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  • Le clip contre les harcèlements de rue produit par L’Oréal : les prédateurs sont tous blancs ! Pas un Noir ou un Arabe à l’horizon…

    Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2020

    Par Eric Martin

    Le clip contre les harcèlements de rue produit par L’Oréal : les prédateurs sont tous blancs ! Pas un Noir ou un Arabe à l’horizon…

    Les victimes et les chevaliers blancs sont, eux, de toutes les couleurs. Pour découvrir l’histoire (très réaliste !) de Rachida harcelée par Jérôme ou de Mulan tripotée par Ambroise, c’est ici :

     

    Source : ndf

  • Joué-lès-Tours (37) : le candidat UDMF fait campagne en arabe et qualifie la maire de « gaouri »

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2020

    Par  le 11/03/2020

    Pierre Sautarel@FrDesouche
     

    A Joué-lès-Tours, le candidat musulman qui nie tout caractère communautariste, fait campagne en arabe : "Le maire c'est un Gaouri"

    Du turc gavur, mécréant, infidèle, manière péjorative de qualifier les Français de souche, les Blancs...

    Vidéo intégrée
     
    Cette année, les élections municipales sont marquées par l’émergence des listes dites « communautaires ». Ces dernières sont présentes dans dix villes, dont Joué-lès-Tours en Indre-et-Loire. L’Union des Démocrates Musulmans Français (UDMF) y est candidate. Mais quel est exactement le programme de l’UDMF et de Drice Benama ? Et surtout, respecte-t-elle les règles de la laïcité ? Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 20H du 10/03/2020 présenté par Gilles Bouleau sur TF1.

    Voir le reportage dans son intégralité

     

    Source : fdesouche

  • Les garde-côtes turcs attaquent un navire des garde-côtes grecs en mer Égée, Erdogan s’en félicite, la Grèce convoque l’ambassadeur turc

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2020

    Par  le 11/03/2020
    Liana Spyropoulou @LSpyropoulou

    While everyone thinks its calm in the because there are no refugee boats arriving in the islands, ‘s @HCoastGuard is being dangerously harassed by a Turkish vessel.
    Exclusive footage obtained by @BILD shows what is really happening away from the media.

    Vidéo intégrée

    Le correspondant du Bild en Grèce, a posté une vidéo de l’incident, dans laquelle on peut entendre les officiers grecs sur le navire dire : « Ils nous ont percutés par derrière, nous sommes dans les eaux grecques et ils nous ont percutés ».

    Mercredi, le président turc Erdogan a semblé applaudir la tentative apparemment délibérée d’un bateau des garde-côtes turcs de percuter un bateau des garde-côtes grecs au large de l’île grecque de Kos.

    « Ils s’enfuiront et nous les poursuivrons. C’est ainsi que cela se passera désormais », a déclaré M. Erdogan, selon des propos rapportés par les médias grecs.

    Ses commentaires font suite à une déclaration du ministère grec de la marine qui a déclaré qu’il considérait l’incident survenu au large des côtes de Kos comme une acte délibéré des garde-côtes turcs de percuter le bateau grec.

    La Grèce annonce avoir convoqué l’ambassadeur turc.

    Le bateau grec patrouillait la frontière maritime au moment de l’incident, qui a causé quelques dommages au bateau mais aucun blessé.

    Ekathimerini / Bild via fdesouche

  • RUSSIE:  POUTINE OUVRE LA VOIE À SON MAINTIEN AU KREMLIN

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2020

    Si la Cour constitutionnelle donne son aval à la révision voulue par Vladimir Poutine, le maître du Kremlin pourrait en théorie rester deux mandats supplémentaires, soit jusqu'en 2036.

    Vladimir Poutine s'est dit favorable à l'idée de «réinitialiser» le nombre de ses mandats présidentiels à l'occasion de la réforme de la loi fondamentale.

    Vladimir Poutine s'est dit favorable à l'idée de «réinitialiser» le nombre de ses mandats présidentiels à l'occasion de la réforme de la loi fondamentale. Image: Keystone

    Vladimir Poutine a ouvert mardi la voie à son maintien à la présidence après la fin de son actuel mandat. Les députés russes ont adopté la vaste révision constitutionnelle qu'il avait proposée.

    Répondant à la Douma à la proposition d'une députée, le président russe s'est dit favorable à l'idée de «réinitialiser» le nombre de ses mandats présidentiels à l'occasion de la réforme de la loi fondamentale, pour lui permettre de participer aux élections de 2024.

    Il a assuré vouloir que la Cour constitutionnelle autorise d'abord la modification et que les Russes l'approuvent lors du «vote populaire» sur la refonte de la Constitution prévu le 22 avril.

    Selon la Constitution actuellement en vigueur, Vladimir Poutine n'a pas le droit de se représenter en 2024, le texte imposant une limite de deux mandats consécutifs. Ce n'est qu'en laissant en 2008-2012 la présidence à Dmitri Medvedev, et en devenant lui-même Premier ministre, qu'il aura pu effectuer deux fois deux mandats consécutifs depuis son accession au Kremlin en 2000.

    Un pouvoir fort

    Un «pouvoir présidentiel fort est absolument nécessaire à la Russie», a déclaré mardi M. Poutine, 67 ans, jugeant que la stabilité «devait être prioritaire». Pour lui, le pays a besoin de «changement par l'évolution» car il a vécu «assez de révolutions» dans son histoire. Si la Cour constitutionnelle donne son aval, ce qui semble probable, Vladimir Poutine pourrait en théorie rester deux mandats supplémentaires, soit jusqu'en 2036.

    Les députés de la Douma ont dans la foulée adopté cet amendement ainsi que tous les autres proposés par le chef de l'Etat depuis janvier. Un total de 382 ont voté pour, 44 se sont abstenus et aucun n'a voté contre. Une dernière lecture aura lieu mercredi à la chambre basse, avant un vote le même jour au Sénat.

    Valeurs conservatrices

    Vladimir Poutine avait pris tout le monde de court en janvier en annonçant qu'il voulait lancer une révision constitutionnelle, la première depuis l'adoption de la Constitution russe en 1993. Cette annonce avait immédiatement été considérée par les analystes comme une manière de préparer l'après-2024.

    Les révisions, adoptées en première lecture à l'unanimité par les députés au début de l'année, concernaient à la fois le système politique et des garanties socio-économiques. Elles renforcent le pouvoir présidentiel, notamment en matière de nomination des juges.

    Vladimir Poutine a ensuite soumis 24 pages supplémentaires d'amendements adoptées mardi notamment pour défendre les valeurs conservatrices qu'il porte. La Constitution se dote ainsi de la mention de «la foi en Dieu» des Russes ainsi que du principe d'un mariage possible uniquement entre un homme et une femme.

    En outre, si avec la réforme constitutionnelle le Parlement se voit accorder le choix du Premier ministre, le président pourra toujours limoger à sa guise le chef du gouvernement et tout membre du cabinet.

    Autre innovation: les juges, les élus et les responsables politiques au niveau fédéral auront l'interdiction de posséder une nationalité étrangère ou un permis de séjour dans un autre pays.

    Pérenniser le système

    L'opposition a vigoureusement dénoncé cette réforme, affirmant que le président voulait rester au pouvoir indéfiniment. «Poutine est au pouvoir depuis 20 ans, mais il pourra aller (à l'élection) comme si c'était la première fois», s'est insurgé sur Twitter Alexeï Navalny, la figure de proue de l'opposition, dans la foulée du vote des députés.

    Confronté à une chute du niveau de vie et après une impopulaire réforme des retraites, M. Poutine a aussi décidé d'inscrire dans la Constitution le principe d'un salaire minimum garanti et d'une indexation des pensions de retraite.

    Pour les analystes, ces décisions sont surtout destinées à convaincre les Russes de prendre part au «vote populaire» alors que, selon un récent sondage de l'institut indépendant Levada, 64% d'entre eux n'ont pas d'idée claire de ce que les amendements constitutionnels proposent. (ats/nxp)

     

    Source : lematin

  • Les collectivités locales polonaises défendent leur droit d’être pro-famille

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2020

     

    Par Olivier Bault.

    Article originellement paru en français dans le quotidien Présent.

    Pologne – La région Centre – Val-de-Loire, dirigée par les socialistes et les écologistes, a rompu ses relations avec la région polonaise de Petite-Pologne (Małopolska), dont la capitale est à Cracovie, elle-même aux mains du parti conservateur PiS. Tout cela à cause d’une résolution adoptée par le conseil régional de Petite-Pologne en avril 2019 et qui tient en peu de lignes (et que le journal Présent a traduit en français ici), puisqu’elle se contente de déclarer le soutien des autorités régionales à la famille traditionnelle et leur intention de protéger les écoles de la région de toute propagande LGBT. Une propagande et une idéologie dénoncées comme remettant en cause les libertés et droits fondamentaux garantis par le droit international et la constitution polonaise.

    Le scandale a commencé avec la publication en janvier sur Internet d’un « Atlas de la haine » par un groupe de militants LGBT. Cet « Atlas de la haine », relayé en France par le magazine LGBT Têtu, est une carte de la Pologne avec, en rouge, toutes les collectivités locales qui ont adopté ce type de résolutions ou bien encore une Charte des collectivités locales pour les droits de la famille élaborée par l’Institut Ordo Iuris, une organisation d’avocats et juristes pro-vie et pro-famille. Si cette charte est un engagement des collectivités locales polonaises à s’engager en faveur des familles comprises au sens normal, traditionnel, du mot, le sigle LGBT et le mot « homosexuels » n’y figurent pas, et il n’y est bien sûr aucunement question de discriminations à l’égard de quiconque, y compris sur la base de l’orientation sexuelle. Quand des médias français prétendent que cette charte prévoirait de supprimer toute aide financière aux organisations luttant pour les droits des personnes homosexuelles, ils se réfèrent en fait à un paragraphe par lequel les collectivités locales s’engagent à ne pas financer d’organisations remettant en cause l’ordre constitutionnel polonais. Y compris, donc, les organisations remettant en cause la nature millénaire du mariage rappelée dans la constitution polonaise, celle-ci imposant aux autorités publiques de soutenir le mariage et la famille.

    Toujours est-il que les auteurs de ce fameux « Atlas de la haine » ne font pas la distinction sur leur carte entre la Charte des droits des familles et les résolutions anti-idéologie LGBT et qu’ils l’accompagnent d’affirmations mensongères, parlant de « zones libres de personnes LGBT ».

    C’est pourquoi plusieurs représentants de collectivités locales signataires de la Charte des droits de la famille (déjà adoptée par 37 collectivités locales, dont une voïvodie) et le président de l’ONG Ordo Iuris ont annoncé le 3 février en conférence de presse à Varsovie qu’ils allaient engager des poursuites en diffamation à l’encontre des auteurs de cet « Atlas de la haine ».

    Les représentants de ces collectivités locales ne comprennent que l’on puisse qualifier la Charte des droits des familles de haineuse à l’égard des personnes homosexuelles. « C’est comme-ci nous signions une Charte des seniors et que quelqu’un considérait que c’est contre les jeunes », a expliqué l’un d’eux. « Les personnes qui nous diffament ne connaissent de toute évidence pas cette charte », a dit un autre. Un élu local, qui tient depuis 25 ans avec son épouse un foyer familial d’accueil pour enfants, affirme avoir voté pour cette charte pour une raison bien simple, fondée sur son expérience d’éducateur : « le rêve de chaque enfant est d’être avec ses deux parents, c’est d’avoir un papa et une maman même quand il sait que ce n’est pas possible ». Et c’est pourquoi, estime-t-il, il est important de soutenir les familles au niveau local.

    Roman Łucarz (PiS), président du powiat (comté) de Tarnów, où se trouve la commune de Tuchów avec laquelle le conseil municipal de Saint-Jean-de-Braye, en France, a décidé de rompre un jumelage vieux de 25 ans, interrogé par votre correspondant sur la décision de la municipalité française : « La commune de Tuchów a pris modèle sur une résolution que nous avions nous-même adoptée au niveau du powiat. Nous avions voulu exprimer notre position, dire quelles valeurs nous voulions transmettre aux élèves dans nos écoles. En tant que personnes libres, si nous sommes catholiques, si nous sommes pour les valeurs qui ont fait notre identité nationale depuis mille ans, c’est-à-dire la foi et la famille, nous avons le droit et le devoir de l’exprimer de manière claire. Un jumelage ne consiste pas à être d’accord sur tout. Nous sommes des gens différents, des collectivités locales différentes, et si les Français sont pour l’idéologie LGBT, je ne leur en fais pas le reproche. Ils sont libres eux aussi. »

    conférence de presse organisée par l’Institut Ordo Iuris. Au micro, Jerzy Kwasniewski, le président d’Ordo Iuris, en train de présenter la Charte des collectivités locales pour les droits de la famille (en polonais : Samorządowa Karta Praw Rodzin). Photo : Olivier Bault.

    Source : visegradpost