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  • L’État français empruntera 270 milliards d’euros en 2023, un nouveau record. Au moins un des emprunts sera indexé sur l’inflation

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    L’Agence France Trésor, l’organisme chargé de placer la dette de l’Etat sur les marchés financiers, a confirmé mercredi qu’elle comptait emprunter 270 milliards d’euros à moyen et long termes en 2023, un record.

    […]

    Aucune nouvelle émission de dette verte n’est prévue, mais l’AFT programme de créer au moins une nouvelle dette à 10 ans indexée sur l’inflation. Ce type de dette, qui représente chaque année 10% des émissions de la France, a vu son coût s’envoler en 2022 avec la flambée de l’inflation, qui a atteint 6,2% en novembre sur un an en France, et 10% en zone euro.

    En moyenne, la France a emprunté à 1,03% en 2022, alors que les taux avaient été négatifs en 2020 (-0,30%) et 2021 (-0,28%).

    […]

    BFM TV via fdesouche

  • Taillis (35). “La faim me réveille la nuit” : le cri de détresse d’une maman

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    Sandrine Moulin vit avec sa fille de 6 ans, à Taillis. En difficulté financière, elle a du mal à remplir son frigo. Elle espère obtenir de l’aide pour sortir la tête de l’eau.

    Sandrine Moulin, 41 ans, ne pensait pas vivre un jour une telle descente aux enfers. Aujourd’hui, cette mère de famille vit seule avec sa fille de 6 ans, à Taillis, près de Vitré. Elle ne parvient pas à payer ses factures et ne pourra pas offrir de cadeaux de Noël à ses enfants.

    Submergée par les larmes au moment de raconter son histoire, elle espère obtenir de l’aide pour sortir la tête de l’eau. Voici son témoignage :

    actu.fr via fdesouche

  • le Maroc et le foot

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

     

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    Concernant les évènements d'hier suite à la victoire du Maroc, je publie à nouveau un petit passage de notre ami Thomas Joly qui est clair, net, précis ! Vidéo : facebook.com/10005038809391
     
     
     
     
     
     
     
     
     
  • Elle dénonce l’utilisation de l’écriture inclusive au collège de Breteuil (27), les profs et l’académie l’envoient promener : « Je ne supporte pas cette écriture. C’est une idéologie de quelques intellos d’extrême gauche qui n’ont rien à voir avec nous. »

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    Elle dénonce l'utilisation de l'écriture inclusive au collège de Breteuil

     

    Opposée à l’écriture inclusive, une mère de famille s’offusque de son utilisation au collège Evariste Galois de Breteuil (Eure). Pourtant, le collège respecte les directives.

    (…)

    En septembre dernier, Barbara Degenaers, maman d’un collégien de Breteuil, écrit à l’établissement Evariste Galois de Breteuil (Eure) pour « espérer que l’idéologie woke ne vienne pas dans le lycéen. » À cette époque, « il n’y a aucun antécédent sur le sujet », se souvient le proviseur Christophe Dumas.

    La semaine suivante, ce dernier envoie sur Pronote, un logiciel de vie scolaire, un message à l’intention des parents, utilisant l’écriture inclusive. Le proviseur l’avoue sans détour : « J’utilise cette écriture dans certaines communications depuis que je suis enseignant-chercheur à Angers. Cela ne date pas d’hier. » C’était assez en tout cas pour s’attirer les foudres de Barbara, la maman d’élève, qui demande des explications.

    « Je me suis un peu faite envoyer sur les roses. Mais j’estime que l’on n’a pas à nous imposer une langue inventée il y a quelques années. Ce n’est pas à eux de déposséder la langue française de son histoire », juge-t-elle par téléphone.

    (…) Son sang ne fit qu’un tour début novembre, quand, à nouveau, elle lit une consigne dans le cahier de texte numérique de son enfant, où un professeur d’Anglais utilise cette écriture. Il est question par exemple de « collégien.ne. s ». « Quand on a parlé de ça en salle des profs, tout le monde était consterné », raconte le proviseur, qui voit dans cette polémique un faux sujet et une croisade contre l’Éducation Nationale.

    (…)

    La circulaire en question, adressée par le ministre de l’époque, interdisait effectivement son utilisation dans le cadre de l’enseignement pour « la conformité aux règles grammaticales et syntaxiques est de rigueur. » Elle ne fait en revanche pas état des courriers administratifs et autres échanges dans le cahier de texte.

    actu.fr via fdesouche

  • Michèle Tribalat : «En 2017, si 80 % des jeunes de moins de 18 ans sont d’origine étrangère à La Courneuve (contre 22 % en 1968) près de 37 % des jeunes Orléanais sont d’origine africaine ou turque (contre 2 % en 1968)»

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    Michèle Tribalat: «On est passé d’une immigration de travail à une immigration fondée sur des droits»

    «La France a toujours été une terre d’immigration», a déclaré le président de la République. La notion d’immigration est relativement récente, argumente la démographe, qui retrace l’évolution du phénomène migratoire depuis 1850.

     

    (…)

    Outre les nouvelles arrivées, quel est le nombre de personnes d’origine étrangère (sur deux générations)? Quelles sont les conséquences en matière démographique?

    En combinant les données de recensement et de l’enquête Emploi, on estime à 21,5 % la proportion d’immigrés et de personnes nées en France d’au moins un parent immigré en 2020. Près d’un habitant sur dix serait d’origine africaine. L’immigration étrangère a joué un rôle majeur dans la dynamique démographique de ces dernières années. De 2014 à 2020, la population immigrée a augmenté de 134.000 par an en moyenne, quand celle des natifs ne gagnait que 80.000 personnes par an. Parmi ces derniers figurent les enfants d’immigrés. En 2020, 28,7 % des nouveau-nés ont au moins un parent né en dehors de l’UE, soit 10 points de pourcentage de plus en vingt ans. Par ailleurs, les concentrations ethniques, autrefois cantonnées en Île-de-France, Paca et Rhône-Alpes, se sont étendues à d’autres régions. En 2017, si 80 % des jeunes de moins de 18 ans sont d’origine étrangère à La Courneuve (contre 22 % en 1968), c’est aussi le cas de 47 % des jeunes à Orléans (contre 9,5 % en 1968), et près de 37 % des jeunes Orléanais sont d’origine africaine ou turque (contre 2 % en 1968).

    www.lefigaro.fr via fdesouche