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  • Trois ONG en passe de débarquer plus de 500 migrants en Europe

    Publié par Guy de Laferrière le 09 décembre 2022

    Trois ONG en passe de débarquer plus de 500 migrants en Europe

    Les ONG poursuivent leurs allers-retours entre le continent européen et les côtes africaines dans l’espoir de récupérer des migrants. Ces dernières heures, plus de 500 clandestins occupaient trois bateaux taxis.

    Les « bateaux taxis » des ONG ne ralentissent pas la cadence. Tandis que l’Ocean Viking est amarré à Marseille depuis le 13 novembre, deux navires, nommés Humanity 1 et Geo Barents, longent les côtes européennes afin de débarquer plus de 500 migrants. Le troisième, le Louise Michel (financé par l’artiste Banksy), avec 33 clandestins à bord, a accosté aux alentours de 23h hier soir dans le port de Lampedusa. « Le Louise Michel a accosté à Lampedusa, sans que le gouvernement ne dise quoi que ce soit. Bonne nouvelle », s’est félicité Giansandro Merli, journaliste italien qui suit en temps réel la situation.

    Le Humanity 1, appartenant à l’ONG SOS Humanity, est parti le 24 novembre du port de Burriana en Espagne, et se trouve actuellement à hauteur de la côte est sicilienne. A l’intérieur, 261 migrants. Selon le quotidien italien d’obédience communiste, il manifesto, le vaisseau a demandé à l’Italie et à Malte un port de débarquement. « Nous avons demandé deux fois mais nous n’avons reçu aucune réponse positive », aurait déclaré Lukas Kaldenhoff, porte-parole de SOS Humanity, depuis le navire. En “stationnant” près des côtes européennes, l’équipage entend mettre la pression sur les pouvoirs publics et leur rappelle qu’ « un sauvetage n’est terminé qu’au moment où tous les survivants peuvent quitter le navire vers un endroit sûr ».

    Et les associations n’ont pas hésité à collaborer entre elles pour sauver les migrants. Le 4 décembre, le navire Louise Michel, intervenant pour porter secours à un bateau gonflable sur lequel se trouvaient une centaine de clandestins, a dû faire appel à son homologue, le Humanity 1, pour éviter que les garde-côtes libyens ne puissent interférer.

    www.valeursactuelles.com via fdesouche

  • Coupures d’électricité : Comment nos élites dirigeantes font entrer la France dans le Tiers-monde

    Publié par Guy de Laferrière le 09 décembre 2022

     

    Alors que le gouvernement prépare les coupures d’électricité, que Macron déclare qu’il n’y en aura pas, que RTE en prévoit 6 cet hiver, nous voyons la société française se préparer à la « sobriété » forcée. Une sobriété qui ressemble beaucoup à un plan d’évidement de ce qui reste de la France, qui s’ajoute au culte décalé et fanatique des sources alternatives d’énergie, à la marche forcée pour « l’indépendance » face à l’énergie russe. Un ensemble de mesures qui amènent doucement et sûrement la France sur la voie du Tiers-monde. Est-ce du fanatisme, de l’incompétence ou de la trahison ?

    Le discours politico-médiatique revient au chantage : soit la « sobriété énergétique », soit les coupures d’électricité – si vous ne suivez pas les injonctions de la « sobriété énergétique ». Ils reprennent ici la même culpabilisation que pour le covid : si vous n’êtes pas vacciné, masqué, confiné, vous êtes responsable du virus ; si vous n’êtes pas soumis à la réduction de consommation d’énergie, vous êtes responsable des futures coupures. D’un côté, Macron appelle à ne pas paniquer (ce qui ne signifie pas que ces coupures n’auront pas lieu) et d’un autre côté la ministre de la Transition énergétique (transition réussie à merveille) fait ouvertement ce chantage, bref un duo parfaitement complémentaire :

    « Pas de panique, ça ne sert à rien et ce n’est pas vrai », a rassuré Emmanuel Macron à propos d’éventuelles coupures d’électricité, cet hiver, dans une interview diffusée vendredi sur TF1. Sa ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher , avertit cependant : pour éviter les coupures, les grandes entreprises doivent tenir « leurs engagements du plan de sobriété ». »

    Au-delà de quelques évidences concernant les heures creuses et l’arrêt des appareils électriques la nuit, cette « sobriété » conduit à vivre à minima : allumer la lumière le plus tard possible, baisser la température de l’eau chaude, baisser la température du thermostat de chauffage. À ce sujet, l’on apprend notamment que la température « idéale » pour faire des économies est de 16° dans la chambre (c’est quand même pas beaucoup …), 17° dans la salle de bain inoccupée (ça donne envie d’y entrer …) et 18° dans les autres pièces (achetez des pulls !). Comme 1° en moins, c’est 7% de moins sur la facture, préparez-vous à avoir froid. D’autant plus que le Gouvernement l’a annoncé, il ne peut rien faire contre l’augmentation de 15% des prix du gaz et de l’électricité qui pèse sur les ménages, même les plus modestes.

    Dans ce monde global, Chers Amis, le chauffage est un luxe. Et manifestement, non seulement pour les particuliers, mais aussi pour la France. Car RTE annonce des coupures d’électricité et une circulaire a été adressée aux préfets pour déterminer la conduite à tenir lors des coupures d’électricité. Cela se résume in fine à prévenir les gens la veille au soir, pour qu’ils se débrouillent. Donc, ces coupures sont bien prévues, au-delà du discours ambigu tenu par nos dirigeants. L’idée commence à circuler d’un pass énergétique, l’on pourrait aussi parler de cartes de rationnement … car telle est bien la logique. Le progrès, rien de tel !

    Ainsi, l’on apprend que le coup sera encore porté sur les entreprises françaises, qu’il y aura un véritable manque à gagner en ce qui concerne les produits frais par exemple. Et comme tout pays en voie de développement qui veut revendiquer ce statut, le nouveau très post-moderne ministre de l’Education nationale l’école sera alors fermée le matin :

    « Les délestages programmés vont en effet toucher les écoles et les établissements scolaires, selon trois créneaux : 8h-10h, 10h-12h et puis 18h-20h le soir, a confirmé le ministre Pap Ndiaye, alors en déplacement au Salon Educatech Expo à Paris. Ces deux créneaux du matin, s’ils sont dans une zone qui subit un délestage, auront pour conséquence que la rentrée des élèves le jour concerné se fera en début d’après-midi, avec sans doute un repas qui sera néanmoins prévu pour les élèves qui sont à la cantine. Donc il n’y aura pas d’école le matin ».

    Ainsi les « délestages », ce doux vocable pour parler de banales et brutales coupures d’électricité, ne sont pas du « dernier recours », comme l’affirme la ministre, mais ils sont bien prévus. Deuxième confirmation après RTE. Mais pour aller toujours plus loin, l’on apprend que l’intérêt porté aux malades est toujours la priorité de ce Gouvernement, puisque les personnes sous respirateur artificiel à domicile n’entrent pas dans la catégorie prioritaire peuvent être touchées par les coupures. Soit disant, selon le porte-parole d’Enedis, elles seront prévenues en avance et éventuellement déplacées. Il ne reste qu’à le croire sur parole …

    Mais comment en est-on arrivé là ?! Par le fanatisme, l’ignorance ou la trahison ? Certainement, un peu des trois. 

    Le fanatisme bobo anti-nucléaire et pour « l’énergie verte », car nous vivons dans le monde des bisounours, nous a conduit à la pénurie. Nous nous sommes nous-mêmes mis en situation de pénurie par fanatisme idéologique.

    Yves Brechet, ancien directeur d’EDF, atterré par l’évolution de la bêtise opportuniste idéologique de nos dirigeants et de leurs « conseillers », précise certains aspects du problème.

    « Il est important de comprendre comment la cohérence d’une stratégie industrielle a cédé la place à l’opportunisme d’une stratégie de communication », explique-t-il sans ambages. C’est au lance-flammes que passe la politique énergétique et industrielle française des quinze dernières années : « La doxa prônant le passage de 75 à 50% de la capacité électro-nucléaire, la confusion entre la puissance installée et la puissance délivrée, l’omission des coûts de réseau et de stockage dans l’évaluation des aspects économiques des différentes sources d’électricité, le refus de procéder à une analyse de fond des expériences faites chez nos voisins, témoignent au mieux d’une naïveté confondante », lance Yves Bréchet.

    Et effectivement, la moitié du parc nucléaire français ne fonctionne pas aujourd’hui, n’est pas en état de marche et n’est pas réparé. Et d’ajouter :

    « La propension à considérer que les technologies en développement – l’hydrogène comme vecteur énergétique, les smart-grids  peuvent être, en situation d’urgence climatique, des technologies à déployer massivement, dans l’instant, témoigne d’une méconnaissance profonde des délais de développement. (…) Inversement, la procrastination sur toutes les décisions concernant le nucléaire et la politique d’annonces dans l’attente de décisions concrètes de mise en chantier montrent une ignorance stupéfiante de l’inertie intrinsèque des industries lourdes et de la nécessité d’une vision stable à long terme pour conserver l’outil industriel au bon niveau. L’incapacité à penser l’ensemble d’un système énergétique conduit à des PPE [Programmations pluriannuelles de l’énergie, N.D.L.R.] qui sont un collier de perles gadget au moment où on aurait besoin d’un câble robuste. »

    Remarquez, nous n’avons pas un ministère de « l’Énergie », mais de la « Transition énergétique ». Le marquage idéologique est bien présent. Cette position idéologique conduit à refuser le nucléaire au profit d’autres sources d’énergie, qui ne sont pas à même de fournir à la France ce dont elle a besoin. Ajoutons à cela l’entrée en guerre contre l’énergie russe, et la boucle est bouclée. Quelques panneaux solaires ou éoliennes ne sauveront pas la France. Comme le remarque Loïk Le Floch-Prigent :

    « Loïk Le Floch-Prigent estime inutile l’accélération de la mise en service d’éoliennes ou de panneaux solaires pour faire face à l’urgence. Dans l’Hexagone, 87% de l’électricité est produite grâce aux centrales nucléaires ou à l’hydraulique ».

    Et d’insister sur les véritables enjeux de cette étrange « sobriété », qui ressemble en réalité à un plan  de récession programmée :

    « Les gestes de « Monsieur et madame Tout-le-monde », encouragés par plusieurs campagnes gouvernementales comme le spot « Je baisse, j’éteins, je décale », ne changeront pas la donne.

    « On rejoue un peu le Covid dans cette histoire. Le consommateur individuel est très marginal et a déjà pris beaucoup de mesures d’économies dans sa vie quotidienne », a-t-il avancé. « Ce qui ne l’est pas, c’est le fonctionnement des entreprises. Si la consommation baisse, cela veut dire la baisse de la production ». »

    Nous en revenons bien à la question : fanatisme, ignorance ou trahison de nos élites dirigeantes ? 

    Le fanatisme est favorisé par l’ignorance et l’ignorance permet la manipulation. S’il y a une bonne dose de bêtise et de prétention chez nos élites, il est difficile de croire que personne ne comprend où cela mène le pays. Et là, on en arrive à la trahison.

    Karine Bechet-Golovko

    source : Russie Politics

     

  • La France interdit les vols intérieurs de courte distance… pour cause de « changement climatique »

    Publié par Guy de Laferrière le 09 décembre 2022

     

    La France interdit les vols intérieurs court-courriers lorsqu’il existe une option de train régulière et fréquente de moins de deux heures et demie, après qu’une loi sur le climat de 2021, n° 2021-1104, a reçu l’autorisation de la Commission européenne (CE).

    L’article 145.I de la loi interdit les vols de passagers « sur toutes les liaisons aériennes situées sur le territoire français pour lesquelles il existe plusieurs liaisons ferroviaires directes par jour de moins de deux heures et demie », selon le rapport de décision de l’Union européenne (pdf).

    La proposition, qui a été saluée par les Verts français et les lobbyistes environnementaux à Bruxelles, affectera directement trois grandes liaisons aériennes entre Paris-Orly et Lyon, Nantes et Bordeaux.

    Thomas Brooke, de Remix News, rapporte qu’une intention d’améliorer les services ferroviaires et de diminuer la durée des trajets pourrait entraîner la suppression des lignes de Paris et Rennes vers Lyon et Marseille.

    La mesure devrait prendre plusieurs mois pour entrer en vigueur et devrait durer initialement trois ans, avec un examen de son efficacité au bout de deux ans.

    Dans sa décision, publiée le 2 décembre, la Commission européenne a rejeté les protestations des aéroports français et des lobbyistes des compagnies aériennes, qui affirmaient que l’interdiction serait contraire au droit de la concurrence.

    Elle a toutefois affirmé que « les effets négatifs de toute restriction des droits de trafic sur les citoyens européens et la connectivité doivent être compensés par la disponibilité de modes de transport alternatifs abordables, pratiques et plus durables. »

    Le ministre français des transports, Clément Beaune, a qualifié cette initiative d’ »avancée majeure », ajoutant :

    « Je suis fier que la France soit un pionnier dans ce domaine. »

    Karima Delli, une eurodéputée verte française, a salué l’approbation de l’interdiction par la Commission européenne, la qualifiant de « victoire » pour les défenseurs de l’environnement, mais a insisté sur le fait que « le seuil doit être porté à quatre heures, et surtout, inclure les jets privés dans l’interdiction ».

    Un seuil de quatre heures entraînerait effectivement la suppression de tous les vols intérieurs en France.

    « L’interdiction par la France des vols court-courriers lorsqu’il existe des liaisons ferroviaires rapides est un petit pas, mais c’est un pas dans la bonne direction », a déclaré Thomas Gelin, chargé de campagne de Greenpeace sur le climat en Europe.

    Cependant, certains politiciens du Parti vert veulent étendre l’interdiction aux trajets en train de quatre heures, tandis que d’autres législateurs européens espèrent étendre la couverture à l’ensemble du continent grâce aux nouvelles lignes ferroviaires à venir, comme le projet RTE-T de l’Union européenne.

    Comme le souligne Naveen Anthrapully de The Epoch Times, les détracteurs de la nouvelle règle, comme Net Zero Watch, ont commenté dans un tweet, « Encore une liberté que le Net Zero va supprimer. #CostOfNetZero ».

    Peut-être le plus remarquable, La CE a noté que la nouvelle règle n’aura pas beaucoup d’impact sur l’environnement parce que le trafic aérien sur les routes a considérablement diminué depuis les arrêts de la pandémie.

    « L’interdiction de ces routes ne conduira donc pas à une réduction réelle des émissions. Toutefois, des avantages environnementaux non quantifiables peuvent néanmoins être générés puisque les transporteurs aériens potentiellement intéressés par l’exploitation de ces routes seront empêchés de le faire », indique la commission dans le rapport.

    « Attendez-vous à beaucoup plus de ce genre de choses », a tweeté l’universitaire conservateur canadien Jordan Peterson en réponse à la nouvelle.

    source : Aube Digitale via lesmoutonsrebelles

  • Coupure d’électricité : le centre de Paris plongé dans le noir pendant une quinzaine de minutes ce jeudi soir

    Publié par Guy de Laferrière le 09 octobre 2022

     
     

    De nombreuses rues de la capitale ont été plongées dans le noir ce jeudi soir peu avant 23 heures.

    Le centre de Paris plongé dans le noir. Une coupure de courant touche actuellement plusieurs quartiers de la capitale ce jeudi soir, a appris BFMTV.com de la part d’Enedis.

     

     

     

    Le groupe affirme sur son site internet que, aux alentours de 23 heures, 75 rues étaient touchées dans les 1er et 4e arrondissements, 62 rues sont coupées dans le 3e et enfin 34 rues dans le 5e arrondissement. Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes ont commencé à partager dès 22h30 de nombreux clichés et des photos des rues parisiennes dans le noir total.

    (…) Ces coupures ont lieu dans un contexte de crise énergétique en France, alors qu’on ignore pour l’heure les causes exactes de ces coupures.

     

    BFMTV via lesmoutonsrebelles

  • Encore une qui regrette

    Publié par Guy de Laferrière le 09 décembre 2022

    Encore une qui regretteEncore une qui regrette

    Après sept ans de testostérone et plusieurs opérations chirurgicales, à 26 ans, elle veut retrouver son corps de femme. Mais c’est trop tard. À l’état civil, elle est encore un homme.

    «J’ai détruit mon corps, mais on m’y a aidée. J’ai détruit mon corps en pensant que ça irait mieux. (…) Je n’ai plus de seins. Je n’ai plus d’utérus. Je n’ai plus d’ovaires…

     

    Source : lesalonbeige