Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Montpellier : un migrant “mineur isolé” tente de poignarder un gendarme à plusieurs reprises, puis, est remis en liberté

    Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2020

    Montpellier : un gendarme esquive des coups de couteau, des policiers menacés

    Mercredi, à Montpellier, un gendarme a esquivé des coups de couteau et des policiers nationaux ont été menacés. Les auteurs présumés ont été interpellés.

    […]

    Un des suspects se fait menotter, mais, son complice sort un couteau et tente de poignarder un des militaires à plusieurs reprises, avant d’être neutralisé. 

    […]

    Ils ont été remis en liberté et confiés à la cellule d’urgence des mineurs de l’aide sociale à l’enfance, en attendant d’être convoqués par un juge des enfants au tribunal judiciaire.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Métropolitain via fdesouche

  • Il y a quatre siècles, l’Espagne expulsait les Morisques.

    Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2020

    De 1609 à 1614, après avoir vainement tenté une politique d’assimilation-intégration, l'Espagne procéda à l’expulsion des Morisques (convertis au catholicisme mais demeurant secrètement musulmans), et des Mudéjar (musulmans demeurés en Espagne après la Reconquista). Fernand Braudel  a justement écrit à ce sujet qu’ : « II ne s'agit point de savoir si l'Espagne a bien ou mal fait en expulsant les Morisques, mais de savoir pourquoi elle l'a fait.

    AVT_Bernard-Lugan_2614.jpgQuelles furent donc les raisons de ces expulsions ?

    La politique suivie depuis les débuts de la Reconquista par les souverains espagnols avait été la tolérance religieuse. Du Xe au XVe siècle, de nombreuses communautés musulmanes étaient ainsi passées sous le contrôle chrétien tout en conservant officiellement (les Mudejar) ou clandestinement (les Morisques), leur religion. Durant des décennies, l’Espagne choisit la politique de  l’intégration et de l’assimilation à travers la conversion, tout en n’ignorant pas qu’aux yeux de la loi islamique il était possible à un croyant de faire semblant de s’être rallié au catholicisme tout en continuant à pratiquer en secret sa religion. Néanmoins, en 1526, à la « Sainte Inquisition » chargée de veiller à la sincérité des conversions  Charles-Quint demanda de ne pas s’exercer avec rigueur contre les Morisques au motif qu’ils n’étaient pas encore totalement instruits dans la religion catholique.

    La monarchie espagnole fit d’ailleurs longtemps preuve de tolérance et même de patience, avant de devoir finalement constater que deux religions, deux philosophies de l’existence aussi irréductibles l’une à l’autre ne pouvaient cohabiter sur un même sol. L’Espagne devait être catholique ou musulmane, pas les deux à la fois. En dépit de l’instruction religieuse qui leur était donnée, les Morisques conservaient en effet leur particularisme culturel, vestimentaire, alimentaire, linguistique et, secrètement, ils continuaient à célébrer le culte musulman, à respecter le jeûne du ramadan et à faire circoncire leurs garçons. Les autorités acceptèrent cette situation jusqu’au moment où, au XVIe siècle, l'Espagne fut confrontée au danger turc. Il fut alors impossible de continuer à tolérer des noyaux de peuplement dissidents disposés à servir de « cinquième colonne » à un débarquement turc.

    L’Espagne du XVI° siècle abritait en effet une population de 8 à 9 millions de personnes dont au moins 500 000 Mudejar et Morisques restés sur place après la fin de la Reconquista intervenue en 1492 avec la prise de Grenade. Dans la seule région de Valence, ils totalisaient 25% de la population et des enclaves  demeuraient à travers tout le pays. Toute l’Espagne comptait en effet des noyaux de population morisque ou mudejar, notamment en Andalousie, dans l'ancien royaume de Grenade, en Estrémadure, dans le Levant valencien et dans la vallée de l'Ebre. Dans certaines localités, ils étaient majoritaires, notamment à Hornachos, en Estrémadure, devenue de fait un petit Etat musulman enclavé en territoire chrétien. Or, les autorités espagnoles n’ignoraient pas que ces communautés attendaient que les Turcs viennent les délivrer du « joug catholique ».

    De nombreux soulèvements armés se produisent d’ailleurs au cours du XVIe siècle. En 1502, une révolte éclata dans la région de Grenade et, durant deux années, les insurgés tinrent la montagne. En 1526 ce fut le tour de la région de Valence, puis de 1568 à 1570, eut lieu la "deuxième guerre de Grenade", quand des dizaines de milliers de Morisques et de Mudejar répondirent  à l’appel d’un meneur qui proclama le  jihad. Les villages chrétiens furent alors attaqués et leurs habitants massacrés. Les insurgés demandèrent l'aide de la Porte ottomane, l’ennemie mortelle de l'Espagne, et que, dans tout le monde musulman, la guerre sainte soit prêchée pour leur venir en aide.

    En 1570, le duc d’Albe vint finalement à bout de cette guerre et il déporta les rebelles dans d’autres provinces du pays afin de casser leur principal noyau d’implantation. Dispersés en zone chrétienne, ils prirent alors des noms espagnols mais en demeurant secrètement fidèles à l'Islam.

    Toutes les communautés morisques et mudejar  posant un problème d’ordre public, le roi Philippe III qui avait compris qu’il n’était pas possible d’intégrer une population menaçant l’unité du pays, eut alors le choix entre trois solutions, la conversion réelle, de force et en profondeur sous le strict contrôle de l’Inquisition, le massacre ou l’expulsion.

    Ce fut la troisième option qu’il choisit et en 1609, il prit la décision d’expulsion vers le Maghreb. Humainement, ce fut probablement la « moins mauvaise » des solutions car elle évita et les dures méthodes de l’Inquisition généralisée, et le massacre à grande échelle.

    Les premiers à être chassés furent les Morisques de Castille, de la Marche et de l'Estrémadure. Ils furent suivis en 1610 par ceux d'Andalousie et d'Aragon, puis en 1611 par les Catalans et enfin par ceux de Murcie en 1614. L'expulsion se fit essentiellement vers le Maroc, mais également vers Alger et Tunis. Trois cent mille Morisques furent concernés. Quant aux deux cent mille qui restaient, ils se fondirent dans la population espagnole, sous étroite surveillance de l’Inquisition qui veilla à la sincérité de leur conversion.

    Source : http://bernardlugan.blogspot.com/

     

    via : lafautearousseau

  • Attentat de Nice : « c’est Dieu lui-même que M. Macron insulte »

    Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2020

    Toute notre gratitude à M. l’abbé Patrick de La Rocque, Prieur du prieuré Saint-Joseph de Nice (FSSPX), qui, dans une lettre à ses fidèles, remet les choses à leurs places. Il y dénonce, sans langue de bois, la « République laïque et maçonnique » et sa responsabilité dans les terribles événements qui secouent notre Patrie et déclare ne reconnaître « aucun droit au respect à Mahomet, encore moins à un respect sacré. » En ces temps de silence complice tant des autorités laïques que religieuses, il fallait oser le dire. Il a osé. Nous l’en remercions chaleureusement et lui apportons tout notre soutien.

    Nice, ce 29 octobre 2020

     

    Bien chers fidèles

    Comme moi, vous avez appris ce matin le terrible attentat qui a secoué notre ville. Bien évidemment, notre prière va d’abord aux victimes et à leurs familles, mais peut-être plus encore à notre pays.

    On nous dit que le coupable a été neutralisé. Je n’en suis pas si sûr. Certes, le terroriste imprégné d’islam a été arrêté par les forces de l’ordre. Mais est-ce là le responsable ultime de ce qui s’est produit ce matin ?

    M. Macron, en porte-parole de notre République laïque et maçonnique, a revendiqué pour notre pays le « droit au blasphème » ; n’a-t-il pas une responsabilité énorme dans ce qui vient de se dé- rouler ?

    Il est clair que je ne reconnais aucun droit au respect à Mahomet, encore moins à un respect sacré. Au jour où l’islam célébrait la naissance de son « prophète », ce terroriste n’a fait qu’imiter les pratiques souvent barbares de ce chef de guerre dont il se revendique, ainsi que l’indique suffisamment l’histoire. Et de même que je ne peux respecter l’acte de ce terroriste, ainsi je ne peux respecter Mahomet, mort avec de tels crimes sur la conscience. Il n’en reste pas moins que nos concitoyens, qui hélas n’ont pas encore découvert la beauté et la véracité du christianisme, méritent quant à eux un minimum de respect. Les insulter n’est pas les aider.

    Plus que ses concitoyens, c’est Dieu lui-même que M. Macron insulte. En son orgueil incommensurable, il se revendique supérieur à son Créateur, au point de réclamer le droit de le mépriser, de l’insulter. En affirmant à maintes reprises qu’il n’y a aucune loi au-dessus de la République, notre Président ne fait que diviniser cette dernière ; il en fait le principe ultime du bien et du mal. Nous voici revenus au temps des empires païens, dont le prince prétendait incarner la Toute-Puissance. Cela s’appelle une dictature.

    Voici peu, dans l’hommage à M. Paty, M. Macron reconnaissait en ce professeur décapité le visage de la République. Il ne pensait pas si bien dire. En supprimant toute loi transcendante seule capable d’unir les hommes, M. Macron a comme décapité notre pays. Il lui retire son âme, cette âme chrétienne qui a forgé la beauté et la prospérité de notre Patrie. Mais un corps décapité ne peut que se décomposer. C’est là l’exacte image de notre République laïque et maçonnique. Pour s’être affranchie de Dieu, elle a détruit l’ultime principe d’unité ; elle ne peut qu’engendrer les séparatismes.

    Notre France, dans sa folie, s’est donc revendiquée Charlie. Ayant perdu la tête, voici qu’aujourd’hui elle décapite au sens propre ses enfants. La laïcité si fortement revendiquée continue à verser dans son sillon le sang innocent de ses enfants. Prions pour ces enfants, et plus encore pour nos gouvernants, afin qu’ils reviennent à raison.

    Quant à vous qui me lisez, « comportez-vous en hommes sages, car les temps sont mauvais » (Ep 5,16). Ne craignez pas ceux qui peuvent tuer le corps, mais ceux qui corrompent l’esprit. Ne craignez pas ceux qui peuvent tuer le corps, mais Celui qui peut perdre et l’âme et le corps dans l’éternelle géhenne de feu (Mt 10, 28).

    Abbé P. de LA ROCQUE

     

    Source : medias-presse.info

  • Lavage de cerveau : retour à l’envoyeur…

    Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2020

    Auteur : 

    Voici l’histoire d’un père de famille qui, refusant le lavage de cerveau que l’éducation « nationale » veut pratiquer sur son enfant, recadre l’islamo-gauchiste de service.

    Mon fils de 12 ans est revenu avec le devoir suivant : « Trouvez une photo de migrants. Vous la présenterez et vous direz pourquoi elle vous a particulièrement émue. »

    Je l’ai un peu aidé…

    Il est retourné en cours avec une photo de la Légion Etrangère et les commentaires suivants : « 180 nationalités différentes dans la Légion, tous émigrés et ce qui m’a ému, c’est qu’ils sont venus pour servir la France et non pour l’asservir. Ils l’aiment tellement la France, qui les a si bien accueillis, qu’ils sont prêts à se sacrifier et à mourir pour elle. Leur devise illustre bien leur état d’esprit : « Legio Patria Nostra », La Légion est notre Patrie.

     

    Source : medias-presse.info

  • Attaque au couteau visant le consulat français à Djeddah

    Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2020

    Auteur : 

    Arabie saoudite – Un Saoudien a été arrêté après l’attaque d’un garde du consulat français à Djeddah, ce jeudi matin. Les jours du vigile ne sont pas en danger.

    Le consulat général de France à Djeddah a été ciblé par une attaque au couteau  ce jeudi 29 octobre au matin, annonce l’ambassade de France en Arabie saoudite.

    « L’assaillant a immédiatement été arrêté par les forces de sécurité saoudiennes après l’attaque. Le vigile a été emmené à l’hôpital et ses jours ne sont pas en danger. Nous appelons nos compatriotes en Arabie saoudite à faire preuve d’une vigilance maximale », a écrit l’ambassade française dans un communiqué.

     

    Source : medias-presse.info