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effets indésirables

  • Effets indésirables post-« vaccination » contre le Covid : elles témoignent !

    Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2022

    Auteur : 

    Difficile de croire que tous ces gens soient des menteurs, rêveurs ou allumés…

     

    Source : medias-presse.info

  • Un médecin de l’armée américaine révèle que les médecins ont reçu l’ordre de ne pas signaler les effets indésirables liés aux « vaccins » anti-Covid

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

    Un lieutenant-colonel et médecin militaire de l’armée américaine a décrit comment on a dit à des médecins de l’armée de ne pas enregistrer de dossiers sur les effets indésirables du vaccin contre le COVID dans les bases de données officielles.

    « Soit ils détournent le regard, soit ils disent simplement : « Eh bien, je ne peux pas faire ça. Cela n’existe pas », a déclaré le Dr Peter Chambers, lieutenant-colonel de l’armée américaine, béret vert des forces spéciales et médecin militaire.

    Chambers a fait ces commentaires dans le cadre de la neuvième conférence en ligne de la Truth For Health Foundation, qui traitait le sujet des effets secondaires des injection de « vaccin » anti-COVID.

    Alors qu’il débattait de la vaccination au sein des forces armées avec le Dr Elizabeth Lee Vliet, présidente et chef de la direction de la Fondation, le Dr Chambers a fait la lumière sur sa récente expérience en tant que chirurgien du groupe de travail pour l’opération Lone Star, une mission de sécurité frontalière de l’armée à la frontière avec le Mexique.

    Le Dr Chambers, un vétéran de 39 ans et récipiendaire de la Purple Heart, a reçu l’injection de Moderna en janvier 2021, ignorant les effets secondaires potentiels. Il se considère désormais comme un défenseur des « blessés du vaccin » en raison des effets indésirables qu’il a subis par la suite.

    Il a rapidement développé un « brouillard cérébral » d’un genre qu’il n’avait jamais connu.

    À la suite d’une éventuelle IRM, après des épisodes de vertiges, d’étourdissements et de nausées qui l’ont amené à faire un accident avec un camion en revenant d’une patrouille de nuit, le Dr Chambers a reçu un diagnostic de démyélinisation, une maladie qui affecte le tissu nerveux.

    Il a raconté comment il avait vu « plusieurs soldats » souffrir également des effets secondaires similaires des injections, ainsi que « six soldats qui ont été aux soins intensifs », et un soldat qui a été forcé de prendre une deuxième injection alors qu’il avait déjà souffert de micro-coagulation après sa première injection.

    Le Dr Chambers a noté les détails de ses constats et les a enregistrés dans le système de notification des effets indésirables liés aux vaccins (VAERS) du CDC. Cependant, il a révélé au Dr Vliet que les chirurgiens des hôpitaux militaires ne signalaient aucun des effets indésirables qu’ils constataient. « On leur avait dit de ne pas entrer de cas dans le VAERS ».

    « Les médecins m’ont dit personnellement dans le service actif qui fonctionnait à Fort Sam Houston, qu’ils ne devaient pas entrer les cas d’effets secondaires dans le système VAERS », a-t-il ajouté.

    « Ainsi, lorsque vous essayez de parler à d’autres collègues, soit ils détournent le regard, soit ils disent simplement : « Eh bien, je ne peux pas faire ça ».

    En tant que chirurgien du groupe de travail pour l’opération Lone Star, le Dr Chambers a dû remplir des formulaires de consentement éclairé, conformément aux règlements de l’armée, pour les soldats prenant les vaccins anti-COVID.

    Le Dr Chambers a ensuite témoigné lors d’une audience devant un tribunal fédéral le 10 mars à Tampa dans l’affaire Navy SEAL 1 c. Austin . Le Dr Chambers a déclaré qu’il avait subi des pressions pour faire vacciner les soldats et a présenté comme pièce à conviction une instruction sur les exemptions religieuses qui disait : « Les soldats vont essayer. Les soldats échoueront. »

     

    Source : medias-presse.info

  • « Chaque jour, je regrette de m’être fait vacciner »

    Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2022

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    « Chaque jour, je regrette de m’être fait vacciner »
     

    « Il y a quinze jours, j’ai dormi du lundi au jeudi sans me réveiller. Sachant qu’avant je dormais quatre heure par nuit maximum. Maintenant, je me retrouve à dormir de 70 ou 80 heures d’affilée si je ne mets pas de réveil ».

    Des symptômes qui persistent encore aujourd’hui, dix mois après sa seconde dose. Elle n’a toujours pas eu l’autorisation de récupérer le un certificat de contre-indication :

    « Mon médecin a voulu me faire ce certificat mais les services de l’État lui mettent la pression pour qu’il ne le fasse pas, on lui a dit qu’il n’avait pas le droit. »

    Kethleen Delignette :

    « J’ai des règles horriblement douloureuses, et aussi de fortes douleurs en dehors de mes cycles. De l’eczéma est également apparu sur environ 40% de mon corps. À côté de ça, j’ai des démangeaisons incontrôlables. Même la nuit, ma peau s’est dépigmentée. J’ai des grosses tâches sur tout le haut de mon corps et ma peau est très douloureuse ».

    Chaque jour, je regrette de m’être fait vacciner parce que j’en souffre. Mes frais pour les rendez-vous auprès de différents spécialistes s’accumulent, ça me coûte cher et je ne m’en sors pas.

    « Depuis septembre, j’essaie d’avoir un rendez-vous chez un dermatologue mais, en attendant, mes problèmes ne sont toujours pas réglés. »

     

    Source: lesalonbeige

  • L’ancien vice-président de Pfizer met en garde contre la vaccination à grande échelle

    Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2021

    L’ancien vice-président de Pfizer met en garde contre la vaccination à grande échelle

    Le médecin et chercheur britannique Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, a accordé un entretien à Mordechai Sones d’America’s Frontline Doctors (AFLDS), à propos notamment des vaccinations – et en particulier les « vaccinations » expérimentales à ARN messager – en cours. Extrait de la traduction effectuée par Jeanne Smits :

    « Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont décidées à administrer des “vaccins” au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus. Chez ces personnes, on pourrait même soutenir que les risques valent la peine d’être assumés. Et il y a certainement des risques qui sont ce que j’appelle “mécanistes”, c’est-à-dire intégrés dans la façon dont ces agents fonctionnent.

    « Mais tous les autres, les personnes en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas identifié.

    « A aucun autre moment, il ne serait sage de faire ce qui est annoncé comme étant l’intention.

    « Puisque je sais cela avec certitude, et que je sais que ceux qui pilotent tout cela le savent aussi, nous devons nous interroger : Quel est leur mobile ?

    « Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent. Et ce motif ne fonctionne pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose. Sachant que, en parlant de la population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le filet, c’est cela que j’interprète comme un acte maléfique.

    « Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant que la conception de ces “vaccins” consiste à provoquer l’expression, dans l’organisme des receveurs, de la protéine spike, qui a elle-même des effets biologiques indésirables qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation sanguine et activation du “système du complément” immunitaire), je suis déterminé à souligner que les personnes qui ne sont pas menacées par ce virus ne devraient pas être exposées au risque d’effets indésirables de ces agents. »

     

    Source : lesalonbeige

  • Le Chef de Corps des pompiers des Bouches-du-Rhône suspend toute vaccination avec AstraZeneca après de nombreux effets secondaires parmi les pompiers

    Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2021

    Medias Presse Info vient de recevoir copie d’un document interne au corps des sapeurs pompiers. En date de ce dimanche 14 mars 2021, le Colonel Grégory Allione, Chef de corps des sapeurs pompiers des Bouches-du-Rhône, écrit :

    Sur proposition du médecin chef, suite à la déclaration d’effets indésirables sérieux 48 heures après une injection du vaccin AstraZeneca chez l’un de nos collègues, je décide de suspendre jusqu’à nouvel ordre toute injection avec ce type de vaccin auprès des personnels du SDIS 13 (ndlr : Service d’incendie et de secours des Bouches-du-Rhône).

    L’ensemble de nos autorités de gouvernance (Préfet et Président) et l’agence régionale de santé (DG ARS) sont informées. Le médecin chef est en contact avec le centre de pharmacovigilance. Les autorités de santé sont auprès de notre collègue pour étudier l’ensemble des éléments médicaux et scientifiques relatifs à nos suspicions actuelles.

    Merci à vous de prévenir celles et ceux qui avaient RDV dès demain.

    Nous allons rechercher des solutions pour être approvisionnés avec d’autres vaccins pour poursuivre la campagne de vaccination de nos agents.

    Cette décision fait suite à des informations reçues hier, samedi, au sujet de pompiers qui, après vaccination, présentent des effets secondaires générant un profond mal être, au point pour certains de se trouver en position d’arrêts maladies.

    Vendredi 12 mars 2021, un agent de la garde des sapeurs pompiers d’Arles a fait un malaise et a eu des pertes de connaissance répétées. Ces pertes de connaissance sont liées à des micro-arrêts cardiaques. Ce pompier a été réanimé par des compressions thoraciques au Centre Hospitalier d’Arles et est actuellement aux soins intensifs. Le pompier en question avait reçu une injection du vaccin AstraZeneca 48h auparavant.

    Cette décision du Colonel Grégory Allione est d’autant plus important que celui-ci est aussi Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France (285.000 sapeurs-pompiers).

    Qu’en pense le ministre Véran, toujours défenseur du vaccin AstraZeneca alors que dix pays de l’Union Européenne ont déjà suspendu l’utilisation de ce vaccin ?

     

    Source : medias-presse.info