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bruno le maire

  • Bruno Le Maire sur les rotules

    Publié par Guy de Laferrière le 14 avril 2023

    Bruno Le Maire sur les rotules

    En mars 2022, le ministre de l’Economie assurait que les sanctions économiques de l’UE et des Etats-Unis prises contre la Russie étaient d’une “efficacité redoutable”.

    “Nous allons livrer une guerre économique et financière totale à la Russie.” “Le peuple russe en paiera aussi les conséquences”. “On en voit déjà les effets. Le trésor de guerre de Poutine est déjà réduit à presque rien. Nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe”.

    Bref, la Russie devait finir à genoux.

    Nous sommes en avril 2023 et le Fonds monétaire international a réévalué à la hausse les anticipations de croissance de la Russie pour 2023. Ainsi, Moscou, qui devait jusqu’alors connaître une hausse de 0,3% de son PIB cette année, verra ce dernier augmenter de 0,7% avant de croître de 1,3% en 2024.

     

    Source : lesalonbeige

  • Alors que la dette publique va atteindre 3 000 milliards d’euros, Bruno Le Maire annonce des «réductions de dépenses significatives» dès 2024 : « Nous passerons au peigne fin toutes les dépenses »

    Publié par Guy de Laferrière le 29 janvier 2023

    Alors que la dette publique est en passe d’atteindre le seuil symbolique des 3 000 milliards d’euros, le ministre de l’Économie annonce des « réductions significatives » dans le budget 2024. Il annonce la fin du “quoi qu’il en coûte”.

    La dette française va dépasser 3 000 milliards d’euros. N’est-ce pas le moment de paniquer ?

    Certainement pas ! Nous avons une stratégie de maîtrise de nos finances publiques, nous l’appliquons. À la fin du troisième trimestre 2022, la dette française atteint les 113 % de notre richesse nationale. Avec le Président et la Première ministre, nous sommes déterminés à faire baisser la dette à partir de 2026, et à ramener le déficit public sous les 3 % en 2027. Tout simplement parce qu’une dette élevée représente une charge financière importante, surtout quand les conditions de financement changent : hier, l’État français empruntait à 0 %, aujourd’hui à 2,5 %. En conséquence, la charge de la dette est passée de 31 milliards en 2021 à 42 milliards en 2022. Il serait irresponsable de faire peser cette charge sur les générations futures.

    Comment en est-on arrivés là ?

    En 2017, la dette publique approchait déjà les 100 % du PIB. En 2018, nous sommes revenus sous les 3 % de déficit et nous avons sorti la France de la procédure pour déficits excessifs. Mais nous avons dû faire face à deux chocs exceptionnels : la plus grande crise économique depuis celle de 1929, avec le Covid ; et la plus importante crise énergétique depuis le choc pétrolier de 1973, avec la flambée des prix du gaz liée à la guerre en Ukraine. Nous avons dépensé pour protéger, comme tous les autres États européens. Avec un résultat clair : nous sommes le premier pays de la zone euro à avoir retrouvé notre niveau d’activité d’avant-crise ! Maintenant, nous entrons dans une nouvelle étape.

    Avons-nous d’ores et déjà franchi ce seuil fatidique des 3 000 milliards  ?

    Le montant de notre dette à la fin de l’année 2022 sera connu fin mars. Ce qui est important, ce n’est pas le montant absolu de la dette en euros : c’est que cette dette soit soutenable.  […]

    Où réduire les dépenses ?

    Nous passerons au peigne fin toutes les dépenses publiques : État, collectivités locales, champ social. C’est l’objet de la revue des dépenses que nous engagerons dans les prochains jours sous l’autorité de la Première ministre. Nous ne sommes pas novices en la matière : nous avons rétabli les finances publiques en 2018, en prenant des décisions difficiles par exemple sur les emplois aidés.

    Avez-vous déjà des pistes d’économie ?

    Interrogeons chacune de nos dépenses. Par exemple, nous ne pouvons pas vouloir décarboner notre économie et maintenir des avantages fiscaux favorables aux énergies fossiles. Rendons nos dépenses cohérentes avec nos objectifs politiques ! Dès le budget 2024, nous pourrons ainsi programmer des réductions de dépenses significatives.

    Sur 1 000 euros de dépense publique, 97 sont consacrés à l’Éducation nationale. Ne faut-il pas faire davantage au vu de la situation de notre école ?

    Le Président a lancé un chantier majeur de transformation de notre politique éducative. Nous devons avoir un débat sur le niveau d’investissement dans l’éducation, comme nous l’avons dans tous les domaines. Avec un objectif : dépenser mieux en préservant les investissements nécessaires à la nation.

    Par exemple, il est indispensable d’augmenter le budget de nos armées, parce que la guerre est de retour en Europe ; ou de soutenir massivement la décarbonation, parce que le coût de l’inaction serait exorbitant. Et parce que ça rapporte ! En ayant investi 8 milliards d’euros par an dans les énergies renouvelables par le passé pour garantir des tarifs aux producteurs, l’État a touché plusieurs milliards en 2022 parce que le prix de l’électricité a explosé. Cela nous permet de financer pour partie le bouclier tarifaire. […]

    Le JDD via fdesouche

  • “La France est à l’euro près”, prévient le ministre de l’Economie Bruno Le Maire avant d’annoncer que le gouvernement va créer 5.900 places d’hébergement dédiés aux réfugiés et aux demandeurs d’asile et leur allouer 2 milliards d’euros

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2022

    “La France est à l’euro près”, a affirmé ce lundi le ministre de l’Economie Bruno le Maire en présentant le projet de budget pour 2023 devant les journalistes.

    “Je veux tracer une ligne rouge”, a-t-il prévenu : “Aucune nouvelle dépense” ne pourra être introduite au cours du débat parlementaire si elle n’est pas “financée à l’euro près”, a mis en garde le ministre.

    Morandini

     


    5.900 places d’hébergement pour réfugiés et demandeurs d’asile

    Le gouvernement va créer 5.900 places d’hébergement dédiés aux réfugiés et aux demandeurs d’asile dans différents centres d’accueil et d’hébergement d’urgence, selon le projet de budget 2023 dévoilé lundi et qui prévoit une hausse de 6 % de l’enveloppe « immigration, asile et intégration ».

    Les crédits de cette mission progressent de 113 millions d’euros par rapport à 2022 pour atteindre 2,01 milliards d’euros et doivent notamment permettre l’ouverture de 2.500 places en centres d’accueil pour demandeurs d’asile, selon les documents budgétaires de Bercy. En 2022, 900 places d’hébergement supplémentaires avaient été créées.

    (…) 20minutes.fr

  • Les sanctions contre la Russie provoquent l’effondrement de l’euro… Le ministre Bruno Le Maire s’est totalement trompé !

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet  2022

    lesmoutonsrebelles

    Pour ceux qui espèrent que cela va s’arrêter, autant le dire, avec les prix de l’énergie qui flambent, c’est mal barré. Une situation d’autant plus préoccupante pour l’Union européenne que l’inflation explose depuis l’an dernier aux États-Unis, pour atteindre les plus hauts niveaux depuis plus de trente ans. Supérieure à celle de la zone euro, elle aurait donc dû logiquement impacter davantage nos concurrents d’outre-Atlantique.

    Coût de l’énergie et coût de la dette divisent l’Europe

    Quand la Réserve fédérale des États-Unis a encore de la manœuvre pour rehausser ses taux en conséquence, la zone euro se voit, elle, tiraillée entre le Nord pris à la gorge par le coût de l’énergie, où les Allemands en tête feront tout pour augmenter les taux d’intérêt afin de rééquilibrer leur balance commerciale, et le Sud surendetté (Grèce, Espagne, Portugal, Italie et même France) dont chaque nouveau point d’inflation augmente de façon insoutenable le coût de l’endettement.

    Allemagne : non à l’inflation, oui à la hausse des taux

    Les Allemands, qu’une telle politique européenne commence à sérieusement échauffer, semblent bien déterminés à ne rien lâcher. Et pour cause, les sanctions contre la Russie faisant s’envoler le coût de l’énergie (lire à ce sujet notre analyse sur les conséquence des prédictions de Schwab), c’est toute la balance commerciale qui faisait la fierté de la quatrième puissance économique du monde qui part en vrille. Pour la première fois depuis la réunification, elle est en déficit : un milliard d’euros rien que pour le mois de mai, et ça n’est assurément qu’un début. Lundi 4 juillet, Joachim Nagel, président de la Bundesbank, la banque centrale allemande, a mis en garde la Banque centrale européenne contre toute tentative visant à faire baisser les coûts d’emprunt des pays du Sud de la zone euro. Il a estimé que l’accent devrait être mis sur la lutte contre l’inflation, qui pourrait nécessiter plus de hausses de taux d’intérêt que prévu.

    L’écart des taux entre Nord et Sud de l’Europe se creuse

    Comme le reconnaît enfin Christine Lagarde à demi-mot en sortant de derrière les fagots son mystérieux outil anti-fragmentationcensé rééquilibrer miraculeusement le Nord et le Sud, la zone euro subit une fragmentation sans précédent des différents taux d’emprunt (les « spread », dans le jargon financier). Autrement dit la différence de taux entre les différents pays de l’Union européenne devient catastrophique pour l’unité de la monnaie unique. D’ailleurs, le ton alarmiste du discours qu’elle a tenu tranche avec la prudence adoptée depuis plus d’un an, quand elle invitait à ne pas « surréagir ».

    La récession annonce la fin de l’euro

    C’est donc bien la confiance dans l’euro qui est fondamentalement atteinte, et c’est peu dire que la santé de l’Union européenne inquiète les marchés. La politique économique des va-t-en-guerre a engendré un risque de récession considérable, aujourd’hui reconnu même par Andrea Enria, le responsable de la supervision bancaire de la BCE. « Le scénario de la récession doit être désormais anticipé par les banques européennes », a-t-il prévenu lors d’une audition devant le Parlement européen.

    Une situation pourtant si prévisible ! On en vient à se demander comment ces gros malins du gouvernement, après avoir envoyé l’industrie en Chine, explosé la dette, l’avoir indexée sur l’inflation et paralysé pendant deux ans le pays et son économie, pensaient réellement mettre à terre la Russie et recevoir les lauriers de la gloire en se privant du gaz le moins cher du monde, au moment même où ils en avaient le plus besoin. Là où la crise grecque de 2015 et l’annonce du Brexit en 2016 ont échoué, les alliés de Zelensky et des États-Unis seraient-ils parvenu à faire entrer l’euro, et toute l’union qui le soutient, dans sa phase terminale ?

     

    Et que penser des européistes se prenant les pieds dans le tapis ? Voilà des années, des décennies, que nombre d’économistes et de souverainistes préviennent que les monnaies plurinationales finissent toujours par exploser, et que, du fait même de leur impossibilité à garder homogènes les taux d’emprunt entre les pays, aucun plan de sauvetage ne saurait en guérir les défauts congénitaux. Par ailleurs, on le sait bien, ce sont ceux qui tiennent la monnaie qui tiennent l’État ; avec la marionnette Macron à la solde de l’empire étatsunien, nous en avons aujourd’hui un dramatique exemple.

    Alors, que conclure ? qu’ils sont encore plus crétins qu’on ne le pensait ou que le coup de grâce n’est qu’une sournoise manœuvre pour sauver les meubles ? ou peut-être encore, simplement, que la grande réinitialisation ne fait que poursuivre son cours, et que s’appliquent de jour en jour les projets de Klaus Schwab et de la famille Rothschild pour faire table rase avant d’imposer leur nouvel ordre et leur monnaie mondiale. Bêtise, zèle, plan machiavélique ? ce sera à l’appréciation de tout un chacun, car, quoi qu’il en soit, la fin de l’euro sera en fin de compte tout sauf une mauvaise nouvelle.

    Sylvain pour Le Média en 4-4-2

  • Bruno Le Maire: «Cette inflation est temporaire» (MàJ: «pas de baisse des prix avant la fin de l’année 2022» annonce BLM) (MàJ2: «nous devrions sortir du pic d’inflation fin 2023» prévoit-il)

     

     

    01/06/2022

    Alors que la hausse des prix a de nouveau accéléré en mai (+5,2% sur un an) selon l’Insee, Bruno Le Maire a estimé ce mardi dans le Figaro que “nous devrions sortir du pic d’inflation fin 2023”.

    BFM TV


    18/11/2021

    Le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire a réaffirmé mercredi que l’accélération de l’inflation, alimentée notamment par la hausse des prix de l’énergie, resterait temporaire tout en précisant qu’il ne s’attendait pas à la voir ralentir avant la fin 2022.

    “Cette inflation est transitoire selon nous, mais je veux être très clair à l’égard des Français: ce n’est pas une transition de quelques semaines (mais) de plusieurs mois et je n’envisage pas de baisse des prix avant la fin de l’année 2022”, at-il déclaré lors d’une audition par la commission des Affaires économiques du Sénat.

    Investir – Les Echos


    17/11/2021

    L’inflation, liée en particulier à la hausse des prix de l’énergie, est temporaire et appelle des mesures de protection des foyers, a déclaré mercredi le ministre de l’Économie Bruno Le Maire.

    Cette inflation est temporaire. Elle est tirée d’abord par la reprise de l’activité en Chine, aux États-Unis et en Europe​, a dit le ministre au micro de Sud Radio. […]

    Ouest-France