Publié par Guy Jovelin le 25 décembre 2021
Bien entendu, la police de la pensée vous intime l’ordre de considérer les milliardaires George Soros et Reid Hoffman comme de gentils philanthropes soucieux du seul bien de l’humanité. Défense de rire. Ces deux milliardaires mondialistes se sont donc associés dans Good Information Inc., dont la mission officielle est d’ être une « société d’intérêt public engagée à restaurer la confiance sociale et à renforcer la démocratie ». Comme c’est beau…
Le démarrage est lancé à coups de millions par Reid Hoffman, fondateur de LinkedIn, avec Soros ainsi que les investisseurs Ken et Jen Duda, et Incite Ventures.
Selon cette joyeuse et fortunée équipe, la désinformation serait devenue une préoccupation croissante récemment, en particulier en raison des fausses allégations propagées autour de la pandémie de coronavirus. Ben voyons.
Et pour lutter contre la désinformation, devinez quelle est la solution de Good Information Inc. : l’investissement dans les entreprises de médias. A travers les investissements de Good Information Inc., les milliardaires mondialistes George Soros et Reid Hoffman vont donc pouvoir encore augmenter leur contrôle de nombreux médias, stratégie déjà entamée depuis de nombreuses années via les fondations de Soros et consorts.
Les premiers investissements de Good Information concernent les Etats-Unis et visent en particulier des médias locaux dans des régions rebelles à la pensée dominante. Good Information Inc a donc tout simplement acquis Courier Newsroom, qui dispose d’un réseau de huit médias locaux en Arizona, en Caroline du Nord, au Michigan, en Virginie, en Iowa, au Wisconsin, en Pennsylvanie et en Floride.
D’autres milliardaires développent, toujours au nom de la lutte contre la désinformation, leurs propres outils d’influence des médias. C’est notamment le cas ces derniers mois du fondateur de CraigsList, Craig Newmark, ainsi que de l’ancien PDG de Microsoft, Steve Ballmer, qui ont chacun créé leur « organisation à but non lucratif » en ce sens.
Nul doute que ces « philanthropes » s’intéressent également de près aux médias européens.
Source : medias-presse.info