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pornographie

  • Un directeur de Planned Parenthood plaide pour que les enfants soient exposés à la pornographie

    Publié par Guy de Laferrière le 05 décembre 2022

    Auteur : 

    Un directeur de l’entreprise d’avortement de Planned Parenthood affirme que les jeunes enfants sont des personnes sexuelles et doivent donc apprendre le sexe dès la maternelle.

    « Nous avons dans notre société, une présomption d’asexualité des personnes déficientes intellectuelles. C’est un mythe perpétué, et en réalité, nous sommes tous des êtres sexuels de la naissance à la mort« , a déclaré Bill Taverner, directeur du Planned Parenthood’s Center for Sex Education, situé dans le New Jersey.

    Taverner a également promu la pornographie, qu’il qualifie d ‘ »utile » et dit qu’elle devrait être enseignée aux enfants plus âgés.

    Fox News a retrouvé des déclarations une interview de Bill Tavernier datant de 2012,  dans laquelle il déclarait que les enfants d’un certain âge devraient être initiés à la pornographie dans les cours d’éducation sexuelle à l’école, poste qu’il a occupé jusqu’en février 2021 au moins.

    Taverner y disait que la pornographie fournit « beaucoup d’informations utiles« .

    Interrompu par l(interviewer mal à l’aise, Bill Taverner a rétorqué que la pornographie montre des choses fausses mais aussi « de bonnes choses« .

    Le point de vue du directeur de Planned Parenthood sur l’enseignement de la pornographie aux enfants et son utilisation dans les salles de classe est tout aussi troublant.

    De la promotion de l’avortement à la promotion de la pornographie dans les écoles, il n’y a donc qu’un pas.

     

    Source : medias-presse.info

  • Pour l’Unicef la pornographie n’est pas un mal pour les enfants

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2021

    L’Unicef, le Fonds des Nations unies pour l’enfance, vient de publier un rapport, vite retiré de son site à cause du grand nombre de protestation et remanié, visant à dédouaner la pornographie.

    Cette agence des Nations Unies soutient l’idée que la pornographie n’est pas toujours préjudiciable aux enfants et aux adolescents. Ces derniers, toujours selon l’organisme international, ne devraient pas se voir refuser une « éducation sexuelle vitale », qui comprenne également l’avortement et les questions LGBT.

    Le rapport, intitulé Les outils numériques de vérification de l’âge et les droits des enfants en ligne à travers le monde, traite des outils de vérification de l’âge en ligne et des droits des enfants dans cinq domaines (jeux d’argent, pornographie, jeux en ligne, médias sociaux, matériel pédopornographique). S’agissant de la pornographie, il passe en revue les propositions législatives de certains pays et cite des recherches qui présentent, au-delà des données collectées, des jugements différents sur la question, soit totalement négatifs, soit substantiellement laxistes.

    A la question « Quelle est la preuve du risque et du préjudice ? », l’Unicef ​​préfère rappeler l’existence de « différents types de risques et de préjudices liés à l’exposition des enfants à la pornographie » en ajoutant immédiatement après que « il n’y a pas de consensus sur le degré auquel la pornographie est préjudiciable aux enfants ». Cette dernière partie sur l’étendue des dommages, et relative au « consentement » manquant, a été supprimée de la nouvelle version du document. Et, de même, de la réponse à la question suivante, « Les preuves justifient-elles des limites d’âge ? », l’agence des Nations Unies a éliminé la partie dans laquelle il était déclaré que « les preuves sont contradictoires, et il n’y a actuellement aucun accord universel sur le la nature et l’étendue du préjudice causé aux enfants par la visualisation de contenus classés comme pornographiques ».

    Pour le reste, s’il y a quelques mots qui ont changé par rapport à la première version, rien ne change la perspective scandaleuse de l’Unicef, qui prend soin de ne pas exprimer un jugement propre et clair contre la pornographie.

    Par exemple, l’agence onusienne estime qu’il y a des contenus qui peuvent être classés comme pornographie « dans certains contextes » et cela, en présence de restrictions liées à l’âge, « pourrait nier l’accès des enfants à des matériels essentiels d’éducation sexuelle » (p. 35). Il faut rappeler, comme le souligne un article italien, « que l’idée d’‘éducation sexuelle’ partagée par diverses agences des Nations Unies – de l’Unesco à l’ OMS avec ses tristement célèbres directives pour l’Europe – est en fait pornographique et tout sauf ‘’vitale‘’. Sans surprise, le rapport de l’Unicef exhorte plus loin à ce que les enfants à ne pas soient pas exclus des informations en ligne sur la ‘’santé sexuelle et reproductive‘’ (une expression incluant l’avortement), ‘’ y compris les ressources pour l’éducation LGBTQ‘’ (p. 39). »

    Maniant un relativisme pratique, l’Unicef ​​rappelle brièvement d’un côté l’existence de recherches qui soulignent « les conséquences négatives » de l’utilisation de la pornographie, telles que « la mauvaise santé mentale, le sexisme et l’objectification, l’agression sexuelle ». Et puis, d’un autre côté, il cite l’étude de la London School of Economics, EU Kids online 2020, basée sur des enquêtes menées dans 19 pays européens, dans laquelle il apparaît que « la plupart des enfants qui ont vu des images sexuelles en ligne n’ont pas été choqués ni heureux (de 27% en Suisse à 72% en Lituanie) ; entre 10% et 4% étaient assez ou très bouleversés ; et entre 3% des enfants (en Estonie) et 39% (en Espagne) ont déclaré se sentir heureux après avoir vu de telles images ».

    « Aucun jugement n’est exprimé, souligne l’article critique italien, sur le fait que se percevoir indifférent voire « heureux » pour des visions pornographiques est encore une perception éphémère et trompeuse – comme il en existe tant dans le monde (pensez aux drogues et à diverses autres addictions désordonnées) – qui se heurte aux données objectives selon lesquelles la pornographie est contraire au bien de la personne, crée une dépendance et des dommages psycho-physiques évidents à moyen et long terme. »

    Se référant aux limites de la pornographie commerciale fixées à 18 ans dans divers pays, l’Unicef suggère un système de classification par âge plus « nuancé »,se basant aussi sur les « différences dans le niveau individuel de maturité des enfants » (p. 38). Un autre passage de la partie introductive aux cinq domaines susmentionnés est également préoccupant : « Les enfants ont le droit d’être protégés en ligne contre l’exploitation et les abus sexuels et la violence, mais cela doit être équilibré avec leurs droits à la vie privée, à la liberté d’expression, à la participation, jouer et accéder aux informations » (p. 33), c’est-à-dire ces informations centrées sur la culture de mort considérées comme prioritaires par l’Unicef.

    En conclusion, la position de l’Unicef est loin d’être hostile à la pornographie. Comme les autres agences onusiennes, le Fonds des Nations unies pour l’enfance est une courroie de transmission des perversions contemporaines et un agent de la déconstruction de la personne humaine dès le petit âge.

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Les liens étroits entre les industries de la pornographie et de l’avortement

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2020

    Les liens étroits entre les industries de la pornographie et de l’avortement

    L’association pro-avortement Marie Stopes International (MSI), une ONG présente dans 38 pays, où elle promeut la santé sexuelle et reproductive, proposant ses conseils en matière de contraception, de vasectomie et d’avortement, a accepté des millions de livres de financement du baron du porno américain Phil Harvey, PDG de la société porno Adam & Eve.

    MSI, basée à Londres, a organisé environ cinq millions d’avortements l’année dernière et a reçu 48 millions de livres sterling d’aide étrangère britannique. MSI a récemment été réprimandée par la Charity Commission après que le directeur général Simon Cooke eut doublé son salaire pour atteindre 434000 £.

    Les liens entre pornographie et avortement ne datent pas d’hier. MSI a été créé par le médecin britannique Tim Black, qui a étudié à l’Université avec M. Harvey à la fin des années 1960 et ils se sont lancés dans la vente de préservatifs par la poste, ce qui était illégal à l’époque. En 1986, M. Harvey avait été accusé de distribution de matériel obscène.

    Andrea Williams, directrice générale de Christian Concern, organisation pro-vie, a souligné :

    De sérieuses questions doivent être posées sur les raisons pour lesquelles MSI, une organisation qui se consacre à la liberté des femmes, a reçu des millions de dollars de financement d’une industrie qui réalise le contraire.

     

    Source : lesalonbeige

  • Coronavirus et abrutissement des foules, y compris par la pornographie

    Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2020

    Quantité de romans d’anticipation ont prédit il y a plusieurs décennies des situations qui se réalisent en ce moment sous nos yeux. Pensons à 1984 d’Orwell, au Meilleur des Mondes d’Aldous Huxley, mais aussi à beaucoup d’autres. Comme La fin d’Illa qui annonçait le règne de l’abrutissement et de la terreur.

    L’épidémie de Coronavirus vient concrétiser ce dernier scénario.

    D’un côté, tous les médias nous bombardent d’informations plus angoissantes les unes que les autres au sujet de ce virus qui terrorise une bonne partie de la planète et permet à plusieurs gouvernements de prendre des mesures qui relèvent de la loi martiale et auraient fait hurler au fascisme en d’autres circonstances.

    De l’autre côté, des propositions qui tombent en rafale pour occuper les populations placées en confinement. Ainsi, chacun à ces jours-ci reçu une annonce de son opérateur téléphonique lui signalant qu’il allait pouvoir surfer deux fois plus sur internet pour le même prix jusqu’au minimum début avril. Ensuite, quantité de chaînes de télévision habituellement payantes et cryptées, de type canal +, ont annoncé être accessibles gratuitement durant le confinement.

    Et, depuis mardi, les grands médias du système publient des articles accrocheurs pour signaler avec force détails que plusieurs programmes pornographiques habituellement réservés à des abonnements payants sont également mis en accès gratuit pendant le confinement.

    L’abrutissement des foules s’organise à grande échelle.

    Pour votre bien, naturellement. Il suffit d’y croire…

     

    Source : medias-presse.info