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  • «Nous comptons 61.100 détenus, à la date du 23 avril, pour 61.109 places. La population détenue a ainsi diminué de 11.500 personnes depuis le 16 mars»,

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2020

    Par  le 29/04/2020

    Le nombre de détenus dans les prisons françaises a diminué de 11.500 depuis le 16 mars en raison de la crise du coronavirus, faisant chuter le taux de population carcérale en dessous de 100%, a déclaré mercredi 29 avril la ministre de la Justice Nicole Belloubet.

    «Nous comptons 61.100 détenus, à la date du 23 avril, pour 61.109 places. La population détenue a ainsi diminué de 11.500 personnes depuis le 16 mars», a annoncé au Monde la garde des Sceaux, évoquant «une situation sans précédent»«Le taux d’occupation moyen des prisons est désormais inférieur à 100% des capacités», a-t-elle poursuivi. Les établissements pénitentiaires étaient confrontés depuis des années à une surpopulation chronique, ce qui a valu à la France d’être condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) en janvier.

    Pour Nicolas Belloubet, «cette diminution s’explique majoritairement par la réduction de l’activité pénale liée à la baisse de la délinquance dans le contexte du confinement». De plus, 5300 détenus qui étaient «à quelques semaines de la fin de leur peine» ont été libérés.

  • Marseille : la police contrôle les sportifs, pas les marchés fréquentés par les immigrés

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2020

    Posté par Eric Martin  Il y a 15 heures
     
    Marseille : la police contrôle les sportifs, pas les marchés fréquentés par les immigrés

    Marché de Noailles aujourd’hui à Marseille 1er arrondissement jour de ramadan bon corona à tous

  • Une scandaleuse cérémonie religieuse à Biarritz pour les funérailles d’un patron notoirement homosexuel

    Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2020

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    Le journal La Dépêche a publié dans sa rubrique nécrologique l’annonce du décès de Jean-Philippe Ruggieri, directeur général du grand groupe immobilier NEXITY.

    L’annonce nous apprend que le défunt avait 51 ans, 2 enfants.

    Parmi les personnes qui font part du décès figure Guillaume DUJON, « son époux » (sic).

    Or, l’annonce nécrologique de ce riche défunt notoirement homosexuel signale que les funérailles étaient accompagnées d’une cérémonie religieuse à l’église de Biarritz.

    Rappelons pourtant que, selon les règles de l’Eglise catholique, il n’aurait pas pu avoir de funérailles dans une église, son homosexualité notoire confirmée par son “mariage” avec un autre homme en faisant un pécheur public selon la théologie morale et le droit canon.

    Même si l’actuel Code de droit canonique préfère l’expression “pécheur manifeste”, il est toujours stipulé dans le canon 1184 :

    Doivent être privés des funérailles ecclésiastiques, à moins qu’ils n’aient donné quelque signe de pénitence avant leur mort, les (…) pécheurs manifestes auxquels les funérailles ecclésiastiques ne peuvent être accordées sans scandale public des fidèles.

    Ce qui signifie que même un prêtre conciliaire ne pouvait accorder de funérailles ecclésiastiques à ce chef d’entreprise.

    Des catholiques ont interrogé le curé du lieu qui a répondu par la formule habituelle : les temps ont changé.

    L’évêché n’a rien trouvé à redire !!!

     

    Source : medias-presse.info

  • Vente du patrimoine du Mobilier national pour renflouer les hôpitaux

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2020

    « Fauteuil sans valeur patrimoniale, ni valeur d’usage… »

    Le Mobilier urbain, qui gère l’ensemble du patrimoine mobilier de l’État, issu en partie des châteaux de la Loire, par exemple – dont  le fameux château de Chambord presque entièrement dépouillé de ses meubles – vient de se donner le rôle, comme le voudrait nous faire croire cet article du Figaro, de  renflouer les finances des hôpitaux publics pour « contribuer à l’effort de la Nation », au travers d’un vente aux enchères.

    « Le bon goût des ministres macroniens illustré ci-dessus… »

    On ne connait pas pour l’heure les objets mis en vente. On ne sait pas davantage si des étrangers pourront ou non acquérir ce mobilier ancien, mais on nous assure toutefois qu’il n’y a rien à craindre et que ce ne sont que des objets inutilisés, sans valeur historique.

    Inutilisés par des gens sans goût, sans valeur historique pour des gens sans racines, cela va de soi.

    Il s’agit du hasard, sans doute, si la vente se fera au profit de la fondation dirigée par Brigitte Macron, qui pourra ainsi se targuer d’avoir sauvé les hôpitaux, en sacrifiant trois fois rien, tout au plus quelques fauteuils et meubles Louis-Philippe, dont on nous dit que Marlène Schiappa et consort ne veulent pas.

     

    Source : contre-info

  • Un policier homosexuel dépouillé de son arme lors d’une rencontre à Marseille

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2020

    « Œuvre d’art » dans un commissariat de Marseille.

    Un article du Point de ce matin nous apprend qu’un gardien de la paix homosexuel a commis l’imprudence de prendre rendez-vous avec un autre homme sur internet, de l’inviter chez lui, puis de se faire dérober son arme de service, un Sig Sauer, chargée de 30 cartouches de 9mm, ainsi que son téléphone, après avoir refusé de le payer pour ses « services ».

    Le nombre de cartouches indiqué correspond bien à deux chargeurs remplis pour cette arme.

    L’article est signé Aziz Zemouri, dont nous parlions récemment suite à l’affaire de l’interruption de la messe de Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris par des policiers. Zemouri pointait alors du doigt la clandestinité et l’illégalité de la messe, alors que celle-ci n’était ni clandestine, ni illégale.

    Contre-info.com est en mesure de vous livrer quelques informations exclusives, qu’Aziz Zemouri s’est bien gardé de révéler :

    La victime, jeune stagiaire dans la police, a rencontré un homme d’une trentaine d’année de type nord-africain, sur un site de rencontres sans lendemains dans le but d’avoir une relation sexuelle avec lui.

    Le site internet, que nous ne citerons pas, semble également recueillir des annonces à demi-mots de prostitué(e)s, expliquant le possible quiproquo entre le policier et son invité.

    Notre témoin restera bien sûr anonyme afin de le protéger.

     

    Source : contre-info