Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • La menace d’une crise alimentaire liée à la guerre en Ukraine… et aux délires mondialistes

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2022

     

    « Selon un antique adage, gouverner consisterait avant tout à prévoir. Pour les instances européennes, le compte n’y est pas. Et là, il ne s’agit plus de société inclusive et autres gadgets bienveillants : juste de savoir ce qu’il y aura dans nos assiettes – ou pas – demain.

    Ainsi la Commission européenne vient-elle enfin de comprendre que le Vieux Continent était désormais dépendant des céréales russes et ukrainiennes. Tout comme il aura fallu attendre le Covid-19 pour s’apercevoir que nous n’étions même plus capables de fabriquer de l’aspirine et que nos voitures peinaient à rouler sans ces micro-processeurs, eux aussi usinés en Chine.

    Il y avait la fameuse « mondialisation heureuse », chère à Alain Minc ; on avait oublié ces mondialistes distraits, persuadés que l’empire du Milieu resterait à jamais l’usine du monde.
    Un mépris ethnique et civilisationnel mêlé à cette jobardise qui consiste à imaginer que ceux qui ont inventé papier et poudre à canon se contenteront pour l’éternité de mouler des Mickey™ en plastoc et des Barbie™ en Merdaflex™.

    Aujourd’hui, le « cercle de la raison » (Alain Minc, toujours, et sa « bonne gouvernance ») commence à en rabattre. D’où ce plan pour revenir à ce qui fut jadis notre ordinaire : l’autosuffisance alimentaire. La France fut l’autre grenier à blé de l’Europe. Du passé. Désormais, les derniers de nos paysans jonglent avec les réglementations.

    On les a naguère sommés de démembrer leurs champs et d’abattre les haies, au nom d’une rationalité toute technocratique, pour ensuite leur reprocher d’avoir dévasté l’environnement. On les a poussés à utiliser engrais et pesticides plus que de raison pour, désormais, les accuser d’écocide. On les a obligés à penser avant tout à l’exportation pour, aujourd’hui, les condamner aux circuits courts. Résultat ? Les enfants ne veulent plus reprendre la ferme familiale et ceux qui relèvent le défi caracolent en tête des taux de suicide.

    On oublie pourtant que ce sont eux qui nous nourrissent quotidiennement et que sans eux, nous mourrions tous de faim. Cela mériterait peut-être un petit merci ou, tout au moins, un semblant de considération. Nous en sommes loin. La preuve en est ce caprice de gosses de riches ayant amené, ce 19 mars, certains enfants gâtés à arraisonner un train empli de blé aux alentours de Pontivy, en Bretagne, pour en jeter la cargaison aux quatre vents.

    Certes, les motivations de ce collectif méritent aussi d’être entendues : « En déversant ces céréales destinées à l’alimentation d’une partie du cheptel breton, nous symbolisons le lien au sol à recréer dans notre agriculture, le lien à la terre bretonne, cette même terre qui ne peut pas supporter les incidences de l’élevage d’un si grand nombre d’animaux. »

    Mais que font ces paysans, si ce n’est obéir aux injonctions successives et contradictoires d’instances, au début étatiques puis supranationales, leur expliquant comment pratiquer le métier de leurs ancêtres, instances dont les représentants ne sauraient même pas faire la différence entre un topinambour et un kiwi ?

    Si l’on suit l’actuelle logique gouvernementale, Emmanuel Macron ne devrait pas tarder à demander conseil à d’autres experts. Ceux de McKinsey, peut-être ? »

    de  Nicolas Gauthier
    sur BVoltaire

  • Il y a soixante ans : le massacre de la rue d’Isly

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2022

    Le 26 mars 1962, un traquenard diabolique ourdi par le pouvoir gaulliste et ses complices à Alger permettait d’enfermer dans une nasse les patriotes algérois venus défiler pacifiquement derrière les drapeaux français, pour protester contre le terrible blocus du quartier de Bab-el-Oued, assiégé par la Gendarmerie mobile.

    Le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens ( arabes ou berbères, qui n’avaient jamais assuré l’ordre en ville, revenus harassés après plusieurs jours de marche), qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement prévenant que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.

    Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.

    A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
    « dispersez-vous, nous avons ordre de tirer ».

    Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule.
    Une centaine de Français, hommes, femmes, enfants, furent abattus (certains achevés à terre) et plusieurs centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

    Ce que les Soviétiques n’ont pas osé à Budapest fin octobre 1956, les criminels gaullistes l’ont réalisé : faire tirer sur les habitants, sur les civils. Des officiers et des soldats portant l’uniforme de l’armée française ont tiré, pour réduire au silence en les tuant, des Algérois français qui voulaient rester français. Crime ineffaçable et qui souille à jamais notre armée et notre nation.

    Le gouvernement n’a jamais présenté d’excuses.

    Plus de détails sur ce site notamment.

  • Un Guide du routard pour attirer les touristes en Seine-Saint-Denis

    Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2022

    La collection des Guides du routard s’enrichit d’un nouveau titre, avec un ouvrage intitulé « Grand Paris Nord – de la Villette à Saint-Denis ». Tiré à 25 000 exemplaires, il a été officiellement lancé et présenté ce jeudi, à Saint-Denis. Après la crise sanitaire, l’enjeu est de faire revenir les touristes. Par exemple, la basilique de Saint-Denis est passée de 140 000 visiteurs, en 2019, à 45 000 en 2020, avant de légèrement remonter à 52 500, en 2021. Des baisses qu’ont connues tous les sites culturels.

    Le célèbre marcheur portant la planète en guise de sac à dos n’est cette fois pas parti au bout du monde mais s’est contenté de franchir avec bonheur le nord du périphérique parisien, pour une incursion en Seine-Saint-Denis. Cette silhouette dessinée sur tous les Guides du routard, s’affichera désormais sur un ouvrage touristique entièrement consacré aux neuf villes (Aubervilliers, Épinay-sur-Seine, L’Ile-Saint-Denis, La Courneuve, Pierrefitte-sur-Seine, Saint-Denis, Saint-Ouen, Stains et Villetaneuse) qui composent Plaine Commune. De quoi rappeler que le voyage commence bien souvent au bout de la rue, avec un objectif pour les collectivités partenaires : attirer les visiteurs, qui ignorent tout du patrimoine local ou qui se font toute une montagne de clichés et de préjugés à l’idée de venir se balader dans ce secteur.

    Philippe Gloaguen, le cofondateur du guide a fait, ce jeudi, un saut à Saint-Denis, pour participer officiellement au lancement du nouveau titre de la collection publiée chez Hachette. […]  « Je suis né en banlieue (dans les Hauts-de-Seine), j’y ai vécu 23 ans avec la fierté d’être un enfant banlieusard », souligne Philippe Gloaguen. « Sur le territoire, vous avez une chance inouïe parce que vous avez un patrimoine exceptionnel », a-t-il relevé en substance, en évoquant l’incontournable basilique de Saint-Denis, « la mieux rénovée de France, en particulier sa façade d’une rareté démente ». Il cite également le passé maraîcher et l’ancienne ferme de René Kersanté reprise par les Fermes de Gally, entreprise venue des Yvelines, mais aussi les artistes du Parti poétique.  […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Le Maréchal de Lattre de Tassigny a mille fois raison

    Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2022

     

    Le Maréchal de Lattre de Tassigny a mille fois raison :

    "À la Grèce, nous devons surtout notre raison logique.  À Rome, nos maximes de droit et de gouvernement.
    Mais à l'Évangile nous devons notre idée même de l'homme.
    Si nous renions l'Évangile, nous sommes perdus."

    Or le Système en place non seulement "renie" l'Évangile mais promeut son reniement, sans se rendre compte que les mots creux, les paroles verbales, les incantations ridicules par lesquelles il remplace ce christianisme qui faisait notre force et notre grandeur, tout cela ne fait que.. ^préparer la voie à l'Islam. Chateaubriand l'avait pressenti : "Ôtez le christianisme, vous aurez l'Islam".

    Nous y sommes.

    C'est le résultat de presque cent cinquante ans de néfaste république idéologique. Voilà pourquoi nous menons la seule action qui vaille :

    "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

    4117564655.jpg

     

    Source : lafautearousseau

  • En 2020, 60 % des naturalisés français étaient d’origine africaine. Le Maroc, l’Algérie, la Tunisie et la Turquie en tête du classement des pays d’origine

    Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2022

    Classement par pays d’origine – 2016 à 2020 – Top 10 2020

    Eurostat – Acquisition de nationalité par nationalité précédente de 2004 à 2020

    Classement par continent d’origine – 2016 à 2020

    Note FDS : Pour Eurostat, la Turquie est située dans le continent européen et non asiatique (illustration)

    Eurostat – Acquisition de nationalité par continent précédent de 2004 à 2020

     

    Source : fdesouche