Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vidéo

  • Dans sa vidéo officielle pour la 1ère année du pass Culture, le gouvernement met en scène une jeune femme portant un voile islamique, seul signe religieux visible du clip

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2022

    Source : fdesouche

  • Alain Soral condamné à 18 mois ferme pour des pancartes jetées au feu !

    Publié par Guy jovelin le 24 septembre 2019

    La ligne éditoriale de Contre-Info est éloignée de certaines positions d’Alain Soral et de sa galaxie, tout en leur reconnaissant du talent et certaines bonnes analyses. Sa condamnation à 18 mois de prison ferme (!) pour avoir relayé une simple vidéo avec des pancartes sur lesquelles des noms de personnalités sont inscrits et jetés dans un feu, devrait faire trembler tous les Français.

    Trouvé sur Le Monde : « Poursuivi pour provocation à la haine raciale et injure publique aggravée, l’essayiste d’extrême droite Alain Soral a été condamné à vingt-quatre mois de prison, dont dix-huit mois ferme, et 45 000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Bobigny, a appris l’Agence France-Presse (AFP), jeudi 19 septembre, auprès du parquet.

    Le ministère public avait requis deux ans de prison ferme contre l’essayiste, Alain Bonnet de son vrai nom, qui avait publié sur son site Egalité et Réconciliation un clip intitulé « Gilets jaunes » dans lequel une pancarte contenant le nom de Rothschild était jetée au feu. Des photos de Bernard-Henri Lévy, Jacques Attali ou encore Patrick Drahi étaient aussi envoyées au bûcher. Dans ce clip, un rappeur appelait à « virer » Rothschild, Attali et BHL, les qualifiant de « parasites ». Le tribunal a également demandé jeudi à Alain Soral de supprimer le clip de son site, sous astreinte de 1 000 euros d’amende par jour de retard. » 

     

    Source : contre-info

  • Viol collectif : ils sont libérés et fanfaronnent dans une vidéo

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    viol collectif
    Avec leurs documents, trois jeunes algériens suspectés de viol collectif, se sont amusés dans une vidéo, à la sortie du commissariat. © Twitter

    Ils sont accusés d’avoir participé au viol collectif d’une jeune femme de 18 ans à Bilbao (Pays basque espagnol), le 1er août. Six Algériens, âgés de 18 à 36 ans, ont été interpellés et placés en garde à vue. Mais à leur libération, trois des accusés n’ont rien trouvé de mieux que de fanfaronner dans une vidéo, tenant des propos arrogants et irrespectueux qui indignent et choquent une bonne partie de la population espagnole.

    https://twitter.com/Alternativa_VOX/status/1158438981941506048?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1158438981941506048&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.bellica.fr%2Fliberes-de-leur-garde-a-vue-pour-viol-collectif-a-bilbao-des-algeriens-fanfaronnent-tout-sourire-devant-les-cameras%2F

    « Liberté, shit, la drogue autorisée. Bonnes fêtes, au revoir ! », « Liberté ! Algérie ! On n’a pas de problèmes avec les filles, on ne les b*ise pas violemment ! »,  se sont-ils exclamés, pour ne citer que ça, dans un mélange de langues françaises, espagnoles et basques. 

    Lire aussi : Viols. 200 agressions sexuelles par mois à Toulouse

    Bien que libérés, les poursuites judiciaires sont toujours en cours et leur libération est soumise à un contrôle judiciaire dans l’attente de leur procès, a indiqué le quotidien espagnol El MundoDe deux leurs complices restent incarcérés. 

     

    Source : infos-toulouse