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soumission

  • Soumission

    Publié par Guy de Laferrière le 08 juin 2023

    Georges Bernanos

     

    Source : les4verites

  • Couple franco-allemand

    Publié par Guy de Laferrière le 25 janvier 2023

    Ces derniers jours, anniversaire du traité de l’Élysée oblige, on parlait beaucoup dans les gazettes du fameux « couple franco-allemand ».

    Cependant, le « couple » bat de l’aile depuis des années.

    Et, pour cause : les États n’ont pas d’amis – a fortiori n’ont-ils pas de conjoint !

    De deux choses l’une, soit les deux pays envisagés sont souverains et, dans ce cas, ils seront tantôt alliés sur un sujet, tantôt en désaccord sur un autre ; soit les deux pays sont « mariés » (pour reprendre cette étrange métaphore qui n’a d’ailleurs cours que de notre côté du Rhin) et alors l’un est soumis à l’autre.

    Mais il semble tout à fait loufoque de prétendre que l’Allemagne et la France devraient systématiquement et sur tous les sujets partager les mêmes points de vue.

    Par curiosité, j’ai relu ce qu’Emmanuel Macron disait en 2017, lors du fameux discours de la Sorbonne. C’est bien simple : il annonçait l’intégration complète (y compris au plan juridique) des deux économies dès 2024.

    Il n’est pas sûr que ce délire utopique soit encore à l’ordre du jour !

    En tout cas, nous avons accumulé depuis quelques années les motifs de désaccords politiques et économiques entre les deux pays.

    De la crise migratoire, ouverte unilatéralement par Angela Merkel qui avait besoin de main-d’œuvre relativement qualifiée et bon marché pour le patronat allemand, au désastre énergétique du marché européen, nous voyons à quel point cette obsession du couple franco-allemand a conduit les « élites » françaises à s’auto-aveugler.

    Même le plan militaire, sur lequel, pendant les 70 dernières années, l’Allemagne a été des plus discrètes, est désormais l’occasion de passes d’armes (si je puis dire) entre les deux pays.

    En tout cas, il est urgent de prendre acte du fait que l’Allemagne défend ses propres intérêts politiques et économiques – et elle a bien raison. Ceux qui ont tort sont les dirigeants français qui refusent d’en faire autant.

    Faute de mener pacifiquement nos deux barques séparément (et, si possible, en bonne harmonie), nous allons préparer la vassalisation de la France (déjà bien avancée) et peut-être même pire : le retour de la guerre entre nos deux pays.

    En tout cas, il ne sera pas longtemps supportable que les Français paient pour la compétitivité des Allemands – notamment en fournissant de l’électricité d’origine nucléaire, dont les infrastructures d’origine sont amorties depuis longtemps.

    Mais toute la question est de savoir si les dirigeants français veulent défendre la France !

     

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  • A France Culture, un «système de violence et de soumission» venu d’en haut

    Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2022

    A France Culture, un «système de violence et de soumission» venu d’en haut

    «Verticalité dictatoriale», «mise en insécurité», «humiliations»… Plusieurs collaborateurs de la radio publique dénoncent le management de Sandrine Treiner et de certains de ses adjoints. Quatre signalements ont été effectués pour harcèlement moral depuis le début de l’année.

    www.liberation.fr via fdesouche

  • « Français, la soumission de vos universités à l’anglais désespère les amis de la France ! »

    Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2019

    Par  le 10/12/2019

    L’universitaire québécois Yves Gingras juge que l’enseignement supérieur français manifeste une fascination ridicule pour l’anglais, qu’il tient pour la langue des vainqueurs.

    Québécois, professeur invité en France chaque année depuis dix-huit ans dans différentes institutions d’enseignement supérieur, j’ai observé avec consternation au cours de cette période, une accélération de la soumission tranquille du monde universitaire, intellectuel et éditorial au nouvel impérialisme linguistique de la langue anglaise. Celle-ci s’impose d’autant plus facilement que ceux qui l’adoptent au nom d’une «internationalisation» ou d’une «globalisation» mal comprises, croient naïvement que cela leur permettra de conserver leur empire intellectuel pourtant révolu. En fait, cette anglicisation rampante est surtout le signe d’un déclin marqué des intellectuels français qui pensent ralentir ou même renverser leur marginalisation en adoptant la langue dominante à laquelle ils ont si longtemps résisté

    (…) Le Figaro via fdesouche