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  • Le bac, un examen qui ne vaut plus rien

    Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2022

    Le bac, un examen qui ne vaut plus rien

     

    Par Claude Meunier-Berthelot, enseignante, essayiste ♦ C’est la saison du bac ! Le bac ! Ce mythique diplôme tant convoité, censé attester de la réussite d’études secondaires solides signant l’aube d’un avenir plein de promesses !

    Avant…oui ! Avant…c’était bien cela ! mais… Qu’est devenu le bac d’antan ?
    Il s’est multiplié !

    Il s’est multiplié, mais ce n’est pas miraculeux pour autant !

    Des bacs généraux aux bacs professionnels en passant par les bacs technologiques censés déterminer non seulement des niveaux de compétences intellectuelles mais professionnelles, ceux-là nous les connaissons bien depuis quelques dizaines d’années déjà, avec leurs spécificités particulières néanmoins, en trompe-l’œil !

    Ce que nous savons moins, c’est qu’en dehors de ces catégories, se déroulent d’autres types de bacs dont l’existence est particulièrement feutrée, ceci s’expliquant par le fait de la disparité des types de scolarisation aux objectifs et aux moyens diamétralement opposés en fonction des publics concernés.

    Il en résulte :

    • Un simulacre de bac pour nos enfants qui ne vaut plus rien,
    • Un bac international d’excellence pour les élèves issus de l’immigration scolarisés dans les « cités de haute qualité éducative »,
    • Un bac traditionnel renforcé pour les élèves des écoles hors contrat (écoles indépendantes).

    Un simulacre de bac pour nos enfants

    L’obtention d’un bac – même totalement dépouillé de sa substance – permet de masquer à une grande partie du public, l’indigence de la scolarisation de nos enfants dans les établissements de l’Education nationale et de ses satellites et tout est fait pour faciliter l’attribution de ce diplôme qui ne représente plus rien, tant au niveau de la formation intellectuelle que de la culture et des compétences.

    En effet, ce bac nouveau – 2022 – concocté par Jean-Michel Blanquer n’a plus de bac que le nom quand bien même il a eu le cynisme de déclarer que « l’objectif principal de cette réforme est de donner davantage de poids au diplôme du bac » !

    Blanquer à l’Éducation nationale, la dictature en marche

    En réalité, la nouvelle mouture du bac repose essentiellement sur la mise en place d’un contrôle continu, véritable auberge espagnole !

    Avec des épreuves partielles organisées par les établissements eux-mêmes dans un entre-soi qui n’est pas à démontrer, avec la prise en compte des notes des bulletins, notes attribuées par les professeurs des candidats concernés, avec également la présentation de projets d’élèves sans obligation de résultat préétabli, comment pourrait-il en être autrement et quel résultat en attendre ?

    Tout ceci résulte de la révolution scolaire – du primaire à l’université – que Blanquer a laissé en héritage à Pap N’Diaye, révolution par laquelle la plus grande partie des cours est supprimée au profit d’activités au cours desquelles les « élèves » sont censés construire leur savoir, activités basées sur l’acquisition et la vie des « valeurs de la république ».

    Le bac nouveau marque donc l’aboutissement d’un processus de destruction de l’institution scolaire pour nos enfants, il est forcément vidé de sa substance, il n’en reste que la coquille, ce qui est la marque des révolutionnaires qui nous gouvernent : Lénine recommandait à ses « troupes » : « gardez la coquille, videz-là de sa substance »… pour mieux tromper le peuple, rappelant un autre de ses couplets : « le mensonge est sacré, la tromperie doit être notre arme principale ».

    bac,emamen qui ne vaut plus rien

    Langue arabe, sexualité, REP… La drôle de rentrée de Blanquer

    Bac international d’excellence pour élèves issus de l’immigration

    Quant au « bac international » – dit « bac de Genève » (qui n’a rien à voir avec le bac français à option internationale) basé sur le bilinguisme et l’excellence, il est réservé aux élèves issus de l’immigration scolarisés dans les lycées d’excellence et les E.P.L.E.I (Établissements Publics Locaux d’Enseignement International) qui leur sont destinés.

    C’est un diplôme étranger prisé par les universités les plus prestigieuses du monde et qui se prépare en principe, dans des établissements relevant de l’Organisation du baccalauréat international (IBO), ce qui leur permet d’accéder aux meilleures études et aux fonctions les plus hautes.

    Un bac renforcé pour les élèves issus des écoles hors contrat

    Quant aux écoles hors contrat, elles poursuivent toujours l’objectif du savoir, de la formation intellectuelle, de la préservation de la culture française et développent chez les élèves, des qualités intellectuelles sans commune mesure bien supérieures à celles des candidats de l’école publique et de ses satellites.

    De ce simple fait, sans le claironner au grand public, ces candidats sont soumis aux conditions traditionnelles d’obtention du bac : pas de contrôle continu ; 100% des épreuves qui leur sont exclusivement destinées ont lieu fin de terminale et dans chaque discipline d’enseignement, contrairement aux candidats de l’enseignement public et privé sous contrat – dont la notation est établie sur un groupe de 3 matières, en contrôle continu et entre soi – et des jurys spécifiques sont constitués.

    Il est évident que dans ces conditions, il est plus facile pour le système, de mettre des élèves en difficulté et de masquer à la fois l’indigence du prétendu bac des élèves de l’Éducation Nationale et de ses satellites et l’incomparable supériorité des élèves des écoles hors contrat.

    Le sabotage du bac des élèves des écoles hors contrat

    Le bac 2022 a tout fait pour déstabiliser les candidats victimes d’un véritable sabotage du bac tant et si bien que nous pouvons faire un inventaire à la Prévert de tous les dysfonctionnements enregistrés dans la plupart des académies :

    • Des centres d’examen non prévenus : des élèves convoqués sont arrivés dans des centres fermés ;
    • des examinateurs ne sachant pas comment fonctionnaient les épreuves, ne sachant pas sur quoi interroger les élèves ; ils ont dû être reconvoqués ;
    • des examinateurs se trompant de sujet, donnant des sujets de 1ère aux terminales, par exemple ;
    • des interrogations sur des sujets qui n’étaient pas au programmes ;
    • une épreuve de compréhension orale à partir d’une vidéo où tous les élèves ne pouvaient pas voir l’intégralité du film et ont dû se masser près de l’appareil de projection, par terre ou sur le dos du voisin, pour pouvoir prendre des notes ;
    • des temps de préparation divisés par deux ;
    • des tiers-temps pour handicapés non respectés ;
    • parfois des dénigrements…bac,emamen qui ne vaut plus rien

    Les écoles hors-contrat attaquées par Jean-Michel Blanquer

    Conclusion

    Enfin ! il est difficile d’imaginer que ce festival de dysfonctionnements n’ait pas été orchestré.

    Tout a été mis en œuvre pour déstabiliser les élèves, et nous sommes en droit de nous demander s’il ne serait pas plus productif pour eux, d’ignorer totalement ce diplôme, que soit créé un diplôme à part qui les démarque, par sa qualité, de cette mascarade qu’est devenu ce mythique « bac » dépourvu de toute substance et destiné à tuer la France.

    Claude Meunier-Berthelot
    15/06/2022

     

    Source : polemia

  • Xi Jinping ordonne le début des préparatifs d’une opération militaire contre Taïwan

    Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2022

    Xi Jinping a ordonné les préparatifs pour une opération militaire spéciale à Taïwan. Selon les sources, l’opération militaire spéciale (opérations militaires « non liées à la guerre ») a pour but d’assurer la souveraineté nationale de la RPC.

    Le texte complet du document signé par le dirigeant chinois n’a pas été rendu public, mais les journalistes d’Avia.pro ont appris que le document envisage des actions visant à sauvegarder la souveraineté nationale du pays. Il ne s’agit pas d’un ordre de lancer une opération militaire spéciale, mais seulement de s’y préparer si les intérêts nationaux et la souveraineté de la Chine sont menacés.

    Dans le même temps, les analystes estiment qu’au vu de la situation actuelle dans la région, la Chine pourrait bien lancer une opération militaire spéciale dans les prochains mois, si la situation autour de Taïwan n’est pas désamorcée.

    Les experts notent que même en tenant compte du soutien américain à Taïwan, l’île n’a aucune possibilité réelle de contrer la RPC.

    « L’apparition de navires de guerre, de sous-marins, d’avions de chasse et de bombardiers américains dans la région n’est rien de plus qu’une tentative de démonstration de force de la part de Washington. Si nécessaire, la Chine détruira la flotte américaine en quelques heures, et les avions américains ne pourront guère s’approcher des frontières de la RPC à moins de 150 kilomètres », affirme l’analyste d’Avia.pro.

    source : Avia.pro

    traduction Avic pour Réseau International

  • Oise: un quadragénaire proche de l’ultragauche arrêté, il aurait incendié une soixantaine de véhicules depuis 2017

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2022

    Un homme proche de la mouvance de l'”ultragauche” a été arrêté le weekend dernier et placé en détention provisoire, accusé d’avoir incendié depuis 2017 une soixantaine de véhicules qui appartenaient notamment à des entreprises publiques ou des opérateurs de téléphonie, a appris l’AFP de source proche du dossier. Cet homme âgé d’une quarantaine d’années a été arrêté par la sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire dans l’Oise […]

    Europe1 via fdesouche

  • Services publics, Justice, Éducation nationale : vers le grand effondrement

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2022

    15 Juin 2022, 06:37am | Publié par Thomas Joly

    À trop surveiller de près ce Grand Remplacement que d’aucuns ne veulent pas voir, ou font mine de ne pas vouloir voir, on passerait presque à côté du grand effondrement qui est en train de happer notre pays.

    Ce grand effondrement est incontestable dans les services publics, et dénoncé depuis des années maintenant par une majorité d’hommes et de femmes politiques de tous bords. L'état de la Justice, de l’Éducation nationale et, bien évidemment, du système de santé public dans son ensemble en est la preuve incontestable. Ces trois piliers structurants de la société, garants de l’État de droit, de l’égalité des chances et de la santé pour tous, ne sont même plus des caricatures de leurs promesses mais des zombies.

    Il est désormais flagrant qu’il existe une Justice pour le commun des mortels, affreusement lente et inefficace par manque drastique de moyens, et une Justice pour les puissants, agile et sévère avec les misérables. Ajoutons une troisième Justice politique, qui place des pans entiers de la société sous sa coupe, en toute impunité.

    Le constat de l’état de déliquescence dans lequel est plongée l’Éducation nationale est encore plus simple à faire. Le simple fait que les ministres qui se sont succédé rue de Grenelle, ces dernières années, aient tous placés leurs enfants dans le privé, y compris pendant leur mandat, est un aveu criant.

    Quant à l’hôpital public, et le système de soins français dans son ensemble, vous avez déjà lu des kilomètres d’articles à ce sujet et avez expérimenté, pour vous-même ou pour vos proches, le chaos des urgences, la chasse à l’ophtalmo, au gynéco ou à l’oncologue. Vous savez.

    Le problème, c’est que cette situation de déliquescence généralisée qui s’est amplifiée sournoisement au cours de la décennie écoulée dans le secteur public contamine désormais le secteur privé. La « QOS », pour Quality of Service, ou Qualité de Service, en bon français, n’est plus qu’un lointain souvenir, y compris au sein des grandes entreprises, même celles à la réputation de fiabilité et d’excellence.

    Vous me direz, « en quoi est ce grave ? ». La réponse est pourtant simple. Un adage boursier dit « la mauvaise monnaie chasse la bonne ». Les assignats ont fait disparaître au fond des coffres les pièces en or. De la même manière, les mauvaises pratiques chassent les bonnes. Cette propension qu’a l’administration à ne pas répondre aux courriers qu’on lui envoie, à ne respecter aucune règle qu’elle impose aux autres, à complexifier l’intégralité de la chaîne relationnelle avec elle dans le seul but de perdre un maximum de monde en cours de route, afin de faire dégonfler les files d’attente, bref, cette propension à tout faire pour ne surtout rien faire, tout cela devient la norme aussi dans le secteur privé.

    Il est certain que la pandémie a contribué à l’installation de ce phénomène, ou à son amplification. Courriers et serveurs vocaux nous ont demandé d’être compréhensifs, en raison de la situation sanitaire patati-patata... Mais il n’y a pas eu de retour en arrière : l’à-peu-près, le « plus tard », le « ce n’est pas possible », le « on le fait plus » sont devenus la règle. Vous, moi, vos proches, avons des dizaines d’exemples récents du quotidien du lent naufrage de pans entiers du secteur privé. Les explications sont multiples, allant du matraquage fiscal et de la tyrannie de la marge à la crise des vocations, en passant par la blague de l’apprentissage subventionné et le recours systématique au numérique qui ne peut surtout pas tout. Mais le constat est là. Ce ne sont plus des cas isolés, ce n’est pas la faute à pas de chance et vous n’y êtes pour rien. La médiocrité est devenue le mode de fonctionnement normal de notre société moderne.

    Et après la médiocrité, il y a le néant.

    Jean-Baptiste Giraud

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Clermont-Ferrand : une vingtaine de véhicules ont été incendiés la nuit dernière dans le quartier de La Gauthière

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2022

    Une vingtaine de véhicules ont été incendiés, ce mercredi, au petit matin, dans le quartier de La Gauthière, à Clermont-Ferrand. Ces feux sont survenus quelques heures après l’interpellation d’un homme, par les policiers clermontois, dans le cadre d’une enquête judiciaire.

    Plus d’une vingtaine de véhicules stationnés dans le quartier de La Gauthière, au nord de Clermont-Ferrand, ont été détruits par le feu, ce mercredi, vers 2 heures du matin. Ces incendies volontaires sont survenus quelques heures après l’interpellation, par les policiers clermontois, d’un habitant de ce même quartier, dans le cadre d’une enquête judiciaire, pour des faits présumés d’enlèvement et de séquestration.

    (…) La Montagne via fdesouche