Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2020
La chronique de Philippe Randa
L’heure est donc au déconfinement… pour que l’Humanité reprenne sa folle course…
La folie, justement… On croyait en avoir eu notre dose deux mois durant entre sidération, interventions ubuesques de la porte-parole du gouvernement, complotisme des uns, conspirationnisme des autres et délires pour tout le monde… mais non !
Sur France Info, on interrogeait une psy-machin-chose sur les conséquences psychologiques, liées à la crise sanitaire. Et quelles conséquences !
C’est que la situation que nous avons vécue était « inconnue » (sic !) et donc, génératrice de « stress post-traumatique »… et ses dégâts, à l’écouter, allaient être d’importance ! Autrement plus terribles que les 26/27 à 30 000 morts dus au Coronavirus (dont 85 % de plus de 65 ans) que devrait compter au final notre pays…
En écoutant cette psy, je me disais qu’on avait touché le fond ; ce fameux fond de la nature humaine qui se révèle toujours plus profond.
On croyait voir le bout du tunnel, mais pas du tout : nous allons toujours être – et plus que jamais – plongés dans la plus inquiétante des obscurités ; on s’imagine ce qu’a dû être le « stress post-traumatique » de nos parents avec leur 100 000 morts de la grippe asiatique en 1957… Un stress sans doute si « bouleversifiant » qu’ils ont préféré l’oublier. Un déni de stress, en quelque sorte…
Renseignement pris auprès d’un médecin, celui-ci me confirme que si traumatisme il y a, il ne touchera que les sujets aux tendances névrotiques « car toute histoire névrotique est contagieuse chez les gens qui dépendent du regard des autres. »
Après l’obligation de porter un masque pour se protéger le nez et la bouche, manquerait plus qu’on nous impose des masques de Zorro…
Pourquoi pas alors un entonnoir sur le crâne ? Ça devrait le faire, non ?
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