Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

sanctions contre la russie

  • Ukraine : «Il faut continuer à sanctionner la Russie, quoi qu’il nous en coûte», juge François Hollande

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2022

    Fournir des armes à l’Ukraine et continuer à taper sur la Russie. François Hollande a décliné ce jeudi au micro de France Inter ses convictions dans la résolution du conflit démarré le 24 février dernier par Vladimir Poutine. Pour éviter « le statu quo », et que « la guerre s’installe sur une sorte de conflit gelé », François Hollande recommande « de continuer à fournir des armes aux Ukrainiens, de sanctionner économiquement la Russie, et enfin d’isoler politiquement Vladimir Poutine ». L’ex-président dénonce par ailleurs une forme d’indulgence à l’égard du président russe de la part de la classe politique, et d’Emmanuel Macron.

    François Hollande a mis en garde sur le risque d’une certaine lassitude par rapport au conflit. « Certains se demandent est-ce que ça vaut la peine, pour quelques bouts de territoires, de se geler l’hiver ? Si on se laisse aller à cette inclinaison, les régimes autoritaires gagneront », a-t-il prévenu.

    Interrogé sur les propos de Ségolène Royal, qui avait mis en doute la réalité du bombardement russe de la maternité de Marioupol, l’ancien président estime parle d’une « mauvaise appréciation de la situation ». « Elle a été amenée à démentir ses propos et elle a bien fait. La propagande russe est partout », a-t-il affirmé.

    Autre sujet de cette rentrée, l’énergie et particulièrement le nucléaire, que François Hollande est accusé d’avoir « laminé » par certains membres de l’opposition. Pour rappel, sous son quinquennat, le président avait fixé l’objectif de réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité à 50 % en 2025.

    « Il était légitime d’arrêter des réacteurs conçus pour fonctionner 40 ans. (… ) La part du nucléaire va de toute façon baisser au fur et à mesure avec le renouvelable et les centrales seront remplacées par des nouveaux réacteurs, s’est défendu François Hollande. Pendant le quinquennat qui a été le mien, la production d’électricité d’origine nucléaire n’a pas varié : 400 térawatts au début, 400 térawatts à la fin ». […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Les sanctions contre la Russie provoquent l’effondrement de l’euro… Le ministre Bruno Le Maire s’est totalement trompé !

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet  2022

    lesmoutonsrebelles

    Pour ceux qui espèrent que cela va s’arrêter, autant le dire, avec les prix de l’énergie qui flambent, c’est mal barré. Une situation d’autant plus préoccupante pour l’Union européenne que l’inflation explose depuis l’an dernier aux États-Unis, pour atteindre les plus hauts niveaux depuis plus de trente ans. Supérieure à celle de la zone euro, elle aurait donc dû logiquement impacter davantage nos concurrents d’outre-Atlantique.

    Coût de l’énergie et coût de la dette divisent l’Europe

    Quand la Réserve fédérale des États-Unis a encore de la manœuvre pour rehausser ses taux en conséquence, la zone euro se voit, elle, tiraillée entre le Nord pris à la gorge par le coût de l’énergie, où les Allemands en tête feront tout pour augmenter les taux d’intérêt afin de rééquilibrer leur balance commerciale, et le Sud surendetté (Grèce, Espagne, Portugal, Italie et même France) dont chaque nouveau point d’inflation augmente de façon insoutenable le coût de l’endettement.

    Allemagne : non à l’inflation, oui à la hausse des taux

    Les Allemands, qu’une telle politique européenne commence à sérieusement échauffer, semblent bien déterminés à ne rien lâcher. Et pour cause, les sanctions contre la Russie faisant s’envoler le coût de l’énergie (lire à ce sujet notre analyse sur les conséquence des prédictions de Schwab), c’est toute la balance commerciale qui faisait la fierté de la quatrième puissance économique du monde qui part en vrille. Pour la première fois depuis la réunification, elle est en déficit : un milliard d’euros rien que pour le mois de mai, et ça n’est assurément qu’un début. Lundi 4 juillet, Joachim Nagel, président de la Bundesbank, la banque centrale allemande, a mis en garde la Banque centrale européenne contre toute tentative visant à faire baisser les coûts d’emprunt des pays du Sud de la zone euro. Il a estimé que l’accent devrait être mis sur la lutte contre l’inflation, qui pourrait nécessiter plus de hausses de taux d’intérêt que prévu.

    L’écart des taux entre Nord et Sud de l’Europe se creuse

    Comme le reconnaît enfin Christine Lagarde à demi-mot en sortant de derrière les fagots son mystérieux outil anti-fragmentationcensé rééquilibrer miraculeusement le Nord et le Sud, la zone euro subit une fragmentation sans précédent des différents taux d’emprunt (les « spread », dans le jargon financier). Autrement dit la différence de taux entre les différents pays de l’Union européenne devient catastrophique pour l’unité de la monnaie unique. D’ailleurs, le ton alarmiste du discours qu’elle a tenu tranche avec la prudence adoptée depuis plus d’un an, quand elle invitait à ne pas « surréagir ».

    La récession annonce la fin de l’euro

    C’est donc bien la confiance dans l’euro qui est fondamentalement atteinte, et c’est peu dire que la santé de l’Union européenne inquiète les marchés. La politique économique des va-t-en-guerre a engendré un risque de récession considérable, aujourd’hui reconnu même par Andrea Enria, le responsable de la supervision bancaire de la BCE. « Le scénario de la récession doit être désormais anticipé par les banques européennes », a-t-il prévenu lors d’une audition devant le Parlement européen.

    Une situation pourtant si prévisible ! On en vient à se demander comment ces gros malins du gouvernement, après avoir envoyé l’industrie en Chine, explosé la dette, l’avoir indexée sur l’inflation et paralysé pendant deux ans le pays et son économie, pensaient réellement mettre à terre la Russie et recevoir les lauriers de la gloire en se privant du gaz le moins cher du monde, au moment même où ils en avaient le plus besoin. Là où la crise grecque de 2015 et l’annonce du Brexit en 2016 ont échoué, les alliés de Zelensky et des États-Unis seraient-ils parvenu à faire entrer l’euro, et toute l’union qui le soutient, dans sa phase terminale ?

     

    Et que penser des européistes se prenant les pieds dans le tapis ? Voilà des années, des décennies, que nombre d’économistes et de souverainistes préviennent que les monnaies plurinationales finissent toujours par exploser, et que, du fait même de leur impossibilité à garder homogènes les taux d’emprunt entre les pays, aucun plan de sauvetage ne saurait en guérir les défauts congénitaux. Par ailleurs, on le sait bien, ce sont ceux qui tiennent la monnaie qui tiennent l’État ; avec la marionnette Macron à la solde de l’empire étatsunien, nous en avons aujourd’hui un dramatique exemple.

    Alors, que conclure ? qu’ils sont encore plus crétins qu’on ne le pensait ou que le coup de grâce n’est qu’une sournoise manœuvre pour sauver les meubles ? ou peut-être encore, simplement, que la grande réinitialisation ne fait que poursuivre son cours, et que s’appliquent de jour en jour les projets de Klaus Schwab et de la famille Rothschild pour faire table rase avant d’imposer leur nouvel ordre et leur monnaie mondiale. Bêtise, zèle, plan machiavélique ? ce sera à l’appréciation de tout un chacun, car, quoi qu’il en soit, la fin de l’euro sera en fin de compte tout sauf une mauvaise nouvelle.

    Sylvain pour Le Média en 4-4-2

  • Sanctions contre la Russie : Le bâtonnier de Valenciennes ordonne de “bloquer toute sortie d’argent à destination des clients dont la consonance du nom serait slave”. Il se défend de tout racisme. “J’agis pour la démocratie”

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2022

  • Guerre en Ukraine : Artem Dzyuba dénonce les sanctions contre la Russie, « deux poids, deux mesures »

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2022

    « Je suis contre le deux poids deux mesures. Pourquoi les uns ont tous les droits alors que nous on nous accuse de tous les maux. Pourquoi tout le monde crie toujours que le sport et la politique ne doivent pas être confondus mais, à la première occasion, quand il s’agit de la Russie, on oublie complètement ce principe ? », demande le joueur du Zenit Saint-Pétersbourg dans un message sur Instagram.

    Après l’attaque de l’Ukraine par l’armée russe, de nombreuses fédérations internationales ont décidé de bannir les sportifs russes de leurs compétitions. C’est le cas de la Fifa qui a exclu la Russie des barrages de qualification au Mondial 2022.

    « Je suis contre la discrimination en fonction de la nationalité. Je n’ai pas honte d’être russe. Je suis fier d’être russe. Et je ne comprends pas pourquoi les sportifs doivent maintenant souffrir », écrit-il, regrettant « la méchanceté, la saleté et la bile qui sont actuellement déversées sur l’ensemble des Russes » et soulignant que « la guerre c’est horrible ».

    Les propos du capitaine russe apparaissent aussi comme une réponse au footballeur ukrainien de West Ham Andriy Yarmolenko qui a fustigé mardi soir sur le même réseau le silence des joueurs russes en leur posant la question suivante : « Pourquoi êtes-vous assis comme des conn… et ne dites rien ? »

     

    Source : lesmoutonsrebelles