Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2020
Par lionel le 12/03/2020
17h35. La Bourse de Paris connaît la plus forte chute de son histoire.
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Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2020
Par lionel le 12/03/2020
17h35. La Bourse de Paris connaît la plus forte chute de son histoire.
Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2020
Greek authorities use a giant fan to blow tear gas back onto the Turkish side of the border —via @e_amyna
Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2020
NICOSIE, Chypre (AP) – Chypre fait plus que doubler le nombre de fonctionnaires chargés de l’examen des demandes d’asile, raccourcit les délais de dépôt des demandes et accélère les expulsions dans le cadre d’une nouvelle série de mesures visant à faire face à une forte augmentation des arrivées de migrants, a déclaré mardi le ministre de l’intérieur du pays.
(…) Le gouvernement de Chypre dit avoir le plus grand nombre de demandeurs d’asile par rapport à sa population parmi tous les autres Etats membres de l’Union européenne – environ 3,8% de sa population.
Le gouvernement accuse la Turquie de faire passer les migrants via l’autoproclamée République turque de Chypre-Nord afin de modifier délibérément la substance démographique du pays.
Le nord de Chypre est occupé depuis 1974 lorsque la Turquie l’a envahie après un coup d’État des partisans de l’union avec la Grèce.
(…) AP News via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2020
Le patrouilleur des douanes Kermorvan, le plus souvent basé dans le port de commerce de Brest, a appareillé, ce mardi, pour l’est de la Méditerranée
Mission inhabituelle pour un navire de ce gabarit (43 mètres), armé par une petite vingtaine d’agents dépendant de la direction régionale des garde-côtes (DRGC) de Nantes. Généralement déployé sur la façade Atlantique, le navire des douanes entame un long transit d’une dizaine de jours pour atteindre les côtes gréco-turques soumises à d’importants mouvements de population depuis les récentes décisions politiques de la Turquie. La mission déclinée au soutien du dispositif Frontex serait programmée pour deux mois.
Sollicité sur le sujet, le service de communication des douanes françaises n’était pas en mesure de confirmer, ce mardi, en fin d’après-midi, la nature et la durée de la mission confiée au navire brestois. […]
Le patrouilleur de la Douane « Kermorvan » va rejoindre la mer Égée
Le patrouilleur de haute mer « Kermorvan », bâtiment de la Douane française basé à Brest (Finistère), va participer aux côtés de son homologue grecque à une mission d’assistance aux migrants en Méditerranée. Cela, pour le compte de l’agence européenne de garde-frontières et garde-côtes Frontex. […]
Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2020
La commission des lois de l’Assemblée nationale souhaite légiférer pour « encadrer » les djihadistes de nationalité française appelés à sortir de prison : 150 environ d’ici 2022. La proposition de loi a été portée par un groupe La République en Marche.
Les mesures recommandées, on va le voir, sont d’une sévérité et d’une pertinence fidèles à ce qu’est devenu notre Etat : un organisateur de sa propre déliquescence.
Premièrement, les terroristes (ou les ennemis, qui est le terme adéquat lorsque l’on évoque des acteurs d’une guerre civile) devront répondre aux convocations du juge. On en tremble pour eux. Ensuite, ils se verront dans la très contraignante obligation d’établir leur résidence dans un lieu déterminé (en France donc, sur le sol qu’ils considèrent comme impur et voué à la conquête). Enfin, ils devront obtenir une autorisation spéciale pour changer de résidence, changer de métier ou se rendre à l’étranger.
En outre, « une interdiction d’entrer en relation et de paraître dans certains lieux et un placement sous surveillance électronique mobile » pourra être mise en place. On comprend donc que ne plus fréquenter des mosquées salafistes et être surveillé par l’Etat ne constitueront pas des mesures automatiques pour ces ennemis de l’intérieur. Pour rappel, l’assassin du Père Hamel, en 2016, portait un bracelet électronique au moment de son acte.
Le texte de la proposition de loi reconnait que « certaines de ces personnes peuvent présenter, à leur sortie de détention, de sérieux risques de réitération ou de passage à l’acte. Elles seront suivies, certes, mais l’état de notre droit ne garantit pas qu’elles puissent l’être de manière adaptée à leur dangerosité potentielle ». Or, les faibles mesures présentées jusqu’ici nous permettent de douter de l’efficacité du règlement de la menace.
De plus, évaluer de façon médicale ces sujets semble totalement inapproprié pour beaucoup d’entre eux : « il peut être difficile d’établir médicalement leur dangerosité, beaucoup ne souffrant pas de troubles psychologiques ou pratiquant la dissimulation ». De quoi faire revoir sa copie à l’outil médiatique arguant de la multiplication inexplicable des « déséquilibrés » en France.
Alors, que faire pour protéger les Français contre ces ennemis qui ont déclaré la guerre à la France, tout en ne pouvant pas être renvoyés à l’étranger ? Un système simple existait dans le passé afin de gérer les éléments les plus dangereux de la société : la Guyane.
Si le système carcéral de Cayenne est aujourd’hui l’objet de nombreuses représentations négatives (et à juste titre pour beaucoup d’entre elles), le système du bagne semble malgré tout le plus adapté à la situation que connait la France de nos jours. Si l’on éloigne la solution la plus radicale, que constitue la peine de mort, pour des raisons de respect de la personne humaine (dans sa nature, et non dans les cas particuliers qui nous intéressent), alors le retrait définitif de ces terroristes du sein de la société s’impose.
Car, quel sera le risque le plus insoutenable ? Celui de voir un terroriste épouser une hypothétique rédemption sans aucune chance de recouvrir sa liberté, ou celle qui consiste à libérer tous ces soldats de la terreur en croisant les doigts pour qu’ils ne s’en prennent pas à des Français installés à une terrasse de café, écoutant de la musique, ou déambulant dans les rues de Paris ?
Pour ceux qui se sont retranchés eux-mêmes de leur propre pays, l’exil éternel dans un bagne dédié à cet effet semble une réponse des plus logiques et appropriées. Que le mot Cayenne devienne, à leurs yeux, l’archétype de la terreur qu’ils cherchent tant à nous inséminer.
Source : 24heuresactu