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  • Tirs de mortiers à Toulouse : deux policiers blessés et un véhicule endommagé cette nuit

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2021

    Dimanche soir vers 21 h 20, une équipe de police de la Brigade spécialisée de Terrain affectée au Mirail a été victime de tirs de mortiers, en provenance du Cheminement Tintoret à Toulouse. Selon le syndicat Alliance Police Nationale et la CFE-CGC, deux policiers ont été blessés lors de lors de l’agression et un véhicule a été endommagé.

    Aucune personne interpellée

    Alliance police nationale dénonce des renforts qui se font attendre. Le syndicat indique que sur la promesse des 111 policiers annoncés pour renforcer les équipes, seuls 13 policiers sont arrivés et 28 sont programmés.

    […]

    La Dépêche via fdesouche

  • Jean-Vincent Placé tente d’embrasser une gendarme contre son gré, il est condamné à 5.000 euros d’amende pour « harcèlement sexuel »

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2021

    Les faits, qui remontent à 2016, ont été commis au préjudice d’une gendarme affectée à la sécurité du logement de fonction de celui qui était alors secrétaire d’Etat au sein du gouvernement Valls.

    […]

    Ce soir-là, après le dîner, Jean-Vincent Placé, alors sénateur écologiste de l’Essonne et secrétaire d’Etat à la réforme de l’Etat et à la simplification au sein du gouvernement de Manuel Valls, regagne son logement de fonction situé rue de Babylone, dans le 7arrondissement de Paris. Une gendarme affectée à la sécurité du bâtiment se trouve à l’entrée, le secrétaire d’Etat tente de l’embrasser contre son gré, puis l’invite à le suivre en ces termes : « Venez avec moi et vous verrez, ça va être sympa. » Suffisant pour caractériser le harcèlement sexuel tel que défini par l’article 222-33 du code pénal, qui punit « le fait d’imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle ».

    […]

    Cette nouvelle condamnation ne figurera pas au casier judiciaire de l’intéressé, pas plus que les trois mois de prison avec sursis et les 1 000 euros d’amende qui lui avaient été infligés en septembre 2018 pour violences et outrages. A l’époque, Jean-Vincent Placé avait été reconnu coupable d’avoir, quelques mois plus tôt lors d’une soirée arrosée dans un bar du centre de Paris, importuné et poussé une cliente, puis insulté les policiers venus le cueillir à la sortie de l’établissement dont il avait été expulsé.

    Le Monde via fdesouche
  • “La Turquie veut se focaliser sur les travaux d’adhésion totale à l’UE”

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2021

    “Nous poursuivons l’harmonisation juridique et les coopérations dans les domaines économiques, politiques et sociales”, a déclaré le ministre turc de l’Industrie, Varank

    “Il est plus important que jamais pour la Turquie de se focaliser sur les travaux d’adhésion totale à l’Union Européenne (UE)”, a déclaré le ministre turc de l’Industrie et des Technologies, Mustafa Varank.

    Varank a participé, lundi, à la “Réunion de présentation du Programme des secteurs concurrentiels” à Ankara.

    Lors de son discours, Varank est revenu sur les effets de la pandémie de Covid-19.

    “En cette période critique, nous sommes conscients que le renforcement de nos relations avec l’UE ainsi que la nécessité de se focaliser sur les travaux pour l’adhésion totale à l’UE sont plus importants que jamais. Nous poursuivons l’harmonisation juridique et les coopérations dans les domaines économiques, politiques et sociales”, a-t-il dit.

    Varank a affirmé que les travaux de réforme dans des domaines du droit, des droits de l’Homme et de l’économie, annoncés par le Président de la République de Turquie, Recep Tayyip Erdogan, en sont les reflets.

    “Dans le cadre du processus d’harmonisation avec l’UE, nous souhaitons davantage bénéficier des outils financiers, dont l’instrument d’aide de préadhésion (IAP) et les programmes du l’Union”, a-t-il souligné.

    Varank a noté que la Turquie co-finance ces programmes qui permettent de soutenir les travaux pré-adhésion des pays candidats, concluant : “Dans le cadre de l’IAP, nous avons fourni un soutien d’une valeur de 800 millions d’euros jusqu’à maintenant.”

     

    Source : fdesouche

  • " Ayez confiance!"...

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2021

    Kaastex aux Français après l'interdiction du vaccin AstraZeneca dans douze pays: " Ayez confiance!"...
    JFT
    Peut être un dessin animé
     
     
     
     
     
     
     
  • La France entre l’Œdipe algérien et celui des « décoloniaux »…

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2021

    Le « Système » algérien et les « décoloniaux » accusent la France d’être responsable de leurs problèmes. Une attitude œdipienne déjà bien décrite en son temps par Agrippa d’Aubigné quand il écrivait que :
    « Le cadavre de France se décompose sous l’œil de deux enfants : le premier est félon et le second parasite. L’un est tourné vers la mort et l’autre vers la dévastation. »

    décoloniaux,l'Œdipe algérienAu mois de janvier 2021, un journaliste algérien complaisamment relayé par les médias français, exigea même de la France un dédommagement pour le « pillage » du fer « algérien » qui, selon lui, aurait servi à fabriquer la Tour Eiffel !!!

    Or, comme l’a montré Paul Sugy, les pièces composant l’emblématique monument furent fondues en Lorraine, dans les aciéries de Pompey, à partir de minerai de fer extrait de la mine de Lurdres, également située en Meurthe-et-Moselle…

    La prétention aussi exorbitante que surréaliste de ce stipendié du « Système » algérien n’est pas le coup de folie d’un illuminé. Elle s’inscrit tout au contraire dans une stratégie de surenchère revendicatrice destinée à obtenir des excuses, puis des réparations « sonnantes et trébuchantes » de la part de la France.

    Or, il faut bien voir que, jusqu'à l’arrivée de François Hollande au pouvoir, la position algérienne avait été relativement « retenue ». Ni Georges Pompidou, ni Valéry Giscard d'Estaing, ni François Mitterrand, ni Jacques Chirac et ni Nicolas Sarkozy n’auraient en effet accepté de telles demandes d’excuses. Or, tout a changé avec les déclarations irresponsables de François Hollande suivies de celles d’Emmanuel Macron au sujet de la colonisation. A partir de là, la France s’étant auto-humiliée, l’Algérie s’est donc trouvée en position de force pour exiger toujours plus d’elle. D'autant qu’acculé par la rue, sa survie étant même en jeu, le « Système » algérien n’a plus que deux moyens pour tenter de détourner la marée de la contestation populaire  qui menace de l’emporter :

    1) S’attaquer au Maroc, comme en 1963 quand la « Guerre des Sables » lui a permis de mettre en parenthèses le soulèvement kabyle. Mais, avec le Maroc, qui s’y frotte s’y pique…

    2) Rien de tel avec le chapon français dont les actuels dirigeants n’osent pas rappeler à leurs homologues algériens qu’en 1962, la France « mère généreuse », légua à sa « chère Algérie » selon la formule du regretté Daniel Lefeuvre, un héritage composé de 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), de 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres étaient goudronnés, de 4300 km de voies ferrées, de 4 ports équipés aux normes internationales, de 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), de 34 phares maritimes, d’une douzaine d’aérodromes principaux, de centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), de milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, de 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, d’une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., de milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes ( soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), d’un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, de trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, de 14 hôpitaux spécialisés et de 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Sans parler du pétrole découvert et mis en exploitation par des ingénieurs français. Ni même d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance, à telle enseigne qu'aujourd’hui l’Algérie doit même importer du concentré de tomates, des pois chiches et jusqu'à la semoule du couscous…

    Tout ce qui existait en Algérie en 1962 avait été payé par les impôts des Français. En 1959, l’Algérie engloutissait ainsi 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce ! Et tout ce que la France léguait à l’Algérie avait été construit à partir du néant, dans un pays qui n’avait jamais existé puisqu'il était directement passé de la colonisation turque à la colonisation française. Même son nom lui avait été donné par la France…

    L’attitude des « décoloniaux » relève quant à elle d’un complexe œdipo-existentiel doublé d’une dose de schizophrénie.

    Selon eux, la France qui les accueille, les nourrit, les habille, les soigne, les loge et les éduque, est une nation « génétiquement esclavagiste, raciste et colonisatrice », dans laquelle les descendants des colonisées sont dans une « situation coloniale », c’est-à-dire de « dominés ». D'où leur prétendue « marginalisation ». A cette affirmation victimaire s’ajoute un sentiment à la fois revanchard et conquérant bien résumé par Houria Bouteldja, une des figures de proue de ce courant:

    « Notre simple existence, doublée d’un poids démographique relatif (1 pour 6) africanise, arabise, berbérise, créolise, islamise, noirise, la fille aînée de l’Eglise, jadis blanche et immaculée, aussi sûrement que le sac et le ressac des flots polissent et repolissent les blocs de granit aux prétentions d’éternité (…) ».

    Authentiquement francophobes, haïssant la France, les « décoloniaux » rejettent donc tout ce qui se rattache à elle. Hafsa Askar, vice-présidente du syndicat étudiant UNEF, a ainsi écrit le 15 avril 2019, jour de son incendie :

    « Je m’en fiche de Notre-Dame de Paris, car je m’en fiche de l’histoire de France… Wallah … on s’en balek (traduction : on s’en bat les c…), objectivement, c’est votre délire de petits blancs ».

    Cependant, exprimant leur ressentiment et leur haine de la France dans la langue du « colon » honni, et s’affirmant intellectuellement à travers ses références philosophico-politiques, les « décoloniaux » ont une attitude schizophrénique…

    Là n’est cependant pas le moindre paradoxe de ces sycophantes dont la « pensée » a germé sur le terreau philosophique de la révolution de 1789. En s’attaquant frontalement, et d’une manière œdipienne, aux dogmes de leurs géniteurs - « valeurs de la République », « droits de l’homme », « vivre ensemble » et « laïcité » -, les « décoloniaux » ont en effet pulvérisé l’armature doctrinale et morale de cette gauche universaliste qui, depuis des décennies, est le vecteur de la décadence française. Comme elle ne survivra pas à la mort de son idéologie et de ses « valeurs fondatrices », la voilà qui sort donc peu à peu de l’histoire, dégageant ainsi la voie à un changement de paradigme.

    Aux porteurs de forces créatrices de saisir cette opportunité historique !

    - Pour la critique de l’histoire officielle de l’Algérie écrite par le FLN et par Benjamin Stora, l’on se reportera à mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit.

    - Pour l’analyse et la réfutation de l’idéologie « décoloniale », on consultera mon livre Répondre aux décoloniaux, aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance.

    Source : http://bernardlugan.blogspot.com/