Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2022
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Le suicide de l’Union Européenne : les voitures thermiques interdites, le dangereux cadeau à la Chine
Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2022
Auteur : Francesca de VillasmundoAprès des décennies de guerre au nucléaire qui ont déterminé une grande dépendance des pays européens au pétrole et gaz russes, dont l’ukrainophile Union Européenne se mord les mains aujourd’hui, c’est aux batteries électriques chinoises que cette même Union Européenne, devenue entre-temps une adepte de l’idéologie verte, veut rendre les industries automobiles européennes dépendantes.
Les eurodéputés ont voté ce mercredi 8 juin 2022 un texte important dans le cadre du paquet climat visant à une neutralité carbone de l’Union européenne en 2050. À partir de 2035, les moteurs thermiques (essence et diesel) ne seront plus admis dans les véhicules neufs. c’est la fin de la voiture la plus utilisée actuellement : ni les consommateurs ni les constructeurs n’ont été interrogé. C’est à nouveau une décision unilatérale de la Commission européenne, organe technocratique non élu mais qui aujourd’hui, sous l’égide de l’atlantiste Ursula von der Leyen, fait la pluie et le beau temps.
L’objectif du zéro émission proposé par la commission européenne, soutenu par les Verts, les rouges, les progressistes, les centristes, globalement la bien-pensance des bobos-radicaux-chics, a fait l’objet d’une âpre bataille dans l’hémicycle, avec un amendement du PPE (droite pro-européenne et première force au Parlement) proposant de viser plutôt une réduction de 90 % des émissions automobiles en 2035. Cela aurait permis de poursuivre la vente de voitures hybrides. L’amendement a finalement été rejeté.
Les députés européens ont adopté par 339 voix pour, 249 contre et 24 abstentions leur position relative aux règles visant à réviser les normes de performance des émissions de CO2 pour les voitures particulières et les camionnettes neuves. Ils soutiennent ainsi la proposition de la Commission européenne d’atteindre une mobilité routière à émission de carbone nulle d’ici à 2035. Selon la doxa officielle, les voitures représentent 12 % des émissions de CO2 dans l’UE.
La mesure est historique car elle vise à interdire tous les véhicules à moteur « à combustion interne », donc essence et diesel. La gauche exulte, et tant pis pour l’irréalisme de la mesure, la destruction des emplois et de pans entiers de l’industrie européenne, la paupérisation des classes moyennes. La droite, malgré tout plus ancrée dans une économie libérale, qui a logiquement voté contre l’ensemble du texte, s’alarme des conséquences industrielles. Imposer le zéro émission reviendrait à condamner tout un pan de l’activité industrielle et pénaliserait fortement les consommateurs, estime Agnès Evren (PPE). Elle fustige un texte qui empêchera de commercialiser des véhicules hybrides performants ou des véhicules utilisant des biocarburants, dont la production pourrait s’avérer moins chère et moins émettrice de carbone que les véhicules électriques.
Cependant, le Parlement européen n’est pas un organe législatif au sens propre du terme. Par conséquent, la disposition votée hier n’entrera pas en vigueur, avec valeur juridique, dans les États membres de l’UE, mais fera l’objet de négociations entre tous les gouvernements membres. Qui garderont peut-être la tête sur les épaules face à cette mesure suicidaire.
Et irréaliste si l’on pense seulement qu’aujourd’hui les voitures électriques représentent 10 % du marché européen, les hybrides rechargeables (l’hybride dont la composante électrique est la plus importante) 9 % alors que les voitures à essence représentent encore 36 % du marché, un pourcentage qui passe à 61 % si l’on additionne les voitures hybrides normales (qui de toute façon roulent à l’essence) et les voitures diesel et qui représentent encore environ 17 % du marché (données Acea, mai 2022). Si les pourcentages de voitures électriques sont si faibles, toujours en 2022, ce n’est pas par paresse, préjugé ou planification politique. L’électrique dont le coût est prohibitif demande encore de nombreux sacrifices et de nombreuses installations et infrastructures qui seront difficilement réalisables en 13 ans, – avec les meilleures batteries, il est possible de parcourir 300-400 km au maximum, puis il faut recharger ce qui prend un peu moins d’une demi-heure, et les bornes de recharge électrique sont très rares.
Mesure folle également si l’on pense que « c’est un cadeau à la Chine », car les matières premières avec lesquelles les batteries sont produites, les « terres rares », sont de plus en plus monopolisées par les Chinois, pas seulement sur son territoire et en Asie… mais aussi en Afrique. Contrôlant 70% de l’approvisionnement mondial en « terres rares », la Chine à un quasi-monopole. Pour rendre l’Union Européenne indépendante du pétrole et gaz de l’ours russe, elle se met entre les mains du dragon chinois. Un changement qui n’est guère profitable. De ce point de vue également, la tyrannique UE commet un suicide stratégique.
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
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Toulouse: un nouveau journal local en arabe bientôt disponible, “il devrait laisser la place à quelques articles en français”
Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2022
Quelques années après des premiers numéros tests, Salim Benabderrahmane va lancer fin juin à Toulouse Retour Arabe. Ce journal d’actualité veut faire le lien entre les cultures et promouvoir la langue arabe.
Le 19 juin prochain, à quelques semaines de la sortie de son premier numéro mensuel, Retour Arabe sera présent au Forom des Langues du monde, sur la place du Capitole de Toulouse. Un bon moyen pour Salim Benabderrahmane, son fondateur, de mieux faire connaître ce journal en langue arabe sur lequel il travaille depuis plusieurs années. […]
[…] Baptisé « Retour Arabe », le mensuel se veut un moyen de « développer la langue et la culture arabe ». […]« Retour Arabe » sera un mensuel de 12 pages vendu un euro. S’il sera majoritairement arabophone, il devrait laisser la place à quelques articles en français, mais aussi en occitan. […]
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Les infirmières n’en revenaient pas : condamné par la communauté médicale, il a retrouvé la parole après quatre mois de coma
Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2022
Mars 2022, dans Le Parisien :
«On tue notre père, et nous avec» : le sort de Jean-Claude, 70 ans, oppose famille et soignants
Sur décision du corps médical, Jean-Claude Seknagi ne serait pas réanimé si son état de santé venait à se dégrader. Une perspective qui scandalise la famille de cet habitant de Bondy, hospitalisé depuis trois mois à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). La justice vient de nommer un médecin expert pour trancher ce cas épineux.
Juin 2022, dans Le Parisien :
En janvier 2022, cet habitant de Bondy âgé de 70 ans a été admis en réanimation à l’hôpital Robert-Ballanger à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Alors que l’équipe médicale s’était accordée pour arrêter les soins en cas de rechute, son état de santé s’est considérablement amélioré. Son fils se confie.
« Quand tes cheveux s’étalent/Comme un soleil d’été… » La bouche pâteuse, Jean-Claude Seknagi récite par cœur les premières paroles du tube « Que je t’aime » de Johnny Hallyday. Sa tête repose sur un oreiller d’hôpital qui ne ressemble en rien à un champ de blé. Donné pour mort par la communauté médicale, ce patient mélomane de l’hôpital Robert-Ballanger, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) sort alors d’un coma… de quatre mois.
L’homme de 70 ans était donné pour mort, et le médecin expert judiciaire déclarait à la famille que jamais dans le monde une personne dans son cas n’est sortie vivante de réanimation. Une autre évaluation conduite par « dix professeurs et docteurs spécialistes des troubles de la conscience » conclut dans le même sens. Aujourd’hui il est extubé, a pleinement repris connaissance, et devrait bientôt quitter le service de réanimation.
Source : lesalonbeige
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Chronique des cinglés
Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2022
La Nouvelle-Zélande deviendra à l’horizon 2025 le premier pays au monde à taxer les éleveurs pour les émissions de méthane (CH4), comprendre les rots, que leurs animaux produisent.
Selon Sciences et Avenir, les vaches françaises émettraient autant de gaz en un an que 15 millions de voitures.
Source : lesalonbeige