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  • Stups, rodéos, rixes entre bandes : en Essonne (91), la délinquance repart à la hausse après la pause Covid, cinq policiers agressés chaque jour

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2022

    Le nouveau préfet Bertrand Gaume a fait un point chiffré sur la délinquance en Essonne lors de la séance de rentrée du conseil départemental, lundi. Les violences intrafamiliales, notamment, ont augmenté de 20%.

    […]

     

    Le point noir des rixes entre bandes

    Concernant les trafics de stupéfiants, le préfet s’est dit satisfait de voir que le nombre d’affaires révélées par les services de police et de gendarmerie est en hausse de 20 %, et que le nombre de points de deal a reculé de 20 % dans le département. En zone police, 215 kg de cannabis, 10 kg de cocaïne et 150 000 euros ont été saisis. « On s’intéressera aussi aux clients, car quelque part, en achetant, ils sont complices de ces trafics », prévient Bertrand Gaume.

    […]

     

    Cinq policiers ou gendarmes agressés chaque jour

    Le nombre de faits de violences contre les forces de l’ordre est aussi en hausse, avec cinq agressions physiques par jour en moyenne. « Nous déposerons plainte systématiquement », prévient Bertrand Gaume, qui souhaite une hausse des effectifs. « Nous avons eu 94 effectifs supplémentaires nets côté police. Mais côté gendarmerie, ils constatent un léger déficit. Notre préoccupation sera de les récupérer lors des prochaines sorties d’école. Nous aiderons aussi les communes rurales à faire de la vidéoprotection. »

    Le Parisien via fdesouche

  • Essonne : un maire PCF met une école libre en danger

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2022

    Essonne : un maire PCF met une école libre en dangerEssonne : un maire PCF met une école libre en danger

    Le groupe scolaire catholique Trinité et Tarcisius est implanté depuis 9 ans en Essonne, à Frileuse, dans le hameau de la ville de Briis-sous-Forges. Seul établissement catholique hors-contrat du département, il accueille 120 élèves, de la primaire au collège. Deux bâtiments différents forment ce groupe, séparés par 5 kilomètres. Cette école est gérée par l’association familiale d’éducation en Essonne (AFEE), composée de parents d’élèves.

    David Vauthrin, président de l’association, indique que le groupe souhaite devenir propriétaire de ses propres locaux. Courant 2021, le groupe scolaire s’intéresse à la maison des fondateurs de l’école, sur le départ. La maison, mitoyenne aux locaux qu’ils louent pour l’école, est une trouvaille idéale. L’occasion de racheter les locaux dans lesquels ils sont depuis 2013 et d’acquérir la maison mitoyenne pour y héberger le collège. Le 30 décembre 2021, un compromis de vente est signé. Début 2022, il engage des procédures administratives en matière d’urbanisme.

    Le maire PCF Emmanuel Dassa se montre défavorable au projet en justifiant d’un nombre trop important d’élèves au vu de la petite taille de la station d’épuration de la ville. Un reproche d’autant plus étrange que la mairie avait auparavant donné son accord à l’installation de ce même nombre d’élèves, et que l’établissement bénéficie d’une autorisation ERP (établissement recevant du public), qui permet d’engager des travaux de rénovation.

    En parallèle, le maire du village se met à avoir d’autres ambitions pour ces deux biens. Il est notamment évoqué un projet de logements sociaux. Le dimensionnement de la station d’épuration ne semble ici poser aucun problème.

    Malgré le compromis de vente, le Maire décide de faire voter, le 28 mars, le droit de préemption des biens en conseil municipal. L’école, dont le bâtiment est compris dans le droit de préemption, devrait impérativement déménager, en l’espace de quelques semaines.

     

    Source : lesalonbeige

  • “On nous vire pour faire place aux Ukrainiens, c’est du racisme !” : les migrants d’un centre d’hébergement de l’Essonne expriment leur mécontentement

    Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2022

    Dans un centre d’hébergement de l’Essonne, 49 jeunes exilés hébergés risquent de se retrouver de nouveau à la rue. En cause ? L’arrivée d’Ukrainiens qui fuient la guerre. Plusieurs associations dénoncent cet accueil discriminatoire. La préfecture dément tout lien.


    Essonne : non, les 49 migrants ne seront pas expulsés pour laisser place à des réfugiés ukrainiens

    A Ormoy, une cinquantaine de jeunes étrangers ont eu pour ordre de quitter un centre d’hébergement car leur situation n’était plus en règle. Selon la rumeur, pour être remplacés par des Ukrainiens. Plusieurs médias se sont engouffrés dans la brèche. En réalité, moins de cinq personnes sont concernées.

    (…) Le Parisien via fdesouche

     

     

  • Essonne : un policier en civil roué de coups par trois hommes algériens et marocains après être venu en aide à un couple

    Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2021

    lesobservateurs

    En voulant s’interposer et défendre un couple pris à partie, un policier en civil a été roué de coups, lundi 26 juillet. L’agression s’est déroulée vers 21h à la gare RER de Massy-Palaiseau, en Essonne. Alors qu’il rejoignait son commissariat, Actu 17rapporte que l’agent de 25 ans a aperçu trois hommes en train de s’en prendre à un jeune couple. Le fonctionnaire s’est approché et a montré sa carte de police au trio pour stopper l’incident. Mais au lieu de se calmer, les individus ont roué le policier de coups de pieds et de poings, avant que ce dernier ne parvienne à appeler du renfort.

    Trois hommes algériens et marocains

    [...]

    article complet: https://www.valeursactuelles.com/regions/ile-de-france/essone/no_agglomeration/faits-divers/essonne-un-policier-en-civil-roue-de-coups-par-trois-individus-apres-etre-venu-en-aide-a-un-couple/

  • Essonne (91) : Des « jeunes » ont ouvert une bouche à incendie pour remplir une grande piscine à armature posée en bas de la cité

    Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2019

    Par  le 28/07/2019

    Vendredi, alors que les températures avaient battu tous les records la veille, les policiers ont été appelés par les services de la ville pour démonter une piscine à armature, installée en pleine rue dans le quartier sensible des Tarterêts à Corbeil-Essonnes (Essonne).

    Comme dans de nombreux autres endroits de France, la mode du street-pooling n’a pas épargné la ville. Afin de se rafraîchir, les jeunes ont ouvert une bouche à incendie pour en faire jaillir un geyser d’eau. Une pratique interdite, et dangereuse : un enfant de six ans est toujours dans un état critique après avoir été projeté sur plusieurs mètres par le jet d’eau d’une bouche à incendie, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). […]

    Le Parisien via fdesouche