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  • Toulouse. “De longues minutes d’horreur” : une lycéenne de 16 ans enlevée à son arrêt de bus sous la menace d’un couteau puis violée, un suspect arrêté

    Publié par Guy de Laferrière le 07 mai 2024

    Elle a vécu de longues minutes d’horreur, seule à seule, avec un prédateur. Une lycéenne de 16 ans a été victime d’une violente agression, lundi, en fin de journée. L’adolescente venait de terminer sa journée de cours et patientait à un arrêt de bus lorsqu’elle a été abordée par un homme.

    Ce dernier a prétexté vouloir passer un appel afin qu’elle lui prête son téléphone. La jeune fille ne s’est pas méfiée. Rapidement, l’agresseur a sorti un couteau et s’est mis à menacer la lycéenne.

    Il l’aurait contrainte à le suivre jusqu’à une voiture stationnée un peu plus loin et à monter dedans. Il l’a installée à l’arrière, l’a entravée avec la ceinture et un collier de serrage.

    L’homme a ensuite pris le volant pour se rendre dans un lieu isolé, à l’abri des regards. Toujours muni de sa lame, il aurait contraint sa victime à un acte sexuel. Le suspect, âgé de 26 ans, a pu être interpellé et placé en garde à vue.

    La Dépêche via fdesouche.

  • C’était un 7 mai… 1954 : chute de Diên Biên Phu

    Publié par Guy de Laferrière le 07 mai 2024

    Une guerre perdue à Paris…

    Après six mois de lutte héroïque – illustrée notamment par les nombreux blessés et amputés qui ne voulaient pas quitter le front, ou par les paras volontaires qui sautaient pour rejoindre leurs camarades alors que la bataille était perdue – et une résistance acharnée, parfois à l’arme blanche, face à des troupes supérieures en nombre (dix fois plus, à un moment), en matériel et envoyant des jeunes kamikazes, étant à court de munitions et bombardée sans cesse dans l’enfer de la cuvette, l’armée française (comprenant des légionnaires, des paras, des troupes coloniales, des combattants indigènes), fautes de renforts suffisants, dut décréter le cessez-le-feu.

    A l’issue de cette bataille, 12 000 combattants de l’Union française furent faits prisonniers. Seuls 3 290 seront rendus aux autorités françaises…
    En quelques mois, les deux tiers des 12 000 captifs du Viêt-Minh moururent des mauvais traitements

    Prisonnier
    prisonnier français du Viet Minh

    C’est toute une chevalerie massacrée vainement, et les coupables (secrétaires d’État, président du Conseil…) se lavaient déjà les mains du désastre dont ils étaient responsables.
    Trahissant le pays qui l’hébergeait, le politicien socialiste, apatride et franc-maçon Pierre Mendès France a joué un rôle important dans l’abandon de l’Indochine et de ses habitants.
    Militant de la destruction de l’Empire français et des départements français d’Algérie, il « négociera » avec le Viet-Minh à Genève, de concert avec l’URSS,  les accords qui chasseront définitivement la France de la péninsule asiatique, où il faisait si bon vivre, la livrant à la barbarie communiste.
    Pierre Mendès « France » ne se préoccupa ensuite nullement, bien que président du Conseil, des milliers de Français prisonniers du Viet-Minh dans des conditions atroces.

    Pierre Mendès France, négociant à Genève,  pendant que les soldats – français, coloniaux et indigènes – meurent dans l’enfer de Dien Bien Phu en résistant aux communistes

    Près d’un million de Viet-Namiens du Tonkin fuirent en désordre vers le Sud pour échapper au marxisme dont ils avaient déjà pu faire l’expérience.

    La guerre d’Indochine fut aussi une lutte idéologique contre l’ennemi intérieur qu’est le communisme, qui, représenté à l’époque par le PC«F», collaborait ardemment avec le Viêt-Minh et s’est rendu responsable de la mort de nombreux soldats français :
    soutien à l’ennemi, organisation de grèves, déclenchement d’émeutes, sabotage du matériel militaire français dans les usines (par exemple grenades sabotées pour qu’elles explosent entre les mains des soldats français), envoi d’informations aux assaillants, diffusion de rumeurs destinées à saper le moral des troupes assiégées, comité pour accueillir les soldats de retour en métropole sous les injures…  le PCF a fait de ce qu’il appelait la « sale guerre », sa propre guerre contre ses propres compatriotes.
    Quelle que soit l’époque, quel que soit le lieu, le véritable ennemi des peuples est toujours à l’intérieur.

    De bons livres sur « l’Indo » disponibles ici.
    On rappellera notamment l’ouvrage illustré, publié par Roger Holeindre.

    Attaque du piton 781 par le 1er BEP (installation du camp et premiers combats) :

    Images sur la chanson de Jean-Pax Méfret :

    On peut lire un bon article synthétique sur la guerre d’Indochine, au-delà de l’aspect militaire, ici.

     

    Source : contre-info

  • Décès d'ÉLIANE LE COR

    Publié par Guy de Laferrière le 07 mai 2024

    Thomas Joly

    Eliane Le Cor, militante du Parti de la France depuis sa création en 2009 et ancienne candidate aux élections législatives, nous a quittés ce dimanche 5 mai.
    Sa grande gentillesse et sa bienveillance nous manqueront à tous.
    Le Parti de la France adresse ses condoléances attristées à sa famille et à ses proches.
     
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