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  • Phénomène des “piqûres sauvages” : le premier suspect mis en examen est un migrant clandestin tunisien connu de la justice

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2022

    Agressions à la seringue: ce que l’on sait du premier suspect interpellé

    Depuis quelques semaines il y a chez certains une « mode » qui consiste à s’intégrer dans des foules (lors de fêtes et concerts) et à piquer les gens avec des seringues, sans qu’on sache trop avec quel contenu. Près de 300 plaintes ont déjà déposées en France !
    Enfin, on vient de prendre un de ces agresseurs, avec sa seringue sur lui.
    Le profil : envahisseur clandestin, déjà condamné en France, mais « difficilement expulsable » car il a fait un enfant à une femme !

    « Une première mise en examen qui devrait permettre de lever un coin du voile sur la mystérieuse vague d’agressions à la seringue . Pour la première fois, après des mois de violences perlées aux quatre coins du pays, un individu a été interpellé dans la nuit de vendredi à samedi, à Toulon, sur une plage du Var, lors de l’enregistrement d’une émission de TF1 . Une information judiciaire a été ouverte, ce qui a permis de placer en détention provisoire le mis en cause.

    De quoi, pour le parquet de Toulon, mettre fin au sentiment d’impunité des délinquants. En effet, une vague inexpliquée de piqûres touche depuis début avril des jeunes dans des boîtes de nuit , bars et festivals de toute la France, avec des plaintes déposées à Lille, Béziers, Nantes, Rennes, Strasbourg, ainsi qu’à Grenoble, Nancy, Lyon, Besançon, Valence ou encore Toulouse

    À Toulon, à la fin du week-end, le parquet avait enregistré vingt et un signalements. À ces derniers s’ajoutent deux personnes – une jeune femme et une adolescente – qui, lors d’une altercation avec l’individu, l’ont formellement vu portant une seringue. Fait non négligeable, la quasi-totalité des victimes sont des femmes. Le mis en cause, âgé de 20 ans, d’origine tunisienne, sans titre de séjour, sans emploi connu de la justice, est en état de récidive légale.

    Il a déjà été condamné, en 2020 pour violences conjugales sur sa compagne, qui aurait été entendue ce week-end. Père d’un enfant, il est difficilement expulsable. L’individu continue de nier vigoureusement les faits, malgré les dires de deux témoins. » (source Figaro)

  • La Russie menace de « frapper l’Occident » si des roquettes fournies par les États-Unis tombent sur son territoire

    Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2022

    lesmoutonsrebelles

    « L’un des plus proches alliés du président Poutine a averti que Moscou pourrait viser les villes occidentales si l’Ukraine utilisait des systèmes de roquettes fournis par les États-Unis pour mener des frappes sur le territoire russe »rapporte le Times du Royaume-Uni. Cet avertissement a été lancé par un proche allié de Poutine, l’ancien président Dmitri Medvedev, qui occupe actuellement le poste de vice-président du Conseil de sécurité russe.

    « Si, que Dieu nous garde, ces armes sont utilisées contre le territoire russe, alors nos forces armées n’auront d’autre choix que de frapper les centres de décision », a prévenu Medvedev dans ses nouvelles déclarations.

    C’est alors qu’il a suggéré ce qui suit pour la première fois, marquant une sévère escalade au niveau de la rhétorique :

    « Bien sûr, il faut comprendre que les centres de décision finaux dans ce cas, malheureusement, ne sont pas situés sur le territoire de Kiev » – ce qui laisse entendre que les capitales occidentales qui fournissent les armes de pointe pourraient être attaquées en réponse.

    Par le passé, la Russie a menacé de frapper des « centres de décision » en Ukraine, tels que Kiev et Lviv. Ces villes ont été visées à l’occasion, mais rarement, tout au long de la guerre qui en est à son quatrième mois.

    Les États-Unis ont confirmé la semaine dernière que l’Ukraine recevrait des systèmes de roquettes d’artillerie à haute mobilité M142, de moyenne portée, capables de frapper des cibles situées à environ 80 km.

    Le président Biden a souligné mardi que « nous n’allons pas envoyer à l’Ukraine des systèmes de roquettes qui frappent en Russie » – ce que le Kremlin a reconnu comme une décision « rationnelle », tout en condamnant le transfert des systèmes.

     

    Lire la suite : https://www.aubedigitale.com/la-russie-menace-de-frapper-loccident-si-des-roquettes-fournies-par-les-etats-unis-tombent-sur-son-territoire/

  • Dômes & Minarets affiche la couleur. Le Coran aussi

    Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2022

    Dômes & Minarets affiche la couleur. Le Coran aussi

    Le site Dômes & Minarets, qui a 21 000 inscrits, se présente comme le « Journal des Mosquées de France : Actualités, Islamophobie, Histoire, Chroniques, Education, Spiritualité ». Il n’hésite pas à donner dans le bas de gamme :

    Et, au sujet des discussions à propos des tenues de plus en plus islamistes (kamis et abayas viennent encore enrichir ( !) notre vocabulaire arabo-musulman…), voilà le futur souriant que nous propose ce site (souligné en rouge) :

    Vous aurez certainement aussi remarqué que ce tweet se termine par une citation du Coran (sourate 8 –Le butin, verset 30). Comme d’habitude, il est intéressant de regarder les versets proches des citations proposées par les propagandistes musulmans. Voilà les versets 36 à 39 de cette même sourate (comprendre pour les « associateurs » : les chrétiens). Et voilà le verdict :

    « Combattez-les jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah ».

    Par contre, les soumis seront pardonnés.

    Nous ne pourrons pas dire que nous n’avons pas été prévenus !

     

    Source : lesalonbeige

  • Erdoğan menace d’une prochaine attaque en Syrie

    Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2022

    D’Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :

    Le sultan n’a pas l’intention de laisser passer l’occasion. Alors que le monde entier a les yeux rivés sur l’Ukraine, Erdoğan a annoncé le prochain lancement d’une opération militaire en Syrie. Les plans ont même été présentés au Conseil de sécurité, qui les a approuvés le 26 mai.

    La Turquie occupe déjà, dans l’indifférence générale, la province d’Idleb, au nord-ouest, ainsi que les environs d’Affrin, dans la continuité d’Idleb, et, enfin, une bande de territoire au nord prise aux Kurdes en 2019, une conquête appelée « Source de paix »… Entre cette bande et Affrin, les Kurdes se sont installés avec l’accord de la Syrie. Le projet d’Erdoğan consiste à relier ces territoires puis à s’étendre vers l’est jusqu’à Qamishli afin de chasser l’ensemble des forces kurdes tout à fait à l’est de la Syrie où des troupes américaines sont présentes (en toute illégalité, bien entendu, puisque l’occupation américaine est unilatérale sans mandat de qui que ce soit et s’est imposée malgré les protestations de la Syrie, État souverain).

    Lors de la dernière intervention turque, les Américains avaient abandonné leur allié kurde et laissé les mains libres à Erdoğan, dont le poids dans l’OTAN est trop important pour se fâcher avec lui. Ce sont les Russes qui avaient arrêté les ambitions turques : ils étaient alors les maîtres absolus du jeu. Erdoğan avait dû s’incliner et interrompre la progression de ses troupes tout en conservant le terrain conquis.

    Mais les rapports de force évoluent avec la guerre en Ukraine. Les Russes ont envoyé sur le champ de bataille une partie de leurs soldats stationnés en Syrie et ne comptent de toutes façons pas s’opposer militairement à Erdoğan.

    Les objectifs du sultan sont clairement affichés. Il veut tout d’abord chasser les Kurdes présents sur sa frontière, y compris de Kobané où les troupes kurdes avaient repoussé les combattants de Daech à l’issue de combats sanglants en 2014-2015. L’appui aérien américain avait permis la victoire, mais il est vrai que les fantassins kurdes s’étaient courageusement comportés.

    Pour la Turquie, ce sont des terroristes regroupés autour du PKK, ce parti qui veut obtenir l’autonomie kurde en Turquie. C’est d’ailleurs à cause de ce sujet qu’Erdoğan bloque l’entrée dans l’OTAN de la Suède et de la Finlande, coupables d’avoir accueilli (surtout la Suède) de nombreux militants du PKK, parti interdit en Turquie et très actif en Irak et en Syrie.

    Puis, une fois les Kurdes chassés, l’idée est d’installer à leur place une partie des réfugiés syriens présents sur le sol turc. Le chiffre d’un million a été évoqué (Le Monde, 27 mai 2022). Les Syriens ne voient pas cela d’un bon œil car il y aura certainement nombres d’islamistes parmi eux, mais sans l’appui russe, ils ne pourront pas faire grand-chose.

    Une autre raison, non avouée, tient à la situation intérieure turque. La crise est plus profonde que jamais et, avec une inflation à 70 %, le pouvoir d’achat de la population s’effondre. Le mécontentement est profond et une opération militaire réussie permettrait de faire jouer la corde nationaliste, toujours très forte en Turquie.

    Pour Erdoğan, les élections de juin 2023 s’annoncent difficiles et, malgré répression et intimidations, l’opposition qui a conquis Istanbul et Ankara aux dernières élections municipales se sent pousser des ailes.

    Les Américains ont fait part de leur préoccupation à la suite des annonces d’Erdoğan. Ils ne bougeront donc pas si l’opération a lieu. Car l’ennemi, c’est la Russie, pas la Turquie, et tant pis pour les alliés kurdes.

  • Nigeria : une attaque dans une église pendant la messe fait de «nombreuses» victimes

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2022

    Des hommes armés ont attaqué dimanche 5 juin une Église catholique dans l’État d’Ondo, dans le sud-ouest du Nigeria, tuant de «nombreux» fidèles, selon le gouvernement et la police. Cette attaque s’est produite pendant l’office du matin à l’Église catholique St Francis dans la ville d’Owo, dans le sud-ouest du Nigeria, habituellement épargné par les djihadistes et les bandes criminelles actifs dans d’autres régions du pays.

    La responsabilité de l’attaque n’a pas été revendiquée. Ses motivations et son bilan n’étaient pas connus dans l’immédiat, mais le président Muhammadu Buhari a condamné le «meurtre odieux de fidèles». Le gouverneur de l’État d’Ondo, Oluwarotimi Akeredolu, a appelé dans son communiqué les forces de sécurité à retrouver les assaillants après cette «attaque ignoble et satanique».

    Selon la porte-parole de la police de l’État, Ibukun Odunlami, ils ont attaqué l’église munis d’armes à feu et d’explosifs. «Il est encore tôt pour dire exactement combien de personnes ont été tuées. Mais de nombreux fidèles ont perdu la vie tandis que d’autres ont été blessés dans l’attaque», a-t-elle déclaré à l’AFP.

    Un témoin, qui n’a donné que son prénom, Abayomi, a déclaré à l’AFP qu’au moins 20 fidèles avaient péri dans l’attaque. «Je passais dans le quartier quand j’ai entendu une forte explosion et des coups de feu à l’intérieur de l’église», a-t-il dit. Il a ajouté avoir aperçu au moins cinq hommes armés à l’intérieur de l’église avant de s’enfuir pour se mettre en sécurité.

    Le pape François a de son côté déploré la tuerie de «dizaines de fidèles» dans cette église catholique, affirmant prier pour les victimes. […]

    Le Figaro via fdesouche