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dette publique

  • Dette publique :

    Publié par Guy de Laferrière le 28 mars 2024

    Thomas Joly

    Dette publique : la seule variable d'ajustement économique immédiate dont dispose le gouvernement, c'est l'arrêt du financement de l'immigration. Supprimer toutes les aides, soins, logements aux immigrés réduirait de plusieurs dizaines de milliards les dépenses publiques.
    Peut être une image de 2 personnes et texte qui dit ’Caisse d'Allocations familiales caf-fr 80% ca Jedéclare’
     
     
     
     
     
     
  • Nouveau record pour la dette publique

    Publié par Guy de Laferrière le 03 juillet 2023

    Nouveau record pour la dette publique

    L’endettement public s’est établi au premier trimestre à 3.013 milliards d’euros selon les chiffres publiés vendredi par l’Insee, une première dans l’histoire.

    Dans le détail, la dette publique a progressé de 63,4 milliards d’euros au premier trimestre. Cette hausse a été alimentée principalement par l’Etat (48,6 milliards) et par les administrations de Sécurité sociale (17,4 milliards). Au total, l’endettement public s’est établi fin mars à 112,5 % du PIB.

    Et avec les émeutes, la chute n’est pas terminée. En 2005, les compagnies d’assurance avaient déboursé 205 millions d’euros pour couvrir les dommages causés par les émeutes.

     

    Source : lesalonbeige

  • Alors que la dette publique va atteindre 3 000 milliards d’euros, Bruno Le Maire annonce des «réductions de dépenses significatives» dès 2024 : « Nous passerons au peigne fin toutes les dépenses »

    Publié par Guy de Laferrière le 29 janvier 2023

    Alors que la dette publique est en passe d’atteindre le seuil symbolique des 3 000 milliards d’euros, le ministre de l’Économie annonce des « réductions significatives » dans le budget 2024. Il annonce la fin du “quoi qu’il en coûte”.

    La dette française va dépasser 3 000 milliards d’euros. N’est-ce pas le moment de paniquer ?

    Certainement pas ! Nous avons une stratégie de maîtrise de nos finances publiques, nous l’appliquons. À la fin du troisième trimestre 2022, la dette française atteint les 113 % de notre richesse nationale. Avec le Président et la Première ministre, nous sommes déterminés à faire baisser la dette à partir de 2026, et à ramener le déficit public sous les 3 % en 2027. Tout simplement parce qu’une dette élevée représente une charge financière importante, surtout quand les conditions de financement changent : hier, l’État français empruntait à 0 %, aujourd’hui à 2,5 %. En conséquence, la charge de la dette est passée de 31 milliards en 2021 à 42 milliards en 2022. Il serait irresponsable de faire peser cette charge sur les générations futures.

    Comment en est-on arrivés là ?

    En 2017, la dette publique approchait déjà les 100 % du PIB. En 2018, nous sommes revenus sous les 3 % de déficit et nous avons sorti la France de la procédure pour déficits excessifs. Mais nous avons dû faire face à deux chocs exceptionnels : la plus grande crise économique depuis celle de 1929, avec le Covid ; et la plus importante crise énergétique depuis le choc pétrolier de 1973, avec la flambée des prix du gaz liée à la guerre en Ukraine. Nous avons dépensé pour protéger, comme tous les autres États européens. Avec un résultat clair : nous sommes le premier pays de la zone euro à avoir retrouvé notre niveau d’activité d’avant-crise ! Maintenant, nous entrons dans une nouvelle étape.

    Avons-nous d’ores et déjà franchi ce seuil fatidique des 3 000 milliards  ?

    Le montant de notre dette à la fin de l’année 2022 sera connu fin mars. Ce qui est important, ce n’est pas le montant absolu de la dette en euros : c’est que cette dette soit soutenable.  […]

    Où réduire les dépenses ?

    Nous passerons au peigne fin toutes les dépenses publiques : État, collectivités locales, champ social. C’est l’objet de la revue des dépenses que nous engagerons dans les prochains jours sous l’autorité de la Première ministre. Nous ne sommes pas novices en la matière : nous avons rétabli les finances publiques en 2018, en prenant des décisions difficiles par exemple sur les emplois aidés.

    Avez-vous déjà des pistes d’économie ?

    Interrogeons chacune de nos dépenses. Par exemple, nous ne pouvons pas vouloir décarboner notre économie et maintenir des avantages fiscaux favorables aux énergies fossiles. Rendons nos dépenses cohérentes avec nos objectifs politiques ! Dès le budget 2024, nous pourrons ainsi programmer des réductions de dépenses significatives.

    Sur 1 000 euros de dépense publique, 97 sont consacrés à l’Éducation nationale. Ne faut-il pas faire davantage au vu de la situation de notre école ?

    Le Président a lancé un chantier majeur de transformation de notre politique éducative. Nous devons avoir un débat sur le niveau d’investissement dans l’éducation, comme nous l’avons dans tous les domaines. Avec un objectif : dépenser mieux en préservant les investissements nécessaires à la nation.

    Par exemple, il est indispensable d’augmenter le budget de nos armées, parce que la guerre est de retour en Europe ; ou de soutenir massivement la décarbonation, parce que le coût de l’inaction serait exorbitant. Et parce que ça rapporte ! En ayant investi 8 milliards d’euros par an dans les énergies renouvelables par le passé pour garantir des tarifs aux producteurs, l’État a touché plusieurs milliards en 2022 parce que le prix de l’électricité a explosé. Cela nous permet de financer pour partie le bouclier tarifaire. […]

    Le JDD via fdesouche

  • Dette publique : spirale vertigineuse

    Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2022

    synthesenationale

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    Gaëtan Capèle

    C’est l’éléphant dans la pièce que tout le monde fait mine d’ignorer : a douze jours de l’élection présidentielle, l’énorme sujet de la dette publique brille par son absence dans le débat politique. Les chiffres pourtant, donnent le vertige. L’endettement de la France, pris dans une spirale vertigineuse, a triplé en vingt ans pour dépasser les 2800 milliards d’euros. La Cour des comptes, chargée de surveiller le bon usage de l’argent public, s’inquiète ouvertement de cette trajectoire, en passe de devenir hors de contrôle. Depuis un demi- siècle, quelle que soit la météo économique, la France vit au-dessus de ses moyens, en dépensant systématiquement davantage que ce qu’elle possède. Avec la pandémie, puis la flambée des prix de l’énergie, les dernières digues ont lâché. Au nom de circonstances exceptionnelles qui le sont de moins en moins, l’État se charge de tout, se substitue à tout, paie tout, quoi qu’il en coûte.

    Cette infantilisation du pays prépare des lendemains difficiles. Personne, à part Jean-Luc Mélenchon, ne croit à la fable d’un effa- cement de la dette. La réalité est qu’avec son gonflement sans fin et la remontée des taux d’intérêt, il faudra, à l’avenir, consacrer de plus en plus de moyens à son remboursement. Et que la générosité publique actuelle, purement factice, annonce les impôts de demain.

    On cherche en vain, dans la frénésie dépensière des programmes électoraux, ce qui pourrait interrompre cette fuite en avant. Emmanuel Macron ou son successeur devra pourtant bien s’y astreindre. Car le monde d’avant, que l’on croyait révolu, revient au galop. Les banques centrales préparent la fin de l’argent gratuit à volonté. Les créanciers internationaux recommencent à trier les bons et les mauvais risques. Les Européens s’apprêtent à renégocier les règles budgétaires applicables dans la zone euro. La France, qui n’a quasiment jamais respecté les précédentes, espère davantage de souplesse et ambitionne même de convertir ses voisins aux bienfaits de la dette commune. Son lourd passif ne plaide pas en sa faveur.

    Source : Figaro 30/3/2022

  • Dette publique : Emmanuel Macron a réussi à faire pire que François Hollande

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2020

    Dette publique : Emmanuel Macron a réussi à faire pire que François Hollande

    Jean-Yves Archer, énarque, économiste et membre de la Société d’économie politique, donne les chiffres accablants pour le chef de l’Etat :

    • En 2012, lorsque François Hollande a été élu, notre dette était de 1 894 milliards d’euros, soit 90,4 % du PIB.
    • À la moitié du mandat, en 2015, la dette était de 2 061,7 milliards soit une progression de 167,7 milliards.
    • Emmanuel Macron fut élu en 2017 alors que la dette était de 2 198,3 milliards à mi-2017
    • Cette dette est désormais de 2 415,1 à la fin du troisième trimestre 2019, soit une progression de 216,8.
    • le président pulvérise le record de son prédécesseur et fait franchir à notre dette le seuil symbolique de 100 % du PIB, avec 100,4 %.

    En même temps, comme dirait l’autre, il était ministre de l’Economie de François Hollande. Donc il a dépassé sa propre performance…

    Jean-Yves Archer précise :

    Au troisième trimestre 2019, source Insee, la dette s’est accrue de 39,6 milliards. Soit plus de la moitié des recettes de tout l’impôt sur le revenu. Ce chiffre simple atteste de la dynamique nocive de la progression de la dette.

    Les magistrats financiers de la Cour des comptes ont explicitement énoncé que les efforts en matière de comptes publics étaient “à l’arrêt”.

     

    Source : lesalonbeige