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  • “On nous vire pour faire place aux Ukrainiens, c’est du racisme !” : les migrants d’un centre d’hébergement de l’Essonne expriment leur mécontentement

    Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2022

    Dans un centre d’hébergement de l’Essonne, 49 jeunes exilés hébergés risquent de se retrouver de nouveau à la rue. En cause ? L’arrivée d’Ukrainiens qui fuient la guerre. Plusieurs associations dénoncent cet accueil discriminatoire. La préfecture dément tout lien.


    Essonne : non, les 49 migrants ne seront pas expulsés pour laisser place à des réfugiés ukrainiens

    A Ormoy, une cinquantaine de jeunes étrangers ont eu pour ordre de quitter un centre d’hébergement car leur situation n’était plus en règle. Selon la rumeur, pour être remplacés par des Ukrainiens. Plusieurs médias se sont engouffrés dans la brèche. En réalité, moins de cinq personnes sont concernées.

    (…) Le Parisien via fdesouche

     

     

  • Les résidents du centre d’accueil des demandeurs d’asile de Vergigny (89) protestent contre la vétusté de leur foyer

    Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2022

    Les résidents du centre d'accueil des demandeurs d'asile de Vergigny protestent contre la vétusté de leur foyer

    Les résidents du centre d’accueil des demandeurs d’asile (CADA) de Vergigny ont bloqué l’accès au bâtiment, en signe de protestation, dans la matinée de ce lundi 28 mars 2022. Ils dénoncent la vétusté des lieux après des incidents à répétition. Le blocage a été levé dans l’après-midi après une médiation du gestionnaire Coallia.

    L’absence de chauffage et d’eau chaude depuis douze jours fut la goutte qui fit déborder le vase. Les résidents du centre d’accueil des demandeurs d’asile (CADA) de Coallia à Vergigny ont bloqué l’accès au bâtiment jusqu’en début d’après-midi de ce lundi 28 mars. Ils protestent contre leurs conditions d’hébergement.

    “C’est l’expression d’un ras-le-bol”, explique Crispin Tumba. Francophone et installé ici depuis six mois, il est un de leurs porte-paroles. “L’immeuble est vétuste, résume-t-il. Malgré les efforts du personnel, les pannes reviennent à chaque fois. Rien n’est fait pour trouver une solution pérenne.” Ce CADA accueille entre 120 et 130 résidents. Dix salariés y travaillent.

    www.lyonne.fr via fdesouche

  • Allemagne : Deux Syriens jugés pour avoir violé une jeune fille de 14 ans, qui leur donnait des cours d’allemand dans un foyer de réfugiés. La victime est la fille d’un humanitaire pro-migrants

    Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2022

    Allemagne – 6 ans après son viol dans un foyer de réfugiés à Lüchow-Dannenberg, Annika R. (20 ans) fait face à ses agresseurs présumés depuis lundi.

    En mars 2021, Mohamad T. (25 ans) et Schadi A. (25 ans) avaient été condamnés en vertu du droit des mineurs à deux ans et 18 mois de prison avec sursis et à une amende de 500 euros chacun. Une peine clémente ! Mais le duo a fait appel. Maintenant le deuxième procès a débuté au tribunal régional de Lüneburg.

    Annika est la fille d’un travailleur humanitaire qui s’occupait des réfugiés de Hanovre. Elle donnait à Mohamad T. et Schadi A. des leçons de langue allemande le jour du crime en 2016. Selon l’acte d’accusation, ils ont d’abord bu du thé dans le logement. Soudain, Mohamad T. aurait tenu les bras de la jeune fille pendant que son complice déshabillait Annika R. et la violait.

    Les Syriens auraient menacé la jeune fille de 14 ans de tuer sa famille si elle parlait. Par honte et par peur, elle n’a rien dit. Ce n’est qu’un an plus tard qu’elle a révélé son secret.

    Au début du procès, les accusés ont gardé le silence. Annika R. a été interrogée à huis clos – et a pleuré. Son avocat Pascal Ackermann : “Elle est encore traumatisée et veut enfin pouvoir mettre cette affaire derrière elle.”

    Bild.de via fdesouche

  • Dette publique : spirale vertigineuse

    Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2022

    synthesenationale

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    Gaëtan Capèle

    C’est l’éléphant dans la pièce que tout le monde fait mine d’ignorer : a douze jours de l’élection présidentielle, l’énorme sujet de la dette publique brille par son absence dans le débat politique. Les chiffres pourtant, donnent le vertige. L’endettement de la France, pris dans une spirale vertigineuse, a triplé en vingt ans pour dépasser les 2800 milliards d’euros. La Cour des comptes, chargée de surveiller le bon usage de l’argent public, s’inquiète ouvertement de cette trajectoire, en passe de devenir hors de contrôle. Depuis un demi- siècle, quelle que soit la météo économique, la France vit au-dessus de ses moyens, en dépensant systématiquement davantage que ce qu’elle possède. Avec la pandémie, puis la flambée des prix de l’énergie, les dernières digues ont lâché. Au nom de circonstances exceptionnelles qui le sont de moins en moins, l’État se charge de tout, se substitue à tout, paie tout, quoi qu’il en coûte.

    Cette infantilisation du pays prépare des lendemains difficiles. Personne, à part Jean-Luc Mélenchon, ne croit à la fable d’un effa- cement de la dette. La réalité est qu’avec son gonflement sans fin et la remontée des taux d’intérêt, il faudra, à l’avenir, consacrer de plus en plus de moyens à son remboursement. Et que la générosité publique actuelle, purement factice, annonce les impôts de demain.

    On cherche en vain, dans la frénésie dépensière des programmes électoraux, ce qui pourrait interrompre cette fuite en avant. Emmanuel Macron ou son successeur devra pourtant bien s’y astreindre. Car le monde d’avant, que l’on croyait révolu, revient au galop. Les banques centrales préparent la fin de l’argent gratuit à volonté. Les créanciers internationaux recommencent à trier les bons et les mauvais risques. Les Européens s’apprêtent à renégocier les règles budgétaires applicables dans la zone euro. La France, qui n’a quasiment jamais respecté les précédentes, espère davantage de souplesse et ambitionne même de convertir ses voisins aux bienfaits de la dette commune. Son lourd passif ne plaide pas en sa faveur.

    Source : Figaro 30/3/2022

  • Accueil des filles ukrainiennes

    Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2022

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    Bienvenue en France, mesdemoiselles.
    La France, cette patrie que ses fils chérissent tant et ont tant défendue qu'elle est aujourd'hui envahie et occupée.
    Fuyez, pauvresses! Et nous, couvrons-nous de cendres, au lieu de pérorer et donner, comme d'habitude, des leçons de stratégie à la terre entière!