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  • Plus de 800 médicaments courants contiennent du dioxyde de titane, interdit dans l’alimentaire

    Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2021

    Interdit d’un côté, autorisé de l’autre : alors qu’en France, les industriels agroalimentaires ont l’interdiction depuis février 2020 d’utiliser du dioxyde de titane, une substance suspectée d’être cancérogène et de perturber le cycle hormonal, l’industrie pharmaceutique, elle, peut continuer d’en incorporer dans ses médicaments.

    Une récente enquête menée par le magazine Kali et reprise par France Info révèle que plus de 800 médicaments couramment prescrits dans notre pays contiennent cet additif, dont le Doliprane, le Spasfon, ou encore l’Imodium.

    Pourquoi est-il utilisé ?

    Le dioxyde de titane est utilisé comme colorant et texturant, car il permet de rendre les médicaments plus blancs et plus brillants. Il a également des propriétés protectrices d’UV, mais son utilisation est avant tout “esthétique”, indique Christelle Pangrazzi, journaliste de Kali, interrogée par France Info.

    “Aujourd’hui il y a une réticence des fabricants de médicaments, des laboratoires, à modifier ces compositions en expliquant que les patients préfèrent avoir des médicaments plus blancs.”

    Le magasine de consommateurs va mettre en ligne une pétition et va envoyer une demande de changement réglementaire au ministère de la Santé et au ministère de la Transition écologique, indique la rédactrice.

    Au niveau européen, les États membres ont donné le 8 octobre dernier leur feu vert pour interdire dès 2022 le colorant E171 (dioxyde de titane) comme additif alimentaire, après une remise en cause de sa sécurité par l’autorité européenne de sûreté des aliments (EFSA).

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Laurent Toubiana révèle les vrais chiffres du covid-19 en France

    Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2021

    En une semaine 12,9 malades ont été hospitalisés pour 100 000 habitants (2,8 admissions en soins critiques pour 100 000 habitants). Pour 100 000 habitants, il y a 5 800 lits d’hôpitaux. Les hôpitaux ne sont donc pas submergés de malades covid, contrairement aux mensonges diffusés depuis deux ans par les médias.

    Laurent Toubiana souhaite que les Français sortent de leur torpeur et se rendent compte que les 33 milliards tirés de leurs poches ont été dépensés pour une épidémie qui n’en est pas une et qui n’a, au plus fort, fait que 140 malades pour 100 000 habitants, ce qui est une épidémie banale. Interrogé par CNews, il a droit à une réflexion réplique pleine d’empathie et de respect de la part de la « journaliste » : « Tout le monde se tromperait à l’échelle nationale sauf vous. » A quoi il répond : « Tout le monde ne se trompe pas. En réalité on a publié une tribune qui a été signée par deux mille chercheurs et professionnels de santé. Malheureusement cette tribune a été enterrée. Il y a énormément de gens en France qui ont conscience de ce mensonge. »

    La tribune des scientifiques déterrée !

    La tribune des 2 000 scientifiques analyse la propagande de masse en soutien du mythe de l’épidémie, pour aller vers la réalité qui est :
    – La prétendue « pandémie du siècle » n’a jamais menacé les personnes âgées de moins de 60 ans.
    – Il est fallacieux de présenter une courbe des « cas positifs » (qui dépend de nombreux facteurs, à commencer par la fréquence des tests) comme une courbe du nombre de « malades ».
    – La vaccination se dirige vers 100 % de couverture de la population générale sans que cela ne change rien à la dynamique des épidémies successives provoquées par les variants.
    – La vaccination intégrale est une structure psychorigide aveugle sourde à toute remise en cause. En l’occurrence, il est tabou de parler d’effets indésirables graves liés à la vaccination des jeunes.
    – Cette idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants. Elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux

    Cette tribune peut être lue dans son entier ici.

    Le Média en 4-4-2.

  • Les milliardaires George Soros et Reid Hoffman s’associent pour augmenter leur contrôle de médias sous prétexte de lutte contre la désinformation

    Publié par Guy Jovelin le 25 décembre 2021

    Bien entendu, la police de la pensée vous intime l’ordre de considérer les milliardaires George Soros et Reid Hoffman comme de gentils philanthropes soucieux du seul bien de l’humanité. Défense de rire. Ces deux milliardaires mondialistes se sont donc associés dans Good Information Inc., dont la mission officielle est d’ être une « société d’intérêt public engagée à restaurer la confiance sociale et à renforcer la démocratie ». Comme c’est beau…

    Le démarrage est lancé à coups de millions par Reid Hoffman, fondateur de LinkedIn, avec Soros ainsi que les investisseurs Ken et Jen Duda, et Incite Ventures.

    Selon cette joyeuse et fortunée équipe, la désinformation serait devenue une préoccupation croissante récemment, en particulier en raison des fausses allégations propagées autour de la pandémie de coronavirus. Ben voyons.

    Et pour lutter contre la désinformation, devinez quelle est la solution de Good Information Inc. : l’investissement dans les entreprises de médias. A travers les investissements de Good Information Inc., les milliardaires mondialistes George Soros et Reid Hoffman vont donc pouvoir encore augmenter leur contrôle de nombreux médias, stratégie déjà entamée depuis de nombreuses années via les fondations de Soros et consorts.

    Les premiers investissements de Good Information concernent les Etats-Unis et visent en particulier des médias locaux dans des régions rebelles à la pensée dominante. Good Information Inc a donc tout simplement acquis Courier Newsroom, qui dispose d’un réseau de huit médias locaux en Arizona, en Caroline du Nord, au Michigan, en Virginie, en Iowa, au Wisconsin, en Pennsylvanie et en Floride.

    D’autres milliardaires développent, toujours au nom de la lutte contre la désinformation, leurs propres outils d’influence des médias. C’est notamment le cas ces derniers mois du fondateur de CraigsList, Craig Newmark, ainsi que de l’ancien PDG de Microsoft, Steve Ballmer, qui ont chacun créé leur « organisation à but non lucratif » en ce sens.

    Nul doute que ces « philanthropes » s’intéressent également de près aux médias européens.

     

    Source : medias-presse.info

  • La priorité des gendarmes : contrôler le passe sanitaire dans les cinémas durant les projections… Les voyous doivent bien rire !

    Publié par Guy Jovelin le 25 décembre 2021

    Auteur : 

    Ça valait le coup de se faire injecter du poison pour pouvoir retrouver « lavidavan ».
    En tout cas, ces gendarmes ont une nouvelle fois prouvé qu’ils faisaient un bien joli métier…

    « Imaginez dix gendarmes qui pénètrent dans la salle, en pleine projection, font rallumer les lumières. Les spectateurs ont cru à un risque d’attentat, d’autant qu’il y avait des enfants » , témoigne, jeudi 23 décembre, un des salariés du cinéma Émeraude de Châteaubriant. L’unique cinéma de Châteaubriant a décidé de fermer ses portes « jusqu’à nouvel ordre ».

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    Source : medias-presse.info

  • Tant qu’il y aura des personnes pour s’agenouiller dans la crèche, la chrétienté et la France n’auront pas dit leur dernier mot

    Publié par Guy Jovelin le 25 décembre 2021

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    De l’abbé Danziec dans Valeurs Actuelles :

    Jésus, Marie, Joseph. L’image, par excellence, du foyer ardent et uni. Cette sainte famille – rejetée de tous, méprisée par la bien-pensance, pointée du doigt par les conformistes et réduite à l’isolement à l’extérieur de Bethléem – se trouve en mesure, une fois encore en ce Noël 2021, de réchauffer les cœurs abattus et de réconforter les âmes qui désespèrent. Telle a toujours été l’inattendue pédagogie de Dieu : laisser la liberté aux hommes de tomber bas, très bas même, jusqu’à ce qu’ils s’avilissent et fassent le mal, pour finalement confondre les superbes et les puissants par la médiation des petits et des sans grades. Goliath vaincu par David. Le roi Hérode déconfit par le Divin Messie. Les hordes anglaises stoppées par une jeune fille en armure. Les lubies soixante-huitardes pleines de condescendance rattrapées par la patrouille de la réalité au point de ne plus faire florès.

    Tant qu’il y aura des personnes pour s’agenouiller dans la crèche, prier le petit Jésus et puiser dans la mangeoire des forces pour mener un combat à la fois spirituel et culturel, la chrétienté et la France n’auront pas dit leur dernier mot.

    A l’heure où notre socle civilisationnel craque de toute part, la célébration de la naissance du Christ fourbit des armes de lumière. La crèche représente une citadelle d’espérance pour notre civilisation en danger. En son sein réside une chaleur communicative propre à allumer les contre-feux nécessaires face à la décadence. Du coup d’état démographique aux réductions dramatiques de nos libertés, de la destruction de la famille à l’effondrement de l’école, de la remise en cause de nos traditions au wokisme qui cherche à revisiter nos coutumes, oui nos permanences ont fait leur lit dans la paille de Bethléem. Revenir à la source n’est pas seulement une œuvre de piété, elle est une condition de notre continuité.

    Qui pourtant, il y a plus de 2000 ans, aurait parié sur cette pauvre étable misérable, ouverte aux quatre vents ? Dans cette crèche, c’est la fidélité qui domine et la confiance qui maintient. La transcendance, les miracles, les vertus. L’union de tous, des CSP+ et des classes populaires, la farandole des mages et des bergers, qui savent que quelque chose de plus grand qu’eux domine leur existence : Jésus-Christ, le Sauveur tant attendu. Celui qui nous sauve de nos ennemis et nous préserve des faux-frères. Celui qui nous garde des dangers ou nous donne l’énergie pour les surmonter. Celui qui a vaincu la mort et qui nous rejoint dans nos pauvretés. Jésus, celui qui n’usait pas de cette maudite langue de buis qui étouffe l’authenticité de la Foi et aseptise le message de l’évangile.

    Les progressistes de tout poil, aux périphéries du monde comme dans l’intérieur même de l’Eglise, voudraient nous voler notre joie. Noël ne serait pas assez inclusif. Le sapin avec ses guirlandes ? Un terrible danger pour l’avenir de la planète. Le foie gras ? Un crime contre la bienveillance animale. La crèche dans nos mairies ou nos magasins ? Une insulte à l’endroit de ceux qui ne croient pas. Les liturgies latines et grégoriennes, la messe traditionnelle de Saint Pie V ? Un affreux retour en arrière. Pourtant Noël, c’est tout cela et bien plus encore. L’allégresse du 25 décembre se décline aussi dans le chant de l’Adeste Fideles ou celui des Anges dans nos campagnes. La messe de minuit à minuit pile et la procession à la crèche. Le bonheur qui contamine la nef lorsque le prêtre dépose l’enfant Jésus dans la mangeoire. La compassion pour les jeunes enfants de chœur qui s’endorment sur leurs bancs. L’éclairage du sanctuaire à la bougie. Le chocolat chaud partagé sur le parvis. Les “ Joyeux Noël ! ” distribués comme autant de tendresses dont tout le monde est assoiffé.

    Noël nous invite, tous et chacun, à revisiter nos racines et chanter la gloire de ce Jésus qui a mis le feu aux poudres de notre Rédemption. L’étoile des bergers a véritablement inauguré un monde nouveau. Un écosystème qui nous rappelle qu’il y a plus de joie à donner qu’à recevoir, que la noblesse vaut mieux que la jouissance et que seul le pardon est capable de transfigurer nos désirs de vengeance. Un cadre évangélique enseignant que les choses ne valent que ce qu’elles coûtent, affirmant que si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu et soulignant que Jésus, dès sa naissance, a mis sa peau au bout de son exemple.

    Noël, dans ses scintillements et ses recueillements, fait prendre conscience, à ceux qui savent encore s’émerveiller, que le divin Enfant a marqué le début d’une civilisation formidable et indépassable. Faite de héros et de saints. De courage et d’abnégation. De sacrifices et de prières. Une civilisation menacée qui reste à défendre, envers et contre tout. Pour nous-même et notre avenir. Et, surtout, celui de nos enfants.

     

    Source : lesalonbeige