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  • 30 avril 1863 – Bataille de Camerone. Il y a 157 ans, au Mexique, à 62 contre 2000, les légionnaires écrivaient une page d’histoire de la Légion étrangère.

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2020

    Par  le 30/04/2020

    La bataille de Camerone est un combat qui opposa une compagnie de la Légion étrangère aux troupes libérales du gouvernement mexicain le 30 avril 1863 lors de l’expédition française au Mexique.

    Le Récit de Camerone est lu devant les troupes dans chaque régiment de la Légion étrangère tous les 30 avril, jour anniversaire de la bataille, et fête de la Légion.

    « L’armée française assiégeait Puebla. La Légion avait pour mission d’assurer, sur cent vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois. Le colonel Jeanningros, qui commandait, apprend, le 29 avril 1863, qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraire, du matériel de siège et des munitions était en route pour Puebla. Le capitaine Danjou, son adjudant-major, le décide à envoyer au-devant du convoi, une compagnie. La 3e compagnie du Régiment étranger fut designée mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le capitaine Danjou en prend lui-même le commandement et les sous-lieutenants Maudet, porte-drapeau, et Vilain, payeur, se joignent à lui volontairement.

    Le 30 avril, à 1 heure du matin, la 3e compagnie, forte de trois officiers et soixante deux hommes, se met en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrête à Palo Verde pour faire le café. À ce moment, l’ennemi se dévoile et le combat s’engage aussitôt. Le capitaine Danjou fait former le carré et, tout en battant en retraite, repousse victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant à l’ennemi des premières pertes sévères.

    Arrivé à la hauteur de l’auberge de Camerone, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de trois mètres de haut, il décide de s’y retrancher, pour fixer l’ennemi, et retarder ainsi le plus possible le moment où celui-ci pourra attaquer le convoi.

    Pendant que les hommes organisent à la hâte la défense de cette auberge, un officier mexicain, faisant valoir la grosse supériorite du nombre, somme le capitaine Danjou de se rendre. Celui-ci fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ». Puis, levant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures. Jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistent à 2 000 Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins.

    À midi, le capitaine Danjou est tué d’une balle en pleine poitrine. À 2 heures, le sous-lieutenant Vilain tombe, frappé d’une balle au front. À ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge.

    Malgré la chaleur et la fumée qui viennent augmenter leurs souffrances, les légionnaires tiennent bon, mais beaucoup d’entre eux sont frappés. À 5 heures, autour du sous-lieutenant Maudet, ne restent que douze hommes en état de combattre. À ce moment, le colonel mexicain rassemble ses hommes et leur dit de quelle honte ils vont se couvrir s’ils n’arrivent pas à abattre cette poignée de braves (un légionnaire qui comprend l’espagnol traduit au fur et à mesure ses paroles). Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi à ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan adresse encore une sommation au sous-lieutenant Maudet ; celui-ci la repousse avec mépris.

    L’assaut final est donné. Bientôt il ne reste autour de Maudet que cinq hommes : le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Leonhard. Chacun garde encore une cartouche ; ils ont la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face. À un signal, ils déchargent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombent, frappés à mort. Maine et ses deux camarades vont être massacrés quand un officier mexicain se précipite sur eux et les sauve. Il leur crie : « Rendez-vous ! »

    « Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes.

    « On ne refuse rien à des hommes comme vous ! », répond l’officier.

    Les soixante hommes du capitaine Danjou ont tenu jusqu’au bout leur serment. Pendant 11 heures, ils ont résisté à deux mille ennemis, en ont tué trois cents et blessé autant. Ils ont par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.

    L’empereur Napoléon III décida que le nom de Camerone serait inscrit sur le drapeau du Régiment étranger et que, de plus, les noms de Danjou, Vilain et Maudet seraient gravés en lettres d’or sur les murs des Invalides à Paris.

    En outre, un monument fut élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription :

    « Ils furent ici moins de soixante
    opposés à toute une armée,
    sa masse les écrasa.
    La vie plutôt que le courage
    abandonna ces soldats Français
    le 30 avril 1863.
    à leur mémoire, la patrie éleva ce monument »

    Depuis, lorsque les troupes mexicaines passent devant le monument, elles présentent les armes. »

    Wikipédia via fdesouche

     
  • Thomas Joly, président du Parti de la France, répond aux questions de Riposte laïque

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2020

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    Source Riposte laïque cliquez là

    Avant d’aborder les questions politiques, une question personnelle : comment se passe, pour vous, le confinement, et comment le vivez-vous ?

    Thomas Joly : Je suis chez moi depuis bientôt deux mois avec femme, enfants et animaux de compagnie, je n’ai travaillé que quelques jours de ci de là. J’ai la chance d’habiter une maison assez spacieuse et d’avoir un jardin, ce qui me rend sûrement cette séquestration arbitraire plus supportable que pour quelqu’un coincé tout seul dans un appartement. Donc je le vis plutôt bien même si j’estime que ce confinement est une aberration et qu’il ne réglera rien.

    Riposte Laïque : Quel est votre regard sur la situation ahurissante que connaît notre pays, depuis deux mois, et surtout depuis un confinement qui doit durer jusqu’au 11 mai ?

    Thomas Joly : La gestion de cette crise sanitaire a révélé, une fois encore, la nullité affligeante des petits bureaucrates émasculés qui sont aux manettes.

    Loin d’être la solution, le confinement général fait partie du problème. Il révèle l’impuissance du pouvoir qui tente ainsi de camoufler sa gestion initiale chaotique et idéologique de la crise (comme par exemple son refus de fermer les frontières quand il était encore temps), son imprécision en matière sanitaire, les carences lourdes de conséquences de notre économie nationale en matière industrielle dues aux délocalisations et à la doxa mondialiste, la situation dramatique de notre système hospitalier et, plus généralement, la tiers-mondisation de l’État, le confinement retarde l’immunité collective, impose un contrôle de masse de type soviétique et ruine le pays (effondrement de 8 % du PIB).

    Riposte Laïque : Sur la gestion de ce dossier, qu’avez-vous pensé de l’attitude de l’opposition de gauche de Macron, et de celle du camp patriote, ou nationaliste, notamment le Rassemblement national, qui a demandé, dès le début, des mesures que le gouvernement a prises bien plus tard ?

    Thomas Joly : Comme souvent, j’ai trouvé l’opposition bien mièvre et peu combative (RN compris). Les opposants au gouvernement qui ont accès aux médias sont soigneusement choisis, à gauche comme à droite, pour jouer un rôle de contradicteur de façade, mais en aucun cas ils ne doivent remettre en cause un Système pourri jusqu’à la moelle. Sous peine de se voir exclu des médias d’État.

    De son côté le Parti de la France a dénoncé sans aucune ambiguïté ce confinement de type totalitaire, en particulier pour les petits Blancs, car dans les nombreuses enclaves afro-islamiques, la racaille le brave, depuis le début, dans une impunité quasi totale.

    Riposte Laïque : Quel est votre regard sur l’attitude de ce gouvernement, face aux émeutes des quartiers islamisés, et à la pratique du ramadan ?

    Thomas Joly : Comme d’habitude, alors que le gouvernement a donné des consignes aux forces de l’ordre pour traquer les Gaulois dans les forêts, sur les plages, dans les montagnes, dans les champs, dans les parcs, etc., parfois à l’aide de drones, d’autres consignes ont été données pour ne surtout pas intervenir dans les banlieues afro-musulmanes qui ont pris pour prétexte, pour s’enflammer une nouvelle fois, l’interpellation musclée d’une racaille par la BAC à Villeneuve-La-Garenne.

    Le ramadan a également fait l’objet de directives de complaisance, le préfet des Bouches-du-Rhône, Emmanuel Barbe, est venu rassurer les musulmans de Marseille au micro d’une radio communautaire locale. Il a expliqué que la police n’interviendra pas pour empêcher les voisins de se visiter pour fêter, nuitamment et bruyamment, la rupture du (faux) jeûne. Alors même que le moindre barbecue de Français repéré par des policiers ou gendarmes zélés fait l’objet d’une amende…

    Il y a d’ailleurs eu, jusqu’alors, plus de 950 000 amendes distribuées, selon Castaner, aux contrevenants au confinement républicain. Je serai curieux de connaître les territoires où ont été dressés les procès-verbaux ainsi que les origines ethniques des personnes verbalisées. Sachant que le tarif est de 135 € par contravention, je vous laisse faire le calcul de ce que ce racket, qui ressemble étrangement à celui des automobilistes, va rapporter à l’État…

    Riposte Laïque : Édouard Philippe a présenté son plan de déconfinement, ce mardi 28 avril. Que demande le Parti de la France ?

    Thomas Joly : Comme prévu, l’intervention d’Édouard Philippe a été longue, verbeuse et confuse. La réouverture prématurée des écoles va conduire à des contraintes insupportables et surtout inapplicables. Et tout le reste est du même acabit. Le confinement fut une improvisation, le déconfinement sera hasardeux.

    Le Parti de la France demande  depuis le 14 avril :

    1 – De procéder rapidement à la mise a disposition de masques de protection pour l’ensemble des Français, masques produits par des entreprises françaises, au besoin par réquisition d’entreprises compétentes ;

    2 – De recourir à un usage massif de tests ;

    3 – De permettre sur l’ensemble du territoire, y compris en médecine de ville, le traitement par chloroquine de tous les cas avérés au moment de l’apparition des premiers symptômes ;

    4 – De procéder à un contrôle drastique et permanent de nos frontières nationales.

    Dès lors, rien ne justifiera plus le maintien de la chape de plomb que le régime a abattu sur la Nation.

    Le Parti de la France appelle les Français à la responsabilité individuelle et collective. Le port du masque doit être généralisé et les mesures barrières et de distanciation plus respectées que jamais. L’interdiction des grands rassemblements doit être maintenue pour un temps. Mais le confinement général, lui, doit cesser, la vie économique et sociale reprendre, les commerces être rouverts.

    Riposte Laïque : Tout le monde parle du jour d’après. Dans le contexte actuel, comment voyez-vous les choses après le déconfinement ?

    Thomas Joly : Je crains que le « retour à la normale » prenne énormément de temps. D’une part parce pour l’instant, nous ne sommes toujours pas débarrassés de ce virus aux origines mystérieuses et aux inquiétantes mutations. D’autre part parce que nos gouvernants ont pris goût au contrôle totalitaire des Français. Je crains que, sous le prétexte fallacieux de la « santé publique », l’État pérennise un grand nombre de mesures liberticides ; l’occasion est trop belle, et les Français toujours si naïfs…

    Riposte Laïque : Le Parti de la France a-t-il quelques projets à l’étude, dans ce contexte fort difficile ?

    Thomas Joly : Le Parti de la France reprendra les activités militantes de terrain dès que ce sera possible. Le grand meeting contre la colonisation migratoire et islamique qui devait avoir lieu le 18 avril prochain est reporté en septembre. La date sera annoncée sous peu.

    Tous les 15 jours environ, j’enregistre une vidéo où je réponds aux questions des internautes, j’invite les lecteurs de Riposte Laïque à y participer.

    Le Parti de la France réagit également à l’actualité quotidiennement par l’intermédiaire de communiqués, d’articles ou de tweets.

    Le site du PdF cliquez ici

  • À peine libéré à mi-peine, l’homme poursuivi pour féminicide harcèle une nouvelle femme à Ronchin (59)

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2020

    Par  le 29/04/2020

    Une habitante de Ronchin vient de porter plainte. À peine libéré, Hocine Hamoudi, qui l’avait déjà importunée il y a deux ans, a tenté de forcer sa porte. Une récidive qui relance les interrogations suscitées par une libération à mi-peine, quasiment sans contrainte, d’un homme réputé dangereux et dont le nom est déjà apparu dans un dossier de féminicide à Hazebrouck.

    A relire :

     
  • Terrorisme : un voisin du suspect de l’attaque de Colombes en garde à vue. Il dit avoir les mêmes « projets » que le mis en cause

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2020

    Par  le 29/04/2020

    Lundi, à Colombes dans les Hauts-de-Seine, lors de la perquisition au domicile de Youssef Tihlah, 29 ans, mis en cause pour tentative d’assassinat au volant de sa voiture sur deux policiers à moto, un autre résident de l’immeuble a suscité l’intérêt des enquêteurs sur place.

    Ce soir-là, malgré le quadrillage de la police judiciaire et des effectifs de police locaux, dans cette procédure classée terroriste par le Parquet national antiterroriste, un jeune homme de 20 ans n’a pas hésité à défier les forces de l’ordre. Selon une source proche de l’enquête, l’adulte aurait tenu son portable en main dans lequel on pouvait voir des images du crime perpétré par son voisin.

  • La Macronie, ce foutoir totalitaire.

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    Depuis le début de la crise du COVID-19 l'Exécutif patauge dans la semoule grise, multiplie erreurs, mensonges et approximations, tétanisé à la fois par son idéologie mondialiste, la bureaucratie qui lui sert de tuteur, le poids des lobbies de la santé, les pressions des laboratoires, et les lourdeurs de l'Etat bancal jacobin. 
     
    Il n'y avait aucune raison pour que les choses changent. Le confinement fut  une improvisation. Le déconfinement sera hasardeux. 
     
    Déconfinement ? Plutôt, si l'on en croit l'intervention ce mardi du Premier ministre devant l'Assemblée nationale, une autre phase de l'enfermement des Français. Car, que l'on ne s'y trompe pas. Les bredouillements du gouvernement et le flou du pouvoir sont lourdement accompagnés par une réelle tentation autoritaire de type néosoviétique qui, par le recours aux contrôles, aux tracages et aux assignations, fait de ce régime une république libéralo-bananière. 
     
    Edouard Philippe vient de le confirmer : erratique et pagailleuse, la Macronie est bien  un foutoir.
     
    Mais un foutoir totalitaire.