Occident. Imaginer qu’elle puisse se lancer dans une conquête de Varsovie, Berlin ou Paris relève du délire.
    Un prétexte pour prolonger la guerre
    L’idée d’une Russie impérialiste avide de conquête était avant tout un outil de propagande destiné à maintenir l’Europe sous tutelle américaine. Depuis 2022, les États-Unis - sous l'administration Biden - et leurs alliés ne cessent d’alimenter l’Ukraine en armes, au prix d’une escalade permanente. Plutôt que de favoriser la paix, ils ont attisé le conflit en prétendant qu’il s’agissait d’un combat existentiel contre un nouvel Hitler.
    Or, qui veut réellement la paix aujourd’hui ? Les peuples européens, qui subissent de plein fouet les conséquences économiques de cette guerre. Les Ukrainiens, sacrifiés sur l’autel d’une stratégie qui ne vise qu’à affaiblir Moscou. Donald Trump qui a fait de la paix en Ukraine l'un de ses axes de campagne. Et même les Russes, qui n’ont aucun intérêt à voir ce conflit s’enliser indéfiniment.
    La peur comme instrument de domination
    Le discours sur une menace russe imminente n’est qu’un énième moyen de soumettre les opinions publiques européennes. Depuis des décennies, nos dirigeants ont recours à la peur pour justifier leurs politiques de contrôle de la population : après la crise sanitaire, voici venu le spectre de l’invasion russe. L’objectif est clair : maintenir les peuples sous pression et légitimer des dépenses extravagantes au profit d'un régime ukrainien ultra-corrompu et au détriment des priorités nationales.
    La vérité, c’est que la Russie ne veut pas conquérir l’Europe. Elle veut simplement que l’Occident cesse d’étendre son influence à ses portes. La solution à ce conflit ne viendra pas des va-t-en-guerre de Bruxelles ni d'ailleurs, mais d’un retour à la diplomatie et au réalisme. Plus tôt nous comprendrons cela, plus tôt nous pourrons mettre fin à cette tragédie absurde.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Covid : un prétexte pour nous museler

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2020

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    Covid : un prétexte pour nous museler

    Le premier ministre a déploré la dégradation de la situation sanitaire et dévoilé des mesures, dont la prolongation jusqu’au 30 octobre de l’interdiction des évènements de plus de 5 000 personnes. Exit les manifestations de rentrée. Jean Castex a aussi donné l’instruction aux préfets « de se rapprocher des élus locaux pour étendre le plus possible l’obligation du port du masque dans les espaces publics ».

    Alors même que 10.000 à 15.000 personnes se sont rassemblées, samedi 8 août, pou rune rave party sauvage en Lozère. Il en restait, lundi, plus de 5.000. Des milliers de fêtards avaient envahi, en toute illégalité et faisant fi de l’interdiction des rassemblements de plus de 5.000 personnes, en plein parc national des Cévennes, un terrain agricole privé. Que font les autorités ? Elles encadrent, elles soignent, elles distribuent, elles laissent faire.

    Voici la courbe des décès du coronavirus en Suède. Il n’y a eu ni confinement ni masques. Seulement une épidémie plus sévère que la grippe habituelle.

    Cela permet au gouvernement d’éviter de traiter les vrais sujets, à commencer par l’ensauvagement de la France. Il va falloir que les Français se défendent seuls contre les hordes de racailles qui imposent leur loi. Y compris  désormais dans les coins les plus calmes, comme cette mère et son fils agressés chez eux, à Chateaubriant, par une horde de turco-voyous. Comme l’écrivait Renaud Camus :

    On nous dit qu’il n’y a pas colonisation car il n’y a pas conquête militaire, pas de soldats défilant dans nos rues. On se trompe. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français

    Vendredi 7 août dans la soirée, une femme enceinte a été violemment agressée en pleine rue, à Vichy (Allier), par un groupe de six mineurs, rapporte le quotidien régional La Montagne. Ses agresseurs l’ont frappée, traînée au sol en la tirant par les cheveux, et menacé « de la faire avorter ».  Fort heureusement, une équipe de la BAC est rapidement arrivée sur les lieux pour stopper les agresseurs. Mais ces derniers ont opposé une farouche résistance. L’auteur des coups a été difficilement maîtrisé par les policiers qu’il a également frappés. Le reste de la bande a insulté les fonctionnaires et leur a craché au visage. Ils ont également filmé l’intervention et diffusé les images sur Internet en se faisant passer pour des victimes de violences policières. Deux jeunes garçons ont finalement été placés en garde à vue, d’après La Montagne. Déjà connus des services de police, ils ont été remis à leurs parents dès le lendemain des faits.

     

    Source : lesalonbeige