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  • Bac 2022 : des enseignants se sont aperçus que les notes qu’ils avaient attribuées ont été remontées d’1 ou 2 points. “Nous sommes scandalisés”

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2022

    Des correcteurs du bac ont constaté une augmentation de certaines notes sur des copies du bac. Une procédure normale répond l’Education nationale.

    La méthode fait scandale. Des professeurs qui corrigeaient les copies des épreuves de spécialités du bac se sont aperçus que les notes qu’ils avaient attribuées ont été remontées d’un ou deux points. Le ministère de l’Education nationale répond qu’il s’agit d’une procédure normale d’harmonisation. Même les inspecteurs dénoncent le procédé.

    Des lots de copies augmentés d’un point

    Les correcteurs du bac ont été surpris. Ils ont découvert que les notes qu’ils avaient attribuées à chaque copie ont été remontées. D’un point par exemple pour ce professeur d’économie-gestion en filière technologique dans l’académie de Créteil, qui souhaite rester anonyme : “Cette année, nous devions avoir corrigé nos copies pour la date du 7 juin, dit-il, entre 35 et 40 copies chacun. Quelques jours après, avec mes collègues, on est retournés voir ce qu’il était advenu de nos copies après avoir verrouillé nos lots et à notre grande surprise, on a globalement tous constaté que nos lots de copies avaient été systématiquement augmentés d’un point”.

    L’enseignant remarque le manque de cohérence dans ces ajustements : “Un point sur une copie qui a 17, cela fait 18 mais un point sur une copie qui a un cela fait deux donc en termes de pourcentage, ce n’est pas vraiment équitable entre les candidats. Mais surtout ce qui était choquant, c’est qu’il n’y a eu aucune concertation, aucune information.” Le correcteur s’interroge : “Sur quel critère cela a été fait ? On n’en sait rien. On n’est pas la seule discipline concernée puisque bien évidemment, on a contacté d’autres enseignants dans nos lycées respectifs, dans d’autres disciplines et c’est général. Cela concerne les maths, l’anglais, l’histoire… enfin ça a été global.”

    Des résultats catastrophiques

    Cet enseignant, qui corrige les copies du bac depuis une dizaine d’années, avance une explication : “Globalement, on a tous été affolés par les moyennes qu’on obtenait, qui étaient assez basses. Dans la filière technologique STMG, en sciences de gestion, c’était bas mais en droit et économie, c’était carrément catastrophique. où j’ai des collègues qui tournent à des moyennes entre 6 et 7 sur 20. L’impression qu’on a eue, c’est que les résultats du bac vont être… enfin… auraient été très, très mauvais cette année avec un nombre de redoublants affolants et pas de place pour eux l’année prochaine.”

    (…) Radio France


    « Nous sommes scandalisés », « C’est une remise en question de notre conscience professionnelle ». Ce sont les mots qui viennent à l’esprit de plusieurs enseignants de lycées du Rhône, ayant fait passer les épreuves de spécialité (anglais, géopolitique, SES) du baccalauréat et qui ont vu leurs notes attribuées, être réévaluées et augmentées de deux points.

    (…) Le Progrès

  • Agneaux volés

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2022

    Des agneaux sont volés chaque année en période de pâques. C'est sûrement un coup des Chrétiens!
     
    Dans les fermes, on vole aussi les moutons - Journal de 13 heures | TF1
  • Rennes (35) : une conductrice de bus témoigne face à l’insécurité grandissante : “je vais travailler la peur au ventre”, “par peur de l’altercation, (on) évite de faire des remarques aux auteurs d’incivilités”

    Publié, par Guy Jovelin le 17 juin 2022

    Après plusieurs graves incidents sur le réseau de bus à Rennes, une conductrice se confie sur la difficulté d’exercer son métier au quotidien. « Travailler dans de telles conditions, dans la peur, ça n’est plus possible ». Pour Laurence (*), conductrice de bus sur le réseau STAR à Rennes depuis quatre ans, le quotidien au travail est devenu trop difficile à supporter.

    Après l’agression à l’arme à feu d’un adolescent dans un bus de la ligne 9 la semaine dernière, elle se confie sur cette « insécurité grandissante » qui l’empêche d’exercer correctement son métier. (…)

    « Avant quand je rentrais chez moi, je me disais vivement demain pour retourner travailler », confie Laurence (*). « C’est terminé tout ça. J’ai toujours supporté facilement les humeurs des passagers, quelques altercations, mais là on a des incidents qui impliquent des couteaux, des armes à feu… Chaque matin, je vais travailler la peur au ventre ». (…)

    Aujourd’hui, une fatigue généralisée semble gagner la profession. Par peur de déclencher une altercation, certains conducteurs évitent de faire des remarques aux passagers auteurs d’incivilités.

    * Le prénom a été modifié.

    Le télégramme via fdesouche

  • Législatives à Drancy (93) : la candidate Raquel Garrido (LFI) aspergée de gaz lacrymogène, elle accuse deux militantes de Jean-Christophe Lagarde d’être responsables de l’agression

    Pulié par Guy Jovelin le 17 juin 2022

  • Le moustique s’agite en Roumanie face à l’ours russe.

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2022

    La gesticulation ridicule de « notre président » est pathétique

    Si le ridicule ne tue pas, à tout le moins, la gesticulation de notre président est pathétique. Dans son rôle de chef des armées, il a envoyé 500 braves militaires français en Roumanie, bientôt 1 000, pour participer à la protection d’un territoire de l’OTAN. Et que font-ils sur place ? Officiellement de la dissuasion face aux forces russes. Le rapport de forces (500 contre…50 000 au bas mot – si les hypothétiques russes prennent le sud de l’Ukraine et un peu plus en Roumanie, mais c’est un scénario fort improbable -, 1 contre 100, voire 50 quand ils seront 10 00, un rapport de force négligeable, immensément petit, ridicule…).

    En fait, selon nos sources, pas grand-chose,  gardes de la base aérienne et petit entraînement ALI [1] car les roumains n’ont pas les installations adéquates, notamment des champs de tir à longue portée. Bon, c’est à côté de la mer, ils peuvent profiter de la saison estivale lors de leur «day off[2] » !

    Mais les militaires sont inquiets car les russes ne sont pas les enfants de cœur d’AQMI. Ils ont juste la supériorité maritime, aérienne,  terrestre avec des matériels récents et servis par des militaires aguerris depuis trois mois. Et les journaux aux ordres se sont glorifiés que Macron s’est fait présenter les magnifiques matériels par le contingent projeté : voyez plutôt : AMX10RCR (roue et canon de 105mm, revalorisé), au moins 40 ans d’âge, à roue, tout-terrain quand c’est sec ! Et pouvant être transpercé par des obus de 30mm malgré le surblindage épart (les russes possèdent au minimum du 30 mm et plus sur leurs engins d’infanterie type BMD 4, BMP 3 ou chars). VBL[3], même âge de conception (j’en avais un en Bosnie en 1995 déjà usé jusqu’à la corde[4] !), qui résiste à peine à du calibre 12,7mm. J’ai vu un VBCI, qui résiste un peu plus…mais avec même une section ou une compagnie, cela fera environ une quinzaine de VBCI à tout casser face à … 50000 russes sur ce possible front.

    La honte totale, nous sommes vraiment le moustique qui s’agite et qui espère que l’ours russe ne sorte pas la tapette à mouche pour nous pulvériser.

    Anatole Castagne

    [1] ALI : armement petit calibre

    [2] Day off en langage otanien signifie quartier libre ou permission sur place.

    [3] VBL : véhicule blindé léger. Est en train d’être revalorisé en matière de châssis, motorisation plus puissante et transmission.

    [4] Au bout de 3 semaines du côté de Sarajevo, mon chef mécano me dit : « mon capitaine, je ne recevrai jamais vos amortisseurs qui sont quasiment cassés sur votre VBL ; Utilisez la P4 Syntex dorénavant. » La P4 Syntex est une P4 Peugeot à laquelle on avait rajouté du sur blindage kevlar souple sur le bas des portières et un peu à l’arrière, les fenêtres étant toujours en plastique ! Véridique ! Autant vous dire qu’emprunter l’avenue principale de Sarajevo, appelée Sniper allée, c’était mini à 90 km/h en priant très fort qu’il nous arrive rien! »

     

    Source : medias-presse.info