Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

rachid

  • Une infirmière violemment agressée par un détenu à la maison d’arrêt de Nanterre : Rachid, 35 ans, incarcéré pour meurtre, a tenté de l’égorger avec une lame de rasoir

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2022

    Une infirmière âgée de 34 ans a été violemment agressée par un détenu, dimanche matin, à la maison d’arrêt de Nanterre (Hauts-de-Seine). Ce déséquilibré incarcéré pour meurtre a tenté de l’égorger en utilisant une lame de rasoir.

    Il est 8h30 ce matin-là lorsque cette professionnelle de santé fait sa tournée pour distribuer les médicaments des prisonniers. La trentenaire est accompagnée d’une surveillante et les deux femmes entendent soudain des cris et de lourds coups portés sur une porte. Elles se rapprochent de la cellule de Rachid, 35 ans, un homme qui est incarcéré depuis le mois de juillet dernier après avoir commis un meurtre. « Ce détenu est suivi pour des soins psychiatriques et il est très agressif, explique la victime. Il y a quinze jours, il était au quartier disciplinaire. Et au mois de mars, il avait annoncé qu’il y a des balles qui se perdent en s’adressant au personnel soignant. »

    Les deux femmes attendent et le silence plane quelques minutes. La gardienne entrouvre la porte de deux centimètres pour parler avec le prisonnier. Le détenu la repousse et saute sur l’infirmière, armé d’une lame de rasoir. « J’ai senti une griffure au niveau du cou et la surveillante s’est interposée. Il a tenté de s’en prendre à elle. Je l’ai frappé sur l’épaule avec mon panier de médicaments en lui hurlant de s’arrêter. Et il s’est apaisé avant de me demander ce que j’attendais pour lui donner son traitement », ajoute-t-elle.

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Toulouse : un policier de 35 ans tabassé à mort alors qu’il défendait une femme (MàJ : Rachid, complice présumé, remis en liberté)

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    Par  le 07/08/2019

    07/08/2019

    « Il n’y a pas une seconde sans que je pense à cette nuit-là mais je n’ai rien à faire à trois dans une cellule de 9 mètres carrés », a expliqué ce père de famille, ce mardi, aux magistrats. Entendu. La Chambre de l’instruction a rendu son arrêt : Rachid, 39 ans, sera libéré sous contrôle judiciaire en attendant que l’instruction se poursuive.

    (…) La Dépêche


    06/08/2019

    Ce mardi midi, les avocats de Rachid -père de 3 enfants et fonctionnaire depuis 15 ans à la mairie de Colomiers-, impliqué dans la bagarre qui a coûté la vie d’un policier toulousain en civil, ont sollicité une remise en liberté de leur client.

    (…) La Dépêche


    20/07/2019

    Un policier âgé de 35 ans, qui n’était pas en service, est mort après avoir été roué de coups sur le parking de la discothèque toulousaine Esmeralda, dans la nuit de vendredi à samedi. Plusieurs personnes ont été placées en garde à vue.

    La police a été alertée vers 5h25 par les pompiers pour une personne en arrêt cardio-respiratoire près de la discothèque Esmeralda, à moins de 10 km du centre de Toulouse, a indiqué à nos confrères de l’AFP une autre source proche du dossier. Le gardien de la paix n’a pas pu être ranimé par les secours et est rapidement décédé, a-t-on précisé. Sur Twitter, le syndicat Unité SGP Police a rendu hommage à Benjamin, « tragiquement disparu dans une rixe à Toulouse. »

    Selon nos informations, l’employée d’une friterie aurait été importunée par un groupe de jeunes pour une histoire de file d’attente. Le policier de 35 ans se serait alors interposé et aurait été roué de coups, de poings et de pieds, par deux hommes qui « l’ont fait chuter et sa tête a lourdement heurté le sol ». Ses agresseurs ont ensuite pris la fuite dans une voiture dont l’immatriculation a pu être relevée par des témoins, selon La Dépêche.

    Ce samedi matin, vers 8 heures, les experts scientifiques étaient encore sur les lieux pour geler la scène de ce qui est désormais un crime. Un meurtre, c’est certain. Ou un assassinat ? Selon plusieurs sources, la victime connaissait son agresseur principal. Mais était-ce dans le cadre de ses fonctions de policier officiant notamment aux Izards, un quartier tristement célèbre pour son trafic de produits illicites ? Ou était-ce à titre personnel ? Seule l’enquête de la PJ pourra le déterminer

    Il allait être papa. Benjamin K., 35 ans, aurait dû devenir père de famille d’ici peu. Le décès brutal de ce jeune homme de 35 ans plonge sa compagne, sa famille, son entourage et ses collègues dans une douleur indicible. En poste depuis un an à la brigade spécialisée de terrain nord (BST), il était basé au commissariat de La Vache. Il travaillait notamment dans le quartier des Izards, l’un des secteurs les plus sensibles de la Ville rose. (…) Ce grand gaillard qui mesurait 1,85m était notamment un fana de musculation selon certains de ses collègues. Ce samedi, il a vraisemblablement été attaqué par-derrière.

    UNITÉ SGP POLICE@UNITESGPPOLICE
     

    UNITÉ SGP POLICE présente ses plus sincères condoléances à la famille, amis et collègues de Benjamin, tragiquement disparu dans une rixe à Toulouse.
    Une pensée particulière pour la BST Nord de Toulouse dans laquelle Benjamin faisait parti et pour sa compagne enceinte.

     
     

    LCI / La Dépêche

  • Marseille : rixe lors du tournage de la série « Plus belle la vie », gentil est timide « Rachid n’avait pas toute sa tête… mais avait un couteau »

    Publié par Guy Jovelin le 21 février 2019

    Par  le 20/02/2019
     

    Ce jour-là, le tribunal s’est mué, bien malgré lui, en scène de crime. Alors que des magistrats se retiraient pour délibérer sur quelque affaire d’importance, ils allaient assister, depuis la fenêtre du palais, à une agression au couteau. La même agression qui se déroulait place Monthyon (6e), le 19 décembre dernier, devant les caméras de Plus belle la vie. L’auteur des faits n’avait convoqué personne. C’est lui qui s’était convoqué tout seul sur la scène de Plus belle la vie.

    Un cameraman qui, fort heureusement, faisait encore la différence entre la fiction et la réalité, est allé quérir un policier des geôles du palais pour lui dire que l’heure était grave et qu’un homme avait l’avant-bras en sang. Tout ce beau monde s’en est retourné place Monthyon. Et la scène de crime confirma que Plus belle la vie s’était effectivement arrêtée de tourner. On n’était pas au spectacle. Ou plutôt on était au spectacle de la vraie vie. Celle de la folie des hommes et de leurs caprices ordinaires.

    « Il s’est blessé tout seul ! »

    Rachid Dib, 34 ans, n’avait pas toute sa tête. C’est ce que l’on a déduit très vite. Pas toute sa tête, mais un couteau dans la main, prêt à faire mal. Très mal. Un couple qui passait par là n’a pas vraiment eu le temps d’esquiver le coup. Le mis en cause a longtemps prétendu que c’était l’homme du couple qui l’avait regardé de travers, vieux démon marseillais qui permet de trouver réponse à tout, y compris au pire. « Il s’est blessé tout seul. Moi, je sais pas ! » a-t-il argué hier à la barre du tribunal qui le jugeait. Un policier hors service a lui aussi assisté à la scène. Il a raconté que l’homme de forte corpulence avait crié « Allah Akbar ! », après s’être mis à genoux, comme s’il priait, a rappelé hier la présidente du tribunal Karine Sabourin.

    […]

    La Provence via fdesouche