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  • Le Conseil des mosquées du Rhône dénonce un «apartheid bancaire visant les institutions musulmanes et leurs bienfaiteurs»

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2022

    Le Conseil des mosquées du Rhône (CMR), dont le président est Kamel Kabtanea lancé, dimanche 5 juin, un appel au président de la République, Emmanuel Macron, contre un «apartheid bancaire qui vise les institutions musulmanes et leurs bienfaiteurs». Dans sa lettre, le CMR souligne que des dizaines de mosquées en construction ou extensions, ainsi que des donateurs, ont été victimes de fermetures de comptes «sans justification aucune».

    Le Conseil s’inquiète alors de ces «pratiques discriminatoires qui visent particulièrement les institutions musulmanes ainsi que les bienfaiteurs et parfois leurs proches». Aussi, malgré les nombreux signalements faits, les pouvoirs publics n’ont rien fait pour mettre fin à ce phénomène, regrette le CMR.

    «On ne peut pas continuer à mettre les Français musulmans sur le ban de la société et, en même temps, les taxer de séparatisme», dénonce la lettre. Kamel Kabtane, président du CMR et signataire de la lettre, y appelle Emmanuel Macron, «garant des droits fondamentaux de tous les Français» à cesser «cette ignominie juridique qui prive des institutions culturelles et des citoyens français de leurs droits fondamentaux».

    Dans un entretien accordé à BFM TV, le responsable rappelle que les fidèles en France sont la seule source des financements des mosquées. «Pour les associations qui déposent le dépôt de la quête réalisée tous les vendredis, comme dans les églises le dimanche, certaines banques trouvent à redire et pensent même que c’est de l’argent qui vient d’on ne sait où et ferment automatiquement les comptes», déplore-t-il.

    Selon Azzedine Gaci, recteur de la mosquée de Villeurbanne, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, s’est entretenu, mardi, avec Kamel Kabtane, sans que la nature des échanges n’ait été communiquée.

    yabiladi via fdesouche

  • Une infirmière violemment agressée par un détenu à la maison d’arrêt de Nanterre : Rachid, 35 ans, incarcéré pour meurtre, a tenté de l’égorger avec une lame de rasoir

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2022

    Une infirmière âgée de 34 ans a été violemment agressée par un détenu, dimanche matin, à la maison d’arrêt de Nanterre (Hauts-de-Seine). Ce déséquilibré incarcéré pour meurtre a tenté de l’égorger en utilisant une lame de rasoir.

    Il est 8h30 ce matin-là lorsque cette professionnelle de santé fait sa tournée pour distribuer les médicaments des prisonniers. La trentenaire est accompagnée d’une surveillante et les deux femmes entendent soudain des cris et de lourds coups portés sur une porte. Elles se rapprochent de la cellule de Rachid, 35 ans, un homme qui est incarcéré depuis le mois de juillet dernier après avoir commis un meurtre. « Ce détenu est suivi pour des soins psychiatriques et il est très agressif, explique la victime. Il y a quinze jours, il était au quartier disciplinaire. Et au mois de mars, il avait annoncé qu’il y a des balles qui se perdent en s’adressant au personnel soignant. »

    Les deux femmes attendent et le silence plane quelques minutes. La gardienne entrouvre la porte de deux centimètres pour parler avec le prisonnier. Le détenu la repousse et saute sur l’infirmière, armé d’une lame de rasoir. « J’ai senti une griffure au niveau du cou et la surveillante s’est interposée. Il a tenté de s’en prendre à elle. Je l’ai frappé sur l’épaule avec mon panier de médicaments en lui hurlant de s’arrêter. Et il s’est apaisé avant de me demander ce que j’attendais pour lui donner son traitement », ajoute-t-elle.

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Boulazac (24) : une jeune réfugiée ukrainienne de 21 ans affirme avoir été agressée et violée, le parquet ouvre une enquête

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin  2022

    Une jeune Ukrainienne de 21 ans réfugiée en Dordogne dit avoir été violée par un homme, chez elle à Boulazac, dans la nuit de dimanche à lundi. Le parquet a ouvert une enquête en flagrance, confiée à la police de Périgueux.

    Les enquêteurs du commissariat de Périgueux sont lancés à la recherche d’un homme suspecté du viol d’une jeune réfugiée ukrainienne de 21 ans, selon les informations de France Bleu Périgord. Les faits remonteraient à dimanche 5 juin, dans la soirée, dans un appartement du quartier de Barnabé à Boulazac. 

    La jeune femme est arrivée en Dordogne il y a seulement quelques semaines, avec une amie. Leurs conjoints sont restés en Ukraine, mais ils ont de la famille en Périgord noir qui a pu accueillir leurs compagnes. Rapidement, elles prennent leur indépendance et s’installent toutes les deux à Boulazac, dans un petit appartement du quartier de Barnabé. Les beaux-parents ont l’habitude de prendre très régulièrement de leurs nouvelles. Dimanche soir, ils s’inquiètent de ne pas réussir à les joindre et décident de faire la route en voiture pour aller chercher les deux jeunes femmes. Ils les retrouvent chez elles, avec un homme. La soirée, visiblement, a été arrosée. 

    La police retrouve la jeune femme tuméfiée

    L’inconnu repart de son côté, et les beaux-parents proposent de ramener chez eux les deux jeunes Ukrainiennes. Mais une seule accepte de venir avec eux. L’autre reste seule dans l’appartement. La famille repart, ils sont encore sur la route quand ils reçoivent un coup de téléphone. La jeune femme raconte que l’homme est revenu, en prétextant un téléphone oublié. Elle affirme qu’il l’a agressée, et violée. La famille compose immédiatement le 17. Mais quand les policiers arrivent, ils ne retrouvent que la jeune femme, tuméfiée. Le suspect a déjà pris la fuite. 

    France Bleu via fdesouche

  • Berlin : un Germano-arménien de 29 ans fonce en voiture sur un groupe de personnes, des blessés, dont des élèves, et une enseignante tuée (MàJ : Il est déjà connu de la police)

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2022

    fdesouche

    Six personnes ont été grièvement blessées, dont trois grièvement. Selon les informations de BILD, parmi les victimes se trouve une femme enceinte avec une hanche cassée.


    Selon la police, il s’agit d’un Arménien allemand de 29 ans vivant à Berlin. On ne sait toujours pas si l’homme a agi intentionnellement – ou s’il s’agit d’un grave accident. Il est actuellement interrogé. Selon les informations de BILD, l’Arménien allemand est connu de la police.

    Le conducteur

    10h26, mercredi matin, près de la Breitscheidplatz à Berlin : une Renault Clio argentée braque à 150 km/h sur le trottoir, puis fonce sur un groupe de personnes – parmi lesquelles des élèvesUne enseignante meurt.

    Six personnes sont gravement blessées, trois grièvement. On ne sait pas encore combien de personnes sont légèrement blessées.

    Selon la police, l’homme est un Germano-arménien de 29 ans vivant à Berlin. On ne sait pas encore si l’homme a agi intentionnellement ou s’il s’agit d’un grave accident.

    Le conducteur s’est d’abord enfui, mais des passants l’ont retenu et l’ont remis à la police.

    Le conducteur

    BILD


    Le conducteur de la Renault Clio argentée a été arrêté. Il s’est d’abord enfui, des passants l’ont retenu et l’ont remis à la police.

    Lors de l’incident mortel à Berlin, le conducteur a roulé près de 200 mètres plus loin après la première collision avec des personnes. Cet itinéraire est situé entre les coins de Kurfürstendamm, Rankestraße et Tauentzienstraße, où la voiture a foncé sur un groupe de personnes et s’est ensuite arrêtée dans la vitrine d’une succursale de la chaîne de parfumerie Douglas.

    Les détails du conducteur présumé n’ont pas nommé le porte-parole de la police au départ. Il sera interrogé et il sera examiné s’il s’agit d’un acte délibéré ou d’un accident de la circulation, ou si une urgence médicale est également possible.

    BILD / Focus / FR


    Un homme au volant d’une Renault Clio a foncé sur des passants ce mercredi matin vers 10h15 à Berlin (Allemagne). Il y a de nombreuses victimes qui ont été prises en charge par les secours selon les médias allemands. Un premier bilan fait état d’au moins un mort et huit blessés.

    Le chauffeur a été interpellé et un périmètre de sécurité a été mis en place. Pour l’heure, on ne sait pas s’il s’agit d’un acte volontaire ou d’un accident. Les faits se sont déroulés à proximité de la Breitscheidplatz, une grande place publique, et de l’église du Souvenir.

    Actu17


    Une voiture a foncé dans la foule sur la Breitscheidplatz à Berlin-Charlottenburg. C’est ce qu’a confirmé la police à BILD.

    Une personne a perdu la vie, plusieurs autres ont été blessées. Selon les pompiers, il s’agit de huit blessés.

    Le conducteur de la petite voiture Renault a été arrêté. Plusieurs officiers de police lourdement armés se trouvent sur les lieux, les pompiers sont sur place avec 60 forces d’intervention.

    Selon les premières informations de la police, l’incident se serait produit mercredi matin près de l’église du Souvenir et du Ku’damm : sur la Breitscheidplatz – l’endroit où, en décembre 2016, l’auteur de l’attentat Anis Amri avait foncé sur le marché de Noël de Berlin avec un camion détourné.

    BILD

  • Nos grands médias très discrets sur le terrible massacre de chrétiens au Nigéria le jour de la Pentecôte

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2022

    Hormis ceux qui sont réellement civilisés par le christianisme, les Nigérians sont particulièrement [autocensuré]. Voir à Marseille par exemple : même les immigrés ayant déjà colonisé la ville ces dernières décennies sont traumatisés.
    Ils vont contribuer eux aussi à « enrichir » la France, selon le credo des immigrationnistes.

    de Marc Baudriller :

    « Les images de sang et de chaos dans l’église Saint Francis d’Owo, au Nigéria, sortent sur les réseaux sociaux. Elles sont insoutenables. A l’heure où nous écrivons, le nombre exact des victimes de ce massacre perpétré le jour de la Pentecôte reste inconnu. Plusieurs dizaines de Nigérians chrétiens, dont de nombreux enfants, auraient péri, selon plusieurs sources. Le Monde fait état de 21 morts. L’AFP évoque sur Twitter un « nombre indéterminé de personnes (…) tuées par des hommes armés dans une église catholique au Nigéria durant la messe de la Pentecôte ».

    Le mode opératoire des tueurs semble encore assez confus.
    Selon le porte-parole du gouverneur de l’Etat d’Ondo, Richard Olatunde, les assaillants auraient tiré par les fenêtres. Des sources sur place citées par Le Monde évoquent au moins cinq hommes parmi ces assaillants. D’autres témoins parlent de charges de dynamite placées à l’intérieur de l’église. Les heures et jours prochains préciseront le terrible bilan et le déroulé des faits.

    Mais ce qui frappe surtout en France, c’est la discrétion des réactions médiatiques. Alors que les attaques à l’arme à feu de déséquilibrés aux Etats-Unis font la Une, très peu de nos médias relaient pour l’instant cette attaque meurtrière contre des chrétiens.

    Le journaliste Vincent Hervouët y a consacré sa chronique sur Europe 1 ce 6 juin. Il explique que la moitié des Nigérians – ils sont plus de 215 millions d’habitants, c’est le pays le plus peuplé d’Afrique – est chrétienne. Ces chrétiens habitent principalement le sud du pays, le nord, lui, est musulman, soumis à la charia. Voilà deux semaines, une étudiante chrétienne y a été lapidée. Son corps a été brûlé. Au pays de Boko Aram, la violence islamiste s’étend vers le sud. Et dans le sud, les peuls, éleveurs musulmans nomades, attaquent les agriculteurs chrétiens, poursuit Hervouët. « Les peuls ne font pas une guerre de pâturages mais une guerre de religion. Ils viennent pour islamiser le sud comme ils l’ont fait au nord. S’ils souhaitaient seulement la terre, ils ne brûleraient pas les villages ».

    On comprend mieux la discrétion médiatique vis-à-vis de ce drame. Les médias diront qu’il se situe bien loin et ne concerne pas les Français mais les Français sont sensibles, évidemment, aux modes de conquête des musulmans : depuis le Bataclan, depuis les menaces réitérées régulièrement d’autorités islamistes contre la France, ils sont concernés, très concernés même. Les affres d’un pays où musulmans et chrétiens sont censés cohabiter les concernent aussi. Entre les lignes qui n’ont pas été écrites, donc, on lit la préoccupation de « ne pas jeter de l’huile sur le feu » dans le pays marqué par le drame du père Hamel. Les médias qui n’ont que la chasse aux fake news à la bouche sont ainsi pris la main dans le sac d’une forme de désinformation par omission. A certains crimes, le battage médiatique, aux autres, un silence gêné.

    En enfonçant plus profondément sa tête dans le sable, l’autruche ne se protège pourtant pas du danger. »

    Source BdVoltaire