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condamné

  • Les infirmières n’en revenaient pas : condamné par la communauté médicale, il a retrouvé la parole après quatre mois de coma

    Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2022

    Les infirmières n’en revenaient pas : condamné par la communauté médicale, il a retrouvé la parole après quatre mois de coma

    Mars 2022, dans Le Parisien :

    «On tue notre père, et nous avec» : le sort de Jean-Claude, 70 ans, oppose famille et soignants

    Sur décision du corps médical, Jean-Claude Seknagi ne serait pas réanimé si son état de santé venait à se dégrader. Une perspective qui scandalise la famille de cet habitant de Bondy, hospitalisé depuis trois mois à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). La justice vient de nommer un médecin expert pour trancher ce cas épineux.

    Juin 2022, dans Le Parisien :

    En janvier 2022, cet habitant de Bondy âgé de 70 ans a été admis en réanimation à l’hôpital Robert-Ballanger à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Alors que l’équipe médicale s’était accordée pour arrêter les soins en cas de rechute, son état de santé s’est considérablement amélioré. Son fils se confie.

    « Quand tes cheveux s’étalent/Comme un soleil d’été… » La bouche pâteuse, Jean-Claude Seknagi récite par cœur les premières paroles du tube « Que je t’aime » de Johnny Hallyday. Sa tête repose sur un oreiller d’hôpital qui ne ressemble en rien à un champ de blé. Donné pour mort par la communauté médicale, ce patient mélomane de l’hôpital Robert-Ballanger, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) sort alors d’un coma… de quatre mois.

    L’homme de 70 ans était donné pour mort, et le médecin expert judiciaire déclarait à la famille que jamais dans le monde une personne dans son cas n’est sortie vivante de réanimation. Une autre évaluation conduite par « dix professeurs et docteurs spécialistes des troubles de la conscience » conclut dans le même sens. Aujourd’hui il est extubé, a pleinement repris connaissance, et devrait bientôt quitter le service de réanimation.

     

    Source : lesalonbeige

  • Encore un condamné pour le QUI ? dans l’Oise

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2022

    Eloi est un jeune Français qui vient de se faire condamner à trois mois de prison avec sursis. Son crime ? Lors d’une manifestation contre le passe sanitaire qui se tenait le 15 août dernier à Compiègne, il a eu l’outrecuidance de porter une affichette avec le pronom interrogatif QUI sur son t-shirt ! Il n’en fallait pas plus pour que ce jeune homme soit soumis à interrogatoire par la police de la pensée. Car depuis 2021, la République française a décrété que le pronom interrogatif QUI est antisémite… A partir de ce stupéfiant procédé associant un simple mot à un délit d’opinion, la procureure de la république Marie-Cécile Lawrysz a condamné ce 11 janvier 2022 ce jeune homme à trois mois de prison avec sursis.

    L’affaire n’est bien sûr pas sans rappeler celle de Cassandre Fristot qui a d’ailleurs réagi par ces mots « Le pays est en roue libre entre terrorisme sanitaire et intellectuel« .

    Le jeune Eloi a annoncé qu’il avait décidé de faire appel. Nous ne manquerons pas de bientôt signaler à nos lecteurs comment lui venir en aide.

     

    Source : medias-presse.info

  • Alain Soral condamné à 18 mois ferme pour des pancartes jetées au feu !

    Publié par Guy jovelin le 24 septembre 2019

    La ligne éditoriale de Contre-Info est éloignée de certaines positions d’Alain Soral et de sa galaxie, tout en leur reconnaissant du talent et certaines bonnes analyses. Sa condamnation à 18 mois de prison ferme (!) pour avoir relayé une simple vidéo avec des pancartes sur lesquelles des noms de personnalités sont inscrits et jetés dans un feu, devrait faire trembler tous les Français.

    Trouvé sur Le Monde : « Poursuivi pour provocation à la haine raciale et injure publique aggravée, l’essayiste d’extrême droite Alain Soral a été condamné à vingt-quatre mois de prison, dont dix-huit mois ferme, et 45 000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Bobigny, a appris l’Agence France-Presse (AFP), jeudi 19 septembre, auprès du parquet.

    Le ministère public avait requis deux ans de prison ferme contre l’essayiste, Alain Bonnet de son vrai nom, qui avait publié sur son site Egalité et Réconciliation un clip intitulé « Gilets jaunes » dans lequel une pancarte contenant le nom de Rothschild était jetée au feu. Des photos de Bernard-Henri Lévy, Jacques Attali ou encore Patrick Drahi étaient aussi envoyées au bûcher. Dans ce clip, un rappeur appelait à « virer » Rothschild, Attali et BHL, les qualifiant de « parasites ». Le tribunal a également demandé jeudi à Alain Soral de supprimer le clip de son site, sous astreinte de 1 000 euros d’amende par jour de retard. » 

     

    Source : contre-info